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| « Les médisants ressemblent aux malheureux qui n'ont pas eu leur part d'événements et doivent mener aux dépens de leurs voisins une existence parasitaire. »
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| L'Actu politique vu par le Galion.. | |
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Message | Auteur |
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Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Sam 23 Juin - 7:58 | |
| - Sugar. a écrit:
- Rhooooooooooooooooooooooooooooo [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Morano : "Je ne suis pas raciste, j'ai une amie plus noire qu'une Arabe" (VIDEO)
Tele Loisir #MoranoStyleAussitôt dit, aussitôt repris. A peine Nadine Morano a-t-elle fait cette sortie sur France 5 que toute la twittosphère a réagi. Signe de ralliement ? Le hashtag « Moranostyle ». Ou comment se défendre d’un fait en avançant un argument… décalé. « Je ne suis pas misogyne pour un sou, j'ai des femmes. #moranostyle », a ainsi posté sur Twitter un journaliste. Autre réplique possible : « Je ne suis pas gros, j'ai des qui bossent chez Mac Do #MoranoStyle ». L’humoriste Sophia Aram, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] dans sa chronique sur France Inter, a également tweeté un message lapidaire : « Je ne suis pas anti-sarkozyste, j'ai une amie encore plus vulgaire que Morano ! #moranostyle » [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] |
| Psycho99 | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Sam 23 Juin - 13:08 | |
| Suite saga "Royal".. Ségolène Royal, amère, se livre sur le tweet polémique de Valérie Trierweiler
La guerre des mots et des tweets entre son ex-compagne [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et la première dame actuelle [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] agite le landerneau politique depuis les dernières élections législatives. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] de soutien à l'adversaire politique de Ségolène Royal à La Rochelle, alors que l'ex-candidate à la présidentielle en 2007 se présentait à la députation, avait mis le feu aux poudres. Devant le tollé provoqué et [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] renvoyée à l'opinion publique, Valérie Trierweiler avait fait amende honorable, assurant [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] selon Le Parisien. On pensait l'affaire close, mais il n'en est rien... Dans les colonnes du Point, Ségolène Royal revient sur cet épisode qui l'a profondément marquée. Plus qu'une simple pique politique, ce petit message qui aurait pu paraître anodin a été un véritable tsunami dans la vie de la présidente du Conseil régional de Poitou-Charentes. " C'est l'inversion des rôles, expliquait-elle la veille du scrutin. C'est moi dont la famille a été bousillée, c'est moi qui pourrais avoir de la rancoeur. Je lis des articles sur les monarques, leurs maîtresses, leurs femmes. Mais c'est horrible ! Je suis une femme politique, je me bats, et je suis ravalée au rang de feuilleton, de théâtre de boulevard, de machin à trois, de trio !" Plusieurs fois, elle a dû " réconforter sa fille Flora, effondrée au téléphone". Elle érige Valérie Trierweiler en une rivale jalouse de sa présence et du poste qu'elle aurait pu occuper en cas de victoire à La Rochelle, elle qui visait la présidence de l'Assemblée. " Je me dis qu'en 2007, ça n'a pas dû arranger les choses poursuit-elle. Je comprends pourquoi François ne m'a pas aidé." Aujourd'hui, la réserve n'est plus de rigueur. Sans jamais la citer, Ségolène Royal dénonce le rôle de la compagne actuelle du père de ses enfants : " En 2007, elle a profité de la situation. C'était facile, elle suivait le PS, elle suivait le premier secrétaire. Dans un pays anglo-saxon, le jour même, c'est le licenciement. Mais Paris Match n'était pas mécontent de me voir affaiblie, alors ils l'ont laissée volontairement, comme tous les autres qui savaient, Lagardère, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]..." Une situation que n'ont pas apprécié ses enfants non plus, comme le révèle un proche au Nouvel Observateur : " Thomas, Clémence, Julien et Flora, qui avaient accepté de déjeuner à l'Elysée, malgré leur mise à l'écart de la cérémonie de passation des pouvoirs, ne souhaitent plus, pour l'heure, rencontrer l'ennemie de leur mère. Pour François, c'est un gros souci." Normalité et présidence semblent décidément ne pas aller de pair... Pure people |
| Invité | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Sam 23 Juin - 13:10 | |
| Nadine Morano n'aime ni le racisme, ni les humoristes[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] |
| Invité | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Sam 23 Juin - 13:12 | |
| - Psycho99 a écrit:
une chose qui saute aux yeux : les bras et les mains du nain sont tournés vers lui même (comme d'hab ) tel un artiste qui attend de recueillir les vivas de la foule Le costume était trop grand pour ses frêles épaules.... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]il a l'air dépité...... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] |
| Invité | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Sam 23 Juin - 13:16 | |
| Han Malvi tu as raison ! mieux que la tv réalité...et les politiques se recyclent aussi dans le show bizz.... j'y crois pas !! Jack Lang : L'homme politique s'est lancé dans le cinéma avec Sophie Marceau !élèbre ministre de la Culture sous la présidence de François Mitterrand, Jack Lang est sans aucun doute un passionné de cinéma, il est d'ailleurs l'instigateur de la fameuse Fête du cinéma. Voilà qu'il concrétise ses rêves de Septième Art en apparaissant dans un film avec une partenaire de choix : Sophie Marceau, s'il vous plaît. Le Parisien/Aujourd'hui en France a remarqué la présence de l'ancien ministre dans la comédie romantique Un bonheur n'arrive jamais seul , avec Sophie Marceau et Gad Elmaleh . Dans ce film de James Huth, en salles le 27 juin, on peut y voir Jack Lang dans le rôle de ministre de la Culture, lors d'une séquence tournée dans une salle d'exposition. De quoi le consoler après sa défaite aux élections législatives. Un autre perdant de la politique, l'ex-Premier ministre déchu à l'élection présidentielle de 2002, Lionel Jospin a lui-aussi été héros d'un film, Le Nom des gens de Michel Leclerc où il a un rôle truculent. Un bonheur n'arrive jamais seul raconte le coup de foudre entre Sacha et Charlotte. Lui est sans attache et aime son piano autant que la fête. Elle est mère de trois enfants, a une grande carrière professionnelle à gérer et deux ex-mars. Tout les oppose et pourtant, ils sont faits l'un pour l'autre. Un bonheur n'arrive jamais seul, en salles le 27 juin Pure People |
| Invité | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Sam 23 Juin - 17:13 | |
