Citation :

1- C'est la faute du téléchargement illégal sur internet

Je pense que ça vient de là.. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

c'est à cause de mamie nicole [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] je ne l'aime pas alors je peux l'accuser captain [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Psycho99 a écrit:

!!! au moins entre Morano, Joly, Guéant et ACCOYER on rit pour cette campagne [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Chocacao je te salue !!

"Maintenant que la note si sacralisée est abaissée, que notre triple A est un barrage moins solide que d'autres, l'UMP et le gourvernement vont certainement nous dire que tout cela n'est pas si grave.
Et puis il va falloir trouver des boucs-émissaires.
J'ai décidé, par souci d'unité nationale, d'aider le gouvernement UMP à trouver quelques excuses.
En voici 10 :
1- C'est la faute du téléchargement illégal sur internet
2- C'est la faute de François Hollande qui entame son troisième quinquennat à l'Elysée
3- C'est à cause de tous ces minables qui gagnent seulement 5000 euros par mois (réservée à Jean-François Copé)
4- C'est la faute à la suppression du quotient familial et au risque de guerre si la gauche passe.
5- C'est à cause de Carbon Kevlar. Et de la série Bref. Et des hipsters (Spéciale dédicace à Stéphane D).
6- C'est à cause de Star Wars The Old Républic
7- C'est à cause de mai 68
8- C'est à cause des 35 heures. Ou des chômeurs. Ou de la sécurité sociale.
9- C'est à cause des musulmans, euh pardon des Auvergnats...
10- C'est vendredi 13
Toi aussi, fait preuve de gentillesse et aide l'UMP à trouver des excuses.

Source: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Coucou PSYCHO

Je suis pliée de rire quand je te lis lol

chocacao a écrit:

c'est à cause de mamie nicole [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] je ne l'aime pas alors je peux l'accuser captain [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

CHOCO C'est de la faute à tous sauf à mon NDA

chocacao a écrit:

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

mdr le couple de l'année,

sarko aurait dit en substance, à une journaliste de droite (le pire), avec fillon on est comme un couple sans problèmes, quel culot lorsqu'on sait qu'ils se détestent et se haissent au plus haut point. et que sarko décide de tout et l'autre n'est qu'un 1er ministre par procuration

il s'agit d'un "entretien " entre Sarko et Syvlie Brossolette du Point paru dans le n° en vente en ce moment avec une couv : "Sarko le complexe de Zorro "..la Sylvie n'a posé aucune question elle s'est contentée d'écrire ce que lui dictait le sarko ... il lui aussi dit que sa faiblesse c'était le pardon [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

phrase du jour "si la gauche passe " :
un tsunami se produira dans les bassins des Tuileriesprovoquant la destruction de l'assemblée nationale toute proche

Citation :

Bonjour

Après le passage à France 2 (jeudi soir) de Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de Gauche, je me permets de vous communiquer deux articles de presse que vous trouverez ci-dessous (Le Monde et France Soir).Par ailleurs, suite à la « dégradation de la note » de la France par l’agence étatsunienne Standard & Poor's, je vous fais part du communiqué de notre candidat.À diffuser sans modération.Bien fraternellement.Gérard Beck Remarques : 1°/ Il est possible de visionner l’émission de France 2 de jeudi soir à l’adresse : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Rappel : toutes informations sur le site Place au peuple - 2012 : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] À lire également sur le site de l’Huma :- « La France a perdu son triple A » : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] « Mélenchon partage ses idées avec une foule de téléspectateurs » :http://www.humanite.fr/politique/melenchon-partage-ses-idees-avec-une-foule-de-telespectateurs-487757

Communiqué du 13 janvier 2012
La guerre de la finance est déclaréeL’agence de notation Standard & Poor's déclare la guerre de la finance contre la France. Il faut résister. Se coucher devant la finance aiguise son appétit. La capitulation grecque l'a prouvé. Il faut rendre les coups. La Banque Centrale doit annoncer immédiatement qu’elle prêtera à la France à un taux très bas. Faute de quoi il faut suspendre les versements français au budget de l'Union européenne et couvrir les prochaines tranches avec un emprunt forcé sur les banques françaises qui viennent d'être gavées par la BCE. La guerre entre la finance et le peuple est déclarée. Chacun doit choisir son camp, sans tergiverser.