| Perso je trouve que François donnait l'air d'esperer alors que le second était deja plein de jouissance.. Pour la Baronne du Chabichou elle s'épanche de trop et se la pète ..c'est un peu dommage,elle pouvais rester sur sa réserve ça lui aurait été profitable..! Ce qui est assez drôle c'est que Francois a fait perdre Ségolene et là c'est Valérie qui le propulse chef de l'état..! Un trio qui ne roule qu'au diesel et à sens unique..! Le PS se flingue tout seul,comme toujours,en donnant autant d'importance a l'avis de la première Dame il ne fait qu'enfoncer son Leadership..! C'est tout pour le moment..lol |
| Actu-One | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Sam 23 Juin - 21:10 | |
| ALors à mon tour de vous donner mon ressenti sur la comparaison entre ces deux photos...l'exercice est difficile car il faut autant faire se peut eluder totalement Qui sont ces deux personnages, voila donc ce que je ressens dans ce singulier "jeu de paumes" :
Le premier me donne le sentiment de puiser une force dans les vivats de la foule, sa veste est ouverte dégageant sa poitrine, ses paumes sous ouvertes vers une foule dont il semble tirer l'energie dont il capte la force, c'est le soleil levant, il s'expose, c'est la rock star prete à se jeter dans la foule depuis la scène
une forme de don de soi mais en même temps il y a également dans cette posture, comme un barrage qu'il fait de son corps, un "n'avancez pas" dont l'interpretation pourrait être autre , , c'est comme si il s'appuyait sur un mur invisible, mur qu'il érige autour de lui ? ou mur qu'il cherche à abattre tel un nouveau Samson? ou mur qu'il est lui même et que rien ne peut abattre ... ,
Dans le second, c'est le soleil couchant, il forme un récéptacle avec ses bras pour recueillir l'énèrgie qui aujourd'hui lui fait défaut, comme l'acteur à la fin d'un spectacle, qui a tout donné et qui reçoit cette energie d'un public "conquis" qui lui est acquis...il y a quelque chose de Christique, la tête légèrement penchée, les paumes vers le haut en offrande et qui indiquent le chemin vers une élèvation
il y a quelque chose de théatral et de religieux, le dernier salut on attend presque le geste d'un baiser envoyé vers ce public comme à la fin d'un grand Show ou la montée vers un Golgotha d'un nouvel âge...vers un tombé de rideau et une renaissance sous une autre forme....encore à définir |
| Malvilar | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Dim 24 Juin - 10:49 | |
| Mauvais perdants ???????...........hum.... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] par [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] |
| Invité | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Dim 24 Juin - 11:03 | |
| Le Parisien revient ce matin sur le cas Nadine Morano, une semaine après sa cuisante défaite aux législatives en Meurthe-et-Moselle. Le quotidien affirme que l'ancienne ministre, âgée de 48 ans, ne décolère pas et peaufine la plainte qu'elle va déposer contre l'humoriste Gérald Dahan. « Je prends plusieurs jours pour que le texte soit parfaitement rédigé », rumine la fervente sarkozyste. Trois jours avant le second tour, l'imitateur avait piégé la députée sortante en se faisant passer pour Louis Aliot, le nunéro deux du Front national. « Un coup monté », pour Morano qui revient en boucle sur cecanular et le désaveu de François Fillon pour expliquer son échec. jeanmarcmorandini.com vous avait révélé en exclusivité l'intégralité de ce document |
| Invité | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Dim 24 Juin - 18:20 | |
| Le grand déballage à droite.. Auteur du livre Le monarque, son fils, son fief, Marie-Célie Guillaume a du mal à justifier hier soir son procédé d'écriture, le roman à clé. L'actuelle directrice de cabinet de Patrick Devedjian vient d'écrire un ouvrage où elle met en cause des dirigeants politiques de premier plan dont l'ancien chef de l'Etat. Il y avait comme un malaise hier soir lors du passage de Marie-Célie Guillaume dans le fauteuil des invités de Laurent Ruquier. Venue défendre Le monarque, son fils, son fief, la directrice de cabinet de Patrick Devedjian a fait valoir qu'elle avait choisi d'écrire un roman pour être totalement libre de ses écrits. Mais son livre ne se présente pas pour autant comme une fiction, les personnages de Rocky, du dauphin ou de la Thénardier ne sont autres que Nicolas Sarkozy, son fils Jean ou encore Isabelle Balkany. Peut-on tout écrire dans un roman à clé ?Alors sous couvert de liberté littéraire, peut-on tout écrire jusquà mettre en scène de véritables personnes et à leur faire dire ou jouer des dialogues qui n'ont peut-être pas existé ? A cette question, l'auteur du livre ne répond pas. Lorsque Natacha Polony aborde notamment le cas de la scène où l'ancien chef de l'Etat demande une gâterie à une élue en échange d'une subvention, Marie-Célie Guillaume préfère avancer que sur ce maire, plusieurs noms circulent. De toute manière, elle n'a fait qu'écrire sur "le monarque" et non sur l'ancien Président de la République, ajoute-elle. "C'est facile," commente alors la chroniqueuse. Quant à savoir si oui ou non, Marie-Célie Guillaume s'est exposée judiciairement à des représailles, elle l'ignore encore, mais envisage d'être prochainement débarquéé de son poste de directrice de cabinet au Conseil général des Hauts-de-Seine. |
| Invité | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Dim 24 Juin - 18:26 | |
| Roselyne Bachelot livre ses carnets secrets de la présidentielle
L'ancienne ministre UMP Roselyne Bachelot sort, mercredi 20 juin, A feu et à sang. Carnets secrets d'une présidentielle de tous les dangers (Flammarion). Une chronique, ou plutôt une critique de la campagne électorale de Nicolas Sarkozy.Elle raconte son camp, les chausse-trappes, les coups de poignard pour avoir le devant de la scène. Maladresses, petites phrases, grosses erreurs, elle dresse aussi un portrait tendre mais sans complaisance de l'ancien président de la République. • Les déplacements du président : "des simulacres de rencontres aseptisées" Fin décembre 2011, aux Restos du cœur de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne). "Le président monopolise la parole alors que le moment est venu de laisser les gens s'exprimer. Nicolas Sarkozy ne voit pas que ces gens ont apporté de nombreux petits papiers sur lesquels des questions sont griffonnées. Ils repartiront sans avoir pu les poser. (…) Tout au long du quinquennat, j'ai pu mesurer l'influence néfaste des communicants qui, dans leur souci obsessionnel de tout maîtriser, ont transformé les visites prétendument de terrain en des simulacres de rencontres aseptisées dont toute spontanéité est évacuée, toute aspérité gommée." • Les ministres de Nicolas Sarkozy : "malades de la peste qu'il a lui-même inoculée" "En imposant un turnover gouvernemental excessif, [Nicolas Sarkozy] s'est tiré une balle dans le pied, mettant ses fidèles - et ses infidèles - en position d'échouer, faute de temps pour prendre la mesure des dossiers, créer des liens de confiance avec les acteurs de la société civile, et se faire obéir par leur administration. Je trouve donc injuste cette façon que notre candidat a, depuis le début de la campagne, d'écarter ses ministres comme s'ils étaient malades d'une peste qu'il a lui-même inoculée..." • Merkel : "Elle est très sympa, tu sais, Angela"
Roselyne Bachelot rapporte une conversation qu'elle a eue avec Nicolas Sarkozy à propos de ses rapports avec la chancelière allemande : "Elle est très sympa, tu sais, Angela. Quand elle a aimé un film, elle me l'envoie. Et puis elle est habillée… Elle a de ces vestes… Mais elle n'est pas moche, tu sais. Elle adore le vin. Elle mange du pain beurré avec son fromage. Et quand on a une réunion, elle veut qu'on prenne notre petit déjeuner dans la salle à manger. Tu sais pourquoi ? Parce qu'il y a moins à manger lorsque le petit déjeuner est servi en chambre, tandis que dans la salle à manger il y a un buffet ! (…) Elle est très sentimentale. Au moment du sommet de Cannes, j'ai dû prendre fait et cause pour Obama contre elle sur un point technique. Elle était sur le point de pleurer, j'ai vu ses mains trembler et j'ai dit à Obama : ''Je vais me réconcilier avec elle.'' Elle est très émotive…" • Guéant, Buisson, Mignon : "des âmes noires" Roselyne Bachelot tape particulièrement sur les conseillers de l’ancien président, qualifiés d'"âmes noires" qui ont, selon elle, trop orienté la campagne avec des "stratégies désespérées et désespérantes". "Les ministres, nous n’avons pas été impliqués directement, a t-elle confié mercredi matin sur France Inter. Nous n’avons jamais été consultés sur la campagne, même concernant nos dossiers et des sujets que nous maîtrisions très bien." • 6 mai 2012, le soir de la défaite : "Pourquoi diable Sarkozy a-t-il renié Sarkozy ?" "Dans la quiétude de mon appartement, je peux réécouter le discours de Nicolas Sarkozy dont je n'ai pas saisi tout le sens dans le brouhaha ambiant. J'étais émue par la beauté de ses phrases, leur justesse et leur sincérité. A présent, je comprends mieux ce qui me touchait tant. Il a montré ce soir son vrai visage, celui qui s'était progressivement estompé depuis 2007. (…) Cet homme-là, je le connais, c'est Nicolas Sarkozy dans toute son authenticité ! L'autre, celui de la campagne, sous l'influence obscure et incompréhensible d'un trio aux stratégies minées, m'est trop souvent apparu pendant tous ces mois de bataille électorale comme un étranger. Pourquoi diable Sarkozy a-t-il renié Sarkozy ?" FTVi |
| Invité | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Dim 24 Juin - 19:09 | |
| Je vois qu'il y a toujours autant d'Actu politique même après les présidentielle,peut être ce serait le moment de renommer ce topic,genre l'Actu politique lol ou autres...^^ Merci pour les news ma puce [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]La Nadine c'est un vrai cafard,elle est vraiment hideuse,sous couvert de franchise elle nous sort de sacré perle quand même,le pire c'est qu'elle s'en rend pas compte,il faut qu'elle se fasse remonter les bretelles pour comprendre qu'elle dévie de trop.! Son truc là,d’être plus noir qu'un arabe c'est complétement débile,elle a une logique qui défi la gravité,c'est quoi...? Un neurone qui se bat tout seul dans la cafetière ou une éventuelle crise de courage..lol Cette mégère ne devrais avoir aucun poste,aucun mandat,c'est pas représenter les français ça,encore moins les servir. |
| Actu-One | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Mer 27 Juin - 6:17 | |
| - Actu-One a écrit:
- Je vois qu'il y a toujours autant d'Actu politique même après les présidentielle,peut être ce serait le moment de renommer ce topic,genre l'Actu politique lol ou autres...^^
Merci pour les news ma puce [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] La Nadine c'est un vrai cafard,elle est vraiment hideuse,sous couvert de franchise elle nous sort de sacré perle quand même,le pire c'est qu'elle s'en rend pas compte,il faut qu'elle se fasse remonter les bretelles pour comprendre qu'elle dévie de trop.! Son truc là,d’être plus noir qu'un arabe c'est complétement débile,elle a une logique qui défi la gravité,c'est quoi...? Un neurone qui se bat tout seul dans la cafetière ou une éventuelle crise de courage..lol Cette mégère ne devrais avoir aucun poste,aucun mandat,c'est pas représenter les français ça,encore moins les servir. Actu c'est le propre des imbéciles de ne pas voir qu'ils le sont ! En effet je pense qu 'il faut renommer le topic et l'Actu politique me va bien ! |
| Psycho99 | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Mer 27 Juin - 18:25 | |
| Et pourtant être un imbécile ne veut pas forcément dire être con,m'enfin là ça frise la connerie humaine quand même..! On exige que les joueurs de l'équipe de France de foot véhicule la notion de respect c'est bien mais alors il faut que cela soit la même chose pour tous nos représentant..Tant pis pour le réaménagement,les licenciements même..mais au moins on auras plus honte..! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Psycho [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] |
| Actu-One | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Mer 27 Juin - 18:47 | |
| Tiens en parlant des joueurs de foot .... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] |
| Invité | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Mer 27 Juin - 19:05 | |
| C'est pas faux..! Au retour de l'Euro la cote des joueurs est en baisse,le pire c'est qu'ils se tirent une balle dans le pied tout seul,irrespectueux et peu combatif nos joueurs ressemble plus a des dinosaures qu'a des coqs..! Sinon faut faire un prix de gros y inclure aussi le sélectionneur,cette perle.. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] |
| Actu-One | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Mer 27 Juin - 20:05 | |
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SPORT ET POLITIQUE
" La philosophie qui veut que sport et politique ne se mélangent pas est spécieuse et hypocrite. Les exploits sportifs sont aujourd’hui utilisés comme étalon de la grandeur d’un pays. "
H. Adefope, ministre des Affaires étrangères du Nigéria
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Le sport n’a rien à voir avec la politique ! Vraiment ? La neutralité du sport relève du mythe. Cette foi dans une prétendue autonomie a la vie dure. Ses chantres défendent la conception d’un sport pur, vecteur d’amitié entre les peuples, une entité qui se placerait au dessus des Etats, des conflits, des haines. A ce sujet, Fréderic Baillette constatait : "le sport est trés souvent présenté par ses laudateurs et ses défenseurs comme un fait universel, un invariant culturel(1)". L’angélisme qui consiste à appréhender le sport comme un donnée atemporelle nie sa genèse.