Le Monde – Édition du vendredi 13 janvier 2012
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Jean-Luc Mélenchon tente de se poser en interlocuteur incontournable à gauche
Jean-Luc Mélenchon était, jeudi 12 janvier, l'invité de l'émission de France 2 "Des paroles et des actes". Selon la chaîne publique, il a réuni plus de 3,2 millions de téléspectateurs, soit 13,3 % de parts d'audience. Mieux que Jean-François Copé (11,1 %), Alain Juppé (9,4 %) mais derrière Marine Le Pen (15,1 %). C'est pour lui une aubaine alors qu'il rêve de s’imposer dans la cour des "grands" candidats à l'élection présidentielle.

Alors qu'il est crédité de 7% à 8 % des intentions de vote (en hausse depuis un mois), M. Mélenchon est venu entouré de plusieurs personnalités du Front de gauche. On pouvait apercevoir dans le public, derrière lui, Marie-Georges Buffet (PCF), Clémentine Autain (Fédération pour une alternative sociale et écologique, Fase) ou Christian Picquet (Gauche unitaire). Le candidat est parvenu, durant plus de deux heures, à détailler ses propositions et à bousculer quelque peu l'ordonnancement de l'émission."JE PARLE COMME JE VEUX"Le président du Parti de gauche est apparu combatif, ne se laissant pas démonter par des statistiques affichées par le journaliste François Langlet et qui perturbaient sa démonstration, ou coupant la parole à ses interlocuteurs pour finir ses explications. Il a gardé tout au long sa voix de stentor, son ton en colère, l'abandonnant seulement face à Jean-Louis Beffa, ex-patron de Saint-Gobain.Interrogé tout d'abord sur son style de campagne, souvent tonitruant, M. Mélenchon a répondu : "Je parle comme je veux et comme des millions de gens." "Trouver un trait, un bon mot, marque les esprits", s'est-il justifié, assumant une stratégie "rentre-dedans" vis-à-vis des médias.Lors de la traditionnelle séance "pour-contre", il a défendu la régularisation des sans-papiers, en précisant qu'il militait pour celle des "travailleurs sans papiers". "C'est la seule manière d'arrêter le dumping social, a-t-il affirmé. Un travailleur qui n'a pas de papiers ne peut pas se défendre et faire appliquer le code du travail. Donc il est maltraité, sous-payé."Il a esquivé, en revanche, la question de la proposition de réforme du quotient familial évoquée par le Parti socialiste. "Je n'ai pas l'intention de courir derrière chaque invention des communicants socialistes. Je suis pour une vraie réforme fiscale", a-t-il lancé.Ne manquant pas de tacler une fois de plus ses anciens amis socialistes, M. Mélenchon a refusé de dire s'il appellerait à voter pour François Hollande, renvoyant la balle dans le camp du candidat PS : " Je veux l'entendre dire 'si Mélenchon est en tête de la gauche au second tour, je voterai pour lui'." Il a néanmoins précisé qu'au second tour, il ne négocierait pas: "Je lui dirai : 'voilà quel est le programme du Front de gauche.Vous voulez que les électeurs du Front de gauche votent pour vous à 100% alors convainquez-les ! Débrouillez-vous !'" Avant de conclure sur ce chapitre: "J'estime que le Front de gauche est la condition de la victoire de la gauche. François Hollande n'est pas mon adversaire, c'est mon concurrent."La partie la plus longue et la plus intéressante du débat a été consacrée à son programme de relance économique. Le candidat du Front de gauche s'est employé à marquer sa différence. "Tous sont pour l'austérité sans exception. Si, une seule, le Front de gauche !", s'est exclamé le député européen. A ses yeux, "la relance de l'activité est la sortie de la crise par le haut".HAUSSE DU SMIC À 1700 EUROSL'ex-sénateur, qui a beaucoup mis en avant ses racines socialistes, a défendu les revendications traditionnelles de la gauche radicale, comme le retour de la retraite à 60 ans pour tous et l'augmentation du smic à 1 700 euros. Lors de cette séquence, il a insisté avec un bon numéro d'agit-prop : "J'en ai par dessus la tête de m'entendre dire que ce n'est pas possible", s'est énervé le candidat. "Aujourd'hui, le smic horaire, c'est 9 euros. La proposition du Front de gauche, c'est 1 700 euros bruts. Vous savez de quoi on parle ? On parle de ça !" a-t-il lancé en brandissant une pièce de 2 euros. Avant d'ajouter rageusement : "Voilà ce qui fait verser de grosses larmes à tous ces puissants."Usant de beaucoup d'humour tout au long de l'émission, l'ex-socialiste a voulu terminer sur une date plus grave en lançant : "Si nous ne gagnons pas, il va y avoir un immense tumulte, mais nous ne savons pas comment il va tourner. C'est pour cela que vous me voyez si passionné." Avant d'ajouter, dans une ultime pirouette, qu'il ne regrettait rien dans cette campagne : "Le repentir, ce n'est pas trop mon truc. Je l'ai pratiqué quand j'étais enfant de chœur mais, là, j'ai passé l'âge."Sylvia Zappi