NAISSANCE DU SPORT
Dès l’Antiquité, et peut être même avant existaient des jeux et des activités physiques. Les plus connus étaient les Jeux Olympiques inventés par les grecs ou les affrontements de gladiateurs chez les romains. Mais les fondements et les objectifs de ces activités étaient bien différents de ceux du sport. On retrouve aussi avant le XIXème siècle en Europe des pratiques ludiques (les jeux traditionnels) comme la Soule et le Jeu de paume en France (2). Mais la naissance du sport est historiquement datée, il s’agit de la première moitié du XIXème siècle en Angleterre.
Le sport tel que nous le définissons ici est "un système institutionnalisé de pratiques physiques, compétitives, codifiées, réglées conventionnellement, dont l’objectif avoué est sur la base d’une comparaison des performances, de désigner le meilleur concurrent (le champion) ou d’enregistrer la meilleure performance (le record) (3)". il prend son essor avec l’avènement de la société capitaliste industrielle. Il n’est donc pas, comme l’écrit la revue Quel corps? "une entité transcendante survolant les époques et les modes de production (4)".
Il apparaît à une époque donnée, celle du développement du capitalisme et de la naissance de l’ère industrielle en Angleterre. Stefano Pivato dans Les enjeux du sport (2) explicite cette idée: "De façon générale, le sport s’est affirmé comme un ensemble de règles, de formalisation rigide des jeux préexistants et de disciplines à observer. Il devint une idéologie achevée que les historiens ont définis comme l’une des plus caractéristiques de l’ère victorienne: l’athleticisme. Vitesse, perfection, constant dépassement de soi, aspiration au succès et, surtout, esprit de compétition - cet esprit qui animait les lois du libéralisme économique - ont fait de l’athlétisme un vecteur de transmission des valeurs éducatives et morales accordées à la culture industrielle de la nation britannique".
LE DEVELOPPEMENT DU SPORT
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]La diffusion du sport va accompagner le développement du capitalisme et de son mode de production. Dans la seconde moitié du XIXème siècle, le sport se propage dans les principaux ports d’Europe avec la présence des navires anglais (par exemple Le Havre est le premier club de football français). Il se diffuse aussi avec les étrangers qui effectuent leurs études dans des grandes écoles britanniques.
Ensuite beaucoup de pays colonisés par les grandes nations européennes (en premier lieu la France et la Grande Bretagne) seront touchés par ce phénomène. L’impérialisme qui vise à faire triompher la conception occidentale du monde contribuera à la diffusion massive du sport.
NAISSANCE DE L’UTILISATION POLITIQUE
Dès la fin du XIXème siècle, certains individus, partis ou Etats utilisent le sport pour conforter ou développer leurs conceptions politiques et idéologiques.
Le baron Pierre de Coubertin voyait dans la restauration des Jeux Olympiques en 1896 un moyen de mettre en pratique ses conceptions très aristocratiques de la société et ses positions nationalistes (5). Au fil des années, les Jeux Olympiques prennent de plus en plus d’importance. Dans la société européenne de l’entre-deux-guerres, le sport devient un enjeu de tout premier plan. Comme le souligne Stefano Pivato: "des partis politiques, des mouvements d’opinion y voient très tôt un instrument permettant surtout l’adhésion des jeunes".
A partir de 1919, on peut dire que le sport devient partie-prenante des relations diplomatiques. Il s’enracine dans les stratégies politiques des Etats. Pierre et Lionel Arnaud notent dans Les premiers boycottages de l’histoire du sport: (6)"Pour la première fois, les Etats et les gouvernements sont tentés d’utiliser le sport à des fins extra-sportives au lendemain de la première guerre mondiale. Le sport devient une vitrine de la vitalité et de la grandeur des nations et, à ce titre , est promu par les hommes politiques comme instrument de propagande". Ainsi en 1919 ont lieu les Jeux Inter-Alliés (et non pas les J.O.). Dans le début des années 20, les rencontres sportives voient s’affronter les nations ayant gagné la Grande guerre. les Allemands, leurs alliés, les pays neutres ainsi que l’URSS en sont exclus. En France, c’est le ministère des affaires étrangères qui dirige la politique sportive.
SPORT ET FASCISME
Cette instrumentalisation du sport atteindra son paroxysme avec l’avènement des Etats totalitaires. Le fascisme italien a inauguré cette pratique en exploitant politiquement à outrance le football. Comme le rappelle Ignacio Ramonet, les fascistes pensaient que le football permettait de rassembler dans "un espace propice à la mise en scène, des foules considérables; d’exercer sur celles-ci une forte pression et d’entretenir les pulsions nationalistes des masses (7)". Le régime fasciste a permis aux sportifs italiens de s’illustrer sur la scène internationale. Dans les années 20 et 30 , les stades fleurissent dans toute l’Italie, comme celui de Turin nommé Benito Mussolini, d’une capacité de cinquante mille places. Le point ultime sera atteint en 1934 lorsque l’Italie organisera la seconde Coupe du monde de football, avec sur l’affiche officielle un footballeur le bras tendu. Le président de la Fédération italienne de football, le général Vaccaro (8) déclare que "le but ultime de la manifestation sera de montrer à l’univers ce qu’est l’idéal fasciste du sport". L’Italie remporte cette coupe. Au lendemain de cette victoire, on pouvait lire dans le journal Il Messaggero: "Au lever du drapeau tricolore sur la plus haute hampe du stade, la multitude ressent l’émotion esthétique d’avoir gagné la primauté mondiale dans le plus fascinant des sports. Et dans cette instant où est consacré la grande victoire - fruit de tant d’efforts - la foule offre au Duce sa gratitude. C’est au nom de Mussolini que notre équipe s’est battue à Florence; à Milan et hier à Rome, pour la conquête du titre mondial (9)".
Le nazisme imitera le régime mussolinien. Très tôt déjà, Hitler avait compris l’intérêt que pouvait représenter le sport, il écrivait dans Mein kampf: "des millions de corps entraînés au sport, imprégnés d’amour pour la patrie et remplis d’esprit offensif pourraient se transformer, en l’espace de deux ans, en une armée". L’organisation des Jeux Olympiques de 1936 revient à l’Allemagne (décision prise avant la venue d’Hitler au pouvoir). Les nazis profitent de cette occasion inespérée (dans un contexte où l’Allemagne se trouve isolée sur le plan international) pour montrer la puissance de leur idéologie. Funk, un assistant de Goebbels déclarait: "Les jeux sont une occasion de propagande qui n’a jamais connu d’équivalent dans l’histoire du monde (10)". Les Jeux Olympiques de Berlin furent un succès international qui a permis au régime nazi de montrer sa puissance, par l’intermédiaire des cérémonies gigantesques et des nombreuses victoires des athlètes allemands, préambule à ce que seront quelques années plus tard ses conquêtes militaires.
LE SPORT COMME OUTIL
Après la Seconde guerre mondiale, la défaite du fascisme et du nazisme n’entérine pas la fin de l’instrumentalisation du sport. Dès 1948, Eric Honecker - alors secrétaire général du Parti communiste de la RDA - déclarait: "Le sport n’est pas un but en soi; il est un moyen d’atteindre d’autres buts". Le sport servira de caisse de résonance aux grandes puissances et il permettra à beaucoup d’états d’accéder à une reconnaissance internationale. La croissante médiatisation du sport a favorisé sa politisation.
Les pays du bloc soviétique avaient saisi l’enjeu des victoires sportives. Ils se donnèrent les moyens de réussir, et toute une partie de la jeunesse fut embrigadée; elle forma les bataillons d’athlètes qui servirent la propagande. Les régimes staliniens comme le souligne Ignacio Ramonet n’hésiteront pas "à se livrer aux pires pratiques de sélection, de dressage, de conditionnement et de dopage pour fabriquer des champions et en faire les porte-drapeaux de leur politique (11)". Au lendemain des Jeux Olympiques de Munich de 1972, la Pravda déclarait: "Les grandes victoires de l’Union soviétique et des pays frères sont la preuve éclatante que le socialisme est le système le mieux adapté à l’accomplissement physique et spirituel de l’homme (12)".
Dans ce contexte de guerre froide, l’URSS et les Etats-Unis se livraient une "guerre" par sportifs interposés. Gérard Ford, président des Etats-Unis exprimait en 1974 les objectifs américains: "Est-ce que nous réalisons à quel point il est important de concourir victorieusement contre les autres nations [...] Etant un leader, les Etats-Unis doivent tenir leur rang. [...] Compte tenu de ce que représente le sport, un succès sportif peut servir une nation autant qu’une victoire militaire (13)". La petite île de Cuba a elle saisi l’intérêt politique et idéologique du sport. Face au blocus américain, les succès des cubains dans différentes manifestations sportives servent de vitrine au régime de Fidel Castro.
UN MOYEN DE RECONNAISSANCE
La participation et à plus grande échelle l’organisation d’une manifestation sportive d’envergure internationale (Jeux Olympiques ou Coupe du monde de football) permettent à des régimes dictatoriaux et autoritaires de trouver une légitimité.
L’Argentine de la junte du général Videla en organisant et en remportant le Mundial de 1978 fut reconnu par la communauté internationale. Les Jeux Olympiques de Munich en 1972 ont permis à Willy Brandt et aux sociaux-démocrates de conjurer les J.O. de Berlin et de mettre en avant une Allemagne démocratique, éloignée de ses vieux démons. Autre exemple parmi tant d’autres: l’Afrique du sud a accueilli pour la première fois en 1996 la Coupe africaine des nations de football. L’objectif était de signifier son intégration à la communauté africaine. Hassan II tente désespérément d’organiser une Coupe du monde de football. Le Maroc dans sa volonté de s’imposer comme leader du monde arabe a accueilli des événements importants comme les Jeux méditerranéens ou les Jeux panarabes.
A chaque grand événement sportif qui se dessine, de nombreux pays - principalement des grandes puissance ou des Etats qui voudrait s’affirmer comme tel - proposent leurs candidatures et se livrent une véritable bataille.
LE BOYCOTTAGE
Dans son article Au service de la raison d’Etat (14), Xavier Delavoix note que "L’utilisation la plus symptomatique et désormais la plus répandue du sport sur la scène politique internationale, est la protestation directement orchestrée par un Etat, le boycottage". L’histoire des grandes manifestations sportives de la seconde moitié du XXème siècle est jalonnée de boycottages de nature politique et diplomatique.
Aux Jeux Olympiques de Melbourne de 1956, six pays boycottent l’événement en signe de protestation. L’Espagne, les Pays-Bas et la Suisse refusent de rencontrer les envahisseurs de la Hongrie. L’Egypte, l’Irak et le Liban dénoncent l’intervention franco-britannique à Suez. En 1980, les Etats-Unis boycottent les Jeux Olympiques organisés à Moscou. Les pays soviétiques feront de même lors des J.O. de Los Angelès en 1984. Ces deux retentissantes absences s’expliquent par le contexte de guerre froide.
L’utilisation du boycott montre que le sport n’est pas la grande fête qui rassemble les peuples. Il est bel et bien un instrument au service des Etats, voire même une arme.
LE REFLET DU POLITIQUE
Le sport reflète bien souvent la situation sociale d’une ville, d’une région, d’un pays; il traduit la conjoncture politique et l’état de la situation diplomatique.
Ignacio Ramonet constate que "Dans les zones de conflits endémiques ou de guerre, le football, parce qu’il mobilise les foules et exaspère les passions reflète fidèlement la violence des antagonismes (15)". Les exemples de ces tensions concentrées et symbolisées par une épreuve sportive pleuvent, autant à une échelle locale qu’à une échelle internationale. En 1964, un but refusé lors d’un match opposant l’Argentine au Pérou a provoqué l’explosion des rivalités entre les deux pays provoquant trois cent vingts morts et plus de mille blessés. Un match entre le Salvador et le Honduras entraîna en 1969 une rupture diplomatique, suivie d’une déclaration de guerre et de l’invasion du Honduras par le Salvador. Plus récemment, on a pu assister à la montée des nationalismes entre les différentes régions de l’ex-Yougoslavie (16); les matchs de football se terminaient par des affrontements extrêmement violents entre les supporters des différentes équipes.
LE NATIONALISME
Ces exemples sont la conséquence directe du rôle joué par le sport dans la plupart des nations. Le cas du football, sport-roi sur toute la planète (ou presque) est le cas le plus extrême. Ignacio Ramonet écrit à ce propos: "Parce que chaque rencontre est un affrontement qui prend les apparences d’une guerre ritualisée, le football favorise toutes les projections imaginaires et le fanatismes patriotiques (17)". Les passions nationales se trouvent exacerbées par le sport qui les théâtralise. Dans un rapport sur "Le vandalisme et la violence dans le sport", les rédacteurs soulignent les enjeux d’une compétition: "Le titre de champion, n’est pas seulement conquis par une équipe, mais par la société dont elle est issue. La collectivité se projette donc dans l’équipe et place en elle ses espoirs de conquête, son énergie de vaincre, mais aussi ses frustrations personnelles et son agressivité (18)".
Le sport sert aussi de sentiment fédérateur à une communauté lorsque les projets collectifs manquent. "L’équipe nationale n’est donc pas le simple résultat de la création d’un Etat. Elle aide souvent à forger la nation. (19)" écrit Pascal Boniface. Les jeunes Etats-nations ont recourt à l’imaginaire produit par le sport pour forger une conscience nationale et affirmer son existence. Dans les années 60, lorsque les pays africains ont gagné leur indépendance, ils ont placé dans leurs priorités la mise en place de fédérations sportives. Dans le début des années 60 le Sénégal par exemple, a employé le sport pour consolider la nation naissante (20).
En avivant le nationalisme sportif et sa forte charge symbolique, c’est toute la nation qui apparaît et qui existe, pour elle même d’une part, mais aussi aux yeux de la communauté internationale. Ainsi l’Estonie, la Slovénie, la Croatie et la Lettonie, dès leurs indépendances ont créer leurs propres équipes nationales. Actuellement l’indépendance d’un Etat-nation passe par la création d’une équipe-nation, "dépositaire d’un énorme investissement symbolique et synthèse des grandes vertus patriotiques". Pascal Boniface dans Géopolitique du football constate que "parmi les premières manifestations de volonté des nouveaux états indépendants, figurait la demande d’adhésion à la FIFA. Comme si elle était aussi naturelle et nécessaire que l’ONU; comme si la définition de l’Etat ne se limitait plus aux trois éléments traditionnels - un territoire, une population, un gouvernement - mais qu’on doive y ajouter un quatrième tout aussi essentiel: une équipe nationale de football (19)".
Parfois cette volonté se manifeste avant que l’indépendance politique ne soit acquise. Avant 1962, le FLN avait créer sa propre équipe de football, constituée de joueurs se revendiquant algériens. Une tournée effectuée dans plusieurs pays a permis une reconnaissance symbolique d’une Algérie indépendante de la France. Toujours en Algérie, le nationalisme berbère s’incarne dans une équipe de football: l’ancienne Jeunesse sportive kabyle. En Espagne, les différents nationalismes s’expriment au travers des équipes de football, comme avec l’Athletic de Bilbao considéré comme l’équipe nationale basque.
Le sport comme l’écrit Philippe Liotard: " participe à l’établissement d’un légendaire spécifiquement national avec ses héros, ses épopées, ses Austerlitz et ses Waterloo (21)". Il entretient en assurant une fonction identitaire l’idée de ce qui n’est parfois qu’une fiction: la nation.
LE REGNE DU PROFIT
Aujourd’hui, un autre phénomène se produit, conséquence des changements politiques et économiques: la mondialisation du sport. On estime à 37 milliards (en audience cumulée) le nombre de téléspectateurs de la Coupe du monde de football de 1998. Les foules d’amateurs de sport n’ont de cesse d’augmenter et de se normaliser.
Les manifestations sportives deviennent des enjeux énormes, sur le plan politique (comme nous avons essayé de le montrer) mais aussi sur le plan économique. Les sommes investies dans ces événements sont conséquents, les multinationales et les grands groupes financiers utilisent le sport non seulement pour augmenter leurs profits, mais aussi pour faire triompher leur idéologie: "foules conditionnées par l’esprit de compétition et le culte de la performance sans limite, persuadés de la légitimité du combat perpétuel, de la juste domination du vainqueur couvert d’or et de prestige, de la soumission du faible au fort, de l’exploit et de la réussite individuelle (22)". Les médias jouent eux aussi un rôle croissant dans le sport. Désormais, grands groupes industriels, médias et clubs sportifs se retrouvent dans un agrégat où seules la performance et la loi du marché règnent. La marchandisation des épreuves se doublent d’une chosification des athlètes auxquels on demande toujours plus d’exploits. Christian Bromberger dans Aimez-vous les stades? résume cela: " Le sport de compétition n’est pas seulement la religion de la mondialisation, avec ses temples, ses cérémonies, sa liturgie, son clergé et ses fidèles, ses évangélistes, son inquisition et ses martyrs, elle est aussi une vitrine ouverte sur l’avenir radieux du capitalisme planétaire, celui de la société du spectacle et de la marchandisation universelle (22)".
Le sport a suivi les évolutions politiques et économiques. Comme l’écrit Jean-Marie Brohm, le sport est "un véhicule puissant de diffusion de l’idéologie établie". L’activité sportive s’inscrit dans l’ensemble des rapports sociaux, économiques, politiques, idéologiques et symboliques. Elle va même plus loin, elle contribue à pérenniser le système actuel en détournant les esprits vers des constructions symboliques qui servent les intérêts de certaines classes sociales dominantes.
Cdric
Notes
(1) Frédéric BAILLETTE, "Les arrières-pensées réactionnaires du sport", Quasimodo, octobre 1996.
(2) Lire à ce sujet : Stefano PIVATO, Les enjeux du sport, Casterman/Giunti, 1994.
(3) Jean-Marie BROHM et Bernard YANEZ, "Les fonctions sociales du sport de compétition", L’opium sportif, L’Harmattan, 1996.
(4) Quel corps?, "Vingt thèses sur le sport", Quel corps?, avril-mai 1975.
(5) Lire à ce sujet : Bernard YANEZ, "Deux visages du fascisme : Coubertin et Hitler", Quel corps, Maspero, 1978.
(6) Pierre et Lionel ARNAUD, "Les premiers boycottages de l’histoire du sport", Nationalismes sportifs, Quasimodo, printemps 1997.
(7) Ignacio RAMONET, "Le football c’est la guerre", Football et passions politiques, Manière de voir, mai-juin 1998.
(8) Cité par Christian HUBERT, 50 ans de coupe du monde, Arts et voyages, 1978.
(9) Il Messaggero, journal romain, extrait d’un article publié au lendemain de la victoire de l’Italie.
(10) Cité par Andrew Strenk, The thrill of victory and the agony of defeat, Orbis, 1978.
(11) Ignacio Ramonet, "la mort en direct", Le sport, c’est la guerre, Manière de voir, mai 1996.
(12) Pravda, 17 octobre 1971.
(13) Cité par Andrew Strenk, "What price victory?", Annals of the American Academy of Political and Social Science, septembre 1979.
(14) Xavier DELACROIX, "Au service de la raison d’Etat", Cf (11)
(15) Ignacio Ramonet, voir (7).
(16) Lire à ce sujet : Ivan COLOVIC, "Nationalismes dans les stades en Yougoslavie", Cf (7).
(17) Ignacio RAMONET, "Passions nationales", Cf (1).
(18) Rapport sur "Le vandalisme et la violence dans le sport", par Jessica Larive, Parlement européen, document de séance.
(19) Pascal BONIFACE, "Géopolitique du football", Cf (7).
(20) Lire à ce sujet : Bernadette DEVILLE-DANTHU, "Le sport support de l’idée de nation", Cf (6).
(21) Philippe LIOTARD, "Questions pour les champions", Cf (1).
(22) Christian BROMBERGER, "Aimez-vous les stades", Cf (11).
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| Malvilar | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Jeu 28 Juin - 6:47 | |
| des millions de corps entraînés au sport, imprégnés d’amour pour la patrie et remplis d’esprit offensif pourraient se transformer, en l’espace de deux ans, en une armée". En fait les affrontements sportifs ont remplacé les guerres donc nos joueurs sont des pacifistes en fait, des objecteurs de conscience, des héros quoi |
| Psycho99 | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Jeu 28 Juin - 7:05 | |
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Dernière édition par Psycho99 le Jeu 28 Juin - 15:56, édité 3 fois |
| Psycho99 | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Jeu 28 Juin - 8:11 | |
| on a les héros qu'on mérite lol on est loin de l’Iliade et l'odyssée... |
| Malvilar de KORUSKAN | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Jeu 28 Juin - 9:27 | |
| Euro 2012 : les Bleus doivent-ils toucher leurs 100 000 euros de primes ?
Pour avoir atteint les quarts de finale, les joueurs de l'équipe de France doivent toucher 100 000 euros chacun. Plusieurs voix se sont élevées contre le versement de cette récompense jugée imméritée [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Jérémy Ménez, à son arrivée à l'aéroport du Bourget (AFP KENZO TRIBOUILLARD)Ils ont fait le job, en atteignant les quarts de finale de l'Euro 2012. Et même s'ils n'ont gagné qu'un seul match (face à l'Ukraine), les joueurs de l'équipe de France doivent empocher une prime promise par la Fédération française de football. Le montant de cette somme durement gagnée ? 100 000 euros, rien moins.Représentant l'ensemble des Bleus, Cédric Carrasso, Alou Diarra, Hugo Lloris, Philippe Mexès et Florent Malouda avaient négocié avec la FFF avant le début de l'Euro. Ils avaient obtenu la promesse d'un chèque de 320 000 en cas de victoire finale.L'ennui, c'est que si le contrat minimum des quarts de finale a été rempli, la manière a sérieusement laissé à désirer. Non seulement le jeu a été d'une pauvreté sans nom, mais surtout [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a autant choqué que déçu. Citons pèle-mêle [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]contre des journalistes, l'attitude répréhensible de Hatem Ben Arfa ou Jérémy Ménez, et le retour dimanche en France [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]qui les attendaient à l'aéroport du Bourget. Du coup, des voix, se sont élevées contre le versement de ces primes.Pour la ministre des Sports, Valérie Fourneyron, c’est à la FFF de décider si les joueurs méritent cet argent.Le député PS de Seine-et-Marne Olivier Faure a posé ouvertement la question sur Europe 1 : "Aujourd'hui effectivement, nombre de Français doivent se poser la question de savoir pourquoi on paye des gens qui respectent aussi peu leur public", a déclaré ce proche du président et du Premier ministre sur Europe 1. "Quand on a des Français qui souffrent autant des questions de pouvoir d'achat et qui voient des joueurs qui vont empocher quand même 100 000 euros à l'issue de cette compétition, les voir ensuite mépriser leur public, c'est très douloureux." Pour Jean-Louis Borloo, président du nouveau groupe centriste à l'assemblée nationale UDI, " la Fédération devrait se poser la question et faire en sorte que ces primes aillent au football amateur me paraîtrait une bonne décision", a-t-il dit sur RTL. Concernant l’utilisation de la prime, certains citent le comportement des joueurs de l’équipe d’Italie qui ont choisi de reverser leur prime à la région d’Emilie-Romagne très touchée à la suite d’un séisme dévastateur. Dans la Squadra Azzurra, il y a eu un consensus. Selon la Fédération italienne, tous les joueurs "ont manifesté l'intention de reverser leurs primes de l'Euro aux victimes des tremblements de terre en Emilie-Romagne" survenus les 20 et 29 mai, qui ont fait 25 morts et causé pour plusieurs milliards d'euros de dégâts, 15.000 personnes ayant notamment dû abandonner leur domicile. Du côté de la sélection espagnole, une partie de la prime de chacun sera reversée pour les différents travaux des installations sportives de la cité du football, où ont lieu les rassemblements des équipes nationales. En cas de victoire en finale, les joueurs espagnols recevront des sponsors tout de même 300.000 euros chacun, soit 20% de plus qu'en 2008 lorsqu'ils avaient été sacrés une première fois. À lire aussi [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Sud Ouest |
| Invité | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Jeu 28 Juin - 10:42 | |
| Déjeuner Dahan / Thomas Hollande: La colère de Nadine Morano qui veut porter plainte Ce matin, jeanmarcmorandini.com
relayait une information du site du Point, selon laquelle hier vers 13 heures, Thomas Hollande
, l'un des fils de François Hollande
, et Gérald Dahan
ont déjeuné ensemble dans un restaurant du 5ème arrondissement de Paris situé rue Cujas. La réaction de Nadine Morano ne s'est pas fait attendre! Sur Twitter, elle a déclaré: La presse rapporte que Gérald Dahan et Thomas Hollande ont déjeuné ensemble au restaurant le Cosi rue Cujas à Paris mardi... Et surtout: "... Jeudi, je dépose un recours au Conseil Constitutionnel et ma plainte au Tribunal" Rappelons que quelques jours avant le second tour des élections présidentielles, Gérald Dahan s'était fait passer pour Louis Alliot, numéro deux du FN, auprès de Nadine Morano. L'ancienne ministre de Nicolas Sarkozy accuse Gérald Dahan d'avoir été instrumentalisé par le Parti Socialiste. |
| Invité | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Jeu 28 Juin - 17:09 | |
| Sans rire, elle veut faire siéger le Conseil Constitutioinnel [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Je suppose qu'elle se dit dit qu'elle peut faire fi du ridicule, ça marche pour Marine et c'est tout ce qui compte pour elle! |
| Invité | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Ven 29 Juin - 10:55 | |
| Qui sont les politiques les plus populaires sur Twitter ? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] « Précédent 1/13 [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Royal, Hollande, Valls, Morano... tous sur Twitter Depuis la campagne présidentielle, le réseau social est devenu un terrain politique incontournable. Instrument de pouvoir et de popularité ou lieu de dérapages incontrôlés, les politiques n'utilisent pas toujours Twitter à bon escient. Il faut dire que le réseau n'est pas tendre en matière de débat politique. Et certains en ont fait les frais : en témoigne Nadine Morano et ses nombreux comptes parodiques ou encore Eric Besson qui vient finalement de fermer son compte après des gaffes à répétition. 140 petits signes peuvent parfois s'avérer un bon moyen de gagner en popularité ou risque au contraire de discréditer les acteurs du jeu politique. Un point post-campagne sur les personnalités politiques les plus influentes de Twitter s'impose.
Pluriel.fr
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| Invité | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Sam 30 Juin - 11:07 | |
| Le député socialiste et président de Terra Nova, Olivier Ferrand meurt à 42 ans d'un arrêt cardiaque [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Le député socialiste et président de Terra Nova Olivier Ferrand, 42 ans, est décédé, annonce la fédération PS des Bouches-du-Rhône. "Il est parti ce (samedi) matin faire un jogging et a fait un arrêt cardiaque au retour. Les pompiers n'ont pas réussi à le ranimer", a dit Jean-David Ciot, évoquant un "énorme choc". Né à Marseille, diplômé d'HEC, de Sciences Po et de l'ENA, il a intégré en 1997 le Trésor avant de devenir conseiller de Lionel Jospin, de Pierre Moscovici et Dominique Strauss-Kahn. Le 17 juin dernier, il a été élu député de la 8e circonscription des Bouches-du-Rhône. «C'est un retour chez moi que je voulais depuis longtemps», expliquait-il. JMM |
| Invité | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. Sam 30 Juin - 16:54 | |
| Mary-Kate Olsen : son père furieux de sa relation avec le frère de Nicolas Sarkozy C'est sans doute le couple le plus improbable du moment et d'ailleurs la relation entre Olivier Sarkozy, petit frère de l'ancien président, et Mary-Kate Olsen, la it-girl de 26 ans, n'a pas fini de faire couler de l'encre. La première à avoir réagi à cette union pour le moins surprenante : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]l'existence d'une quelconque histoire entre Olivier Sarkozy et la jeune milliardaire. Mais l'ex-femme du principal intéressé va bien devoir en croire ses yeux puisque [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Le doute n'est donc plus vraiment permis. Et c'est ce qui a probablement mis hors de lui le père de Mary-Kate Olsen, qui, selon le "National Enquirer", est littéralement furieux de la relation qu'entretien sa fille avec le petite frère de l'ancien président de la République. David Olsen désapprouverait en effet vivement que Mary-Kate fricote avec un homme d'affaires de 18 ans son aîné. "Mary-Kate a plus l'air d'être la fille d'Olivier que sa petite amie, et son père est furieux de cette relation. Alors que sa jumelle Ashley a déjà fréquenté des hommes plus vieux, c'est la première fois pour Mary-Kate et son père a peur qu'Olivier ne soit pas la bonne personne pour elle", a confié une source. "David a appris qu'Olivier a pour habitude de viser des femmes plus jeunes et il est suspicieux quant à ses véritables intentions. Il ne veut pas que l'on se serve de Mary-Kate." Closer
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| Invité | | | Sujet: Re: L'Actu politique vu par le Galion.. | |
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