France Soir – Édition du vendredi 13 janvier 2012
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] La renversante prestation de MélenchonSur France-2 jeudi soir, le candidat du Front de gauche a exigé de François Hollande qu’il le prenne enfin au sérieux. Et affirmé que ''la colère populaire était immense''. Mélenchon a fait très fort jeudi soir dans l'émission "Des paroles et des actes'' sur France-2 (photo d'archive) SIPAQuel que soit le résultat de l’élection présidentielle, la prestation –jeudi soir, en prime time et en direct sur France-2– du candidat du Front de gauche, Jean-Luc Mélenchon, fera date. En tout cas, cela restera, quoi qu’on pense de l’intéressé, comme un temps fort, impressionnant. Sous l’œil ravi et séduit de Marie-Georges Buffet, ex-ministre des Sports et ex-patronne du PC, Mélenchon, dans un style torrentiel qui n’avait rien à voir avec le langage convenu des énarques, des avocats ou des agrégés de lettres, a fait, en effet, une démonstration de force, à la fois physique et psychologique.Démonstration de force physique parce que l’ex-troskiste s’est donné à fond pour défendre le « peuple » et vendre ses idées révolutionnaires (y compris face à l’ancien Pdg de Saint-Gobain, le courageux et placide Jean-Louis Beffa, que Mélenchon a sommé –en vain– de montrer sa feuille de salaire). Démonstration de force psychologique parce que l’ex-ministre de Lionel Jospin a rudement fait comprendre à François Hollande qu’il avait intérêt à ne pas le mépriser, et à tenir compte de ce que propose le Front de gauche (dont il a brandi à plusieurs reprises devant les caméras le programme, en soulignant, par exemple, que le retour à la retraite à 60 ans n’était pas négociable). ''La cocotte-minute est en train de bouillir''On savait que Mélenchon était, dan son registre, un remarquable orateur. Jeudi soir, il a été spectaculaire, dans un style abrupt et passionné, cousin par moments de celui du Georges Marchais de la « grand époque », celui des années 70. Précisément, jamais depuis Marchais, le PC n’avait vu l’un de ses « représentants » tenir l’antenne à ce point, aussi longtemps et aussi fièrement.Sur le fond, on retiendra quatre choses. 1.Mélenchon s’est présenté comme le seul vrai rempart contre le Front national, dont il craint, dit-il, l’ascension, mais dont il déplore aussi que certains à gauche l’instrumentalisent. 2.Il estime que personne ne peut dire aujourd’hui qui sera au second tour de la présidentielle. Ni même, a-t-il insisté, qui sera en tête à l’issue du premier tour. 3.Il affirme que François Hollande n’a aucune chance de l’emporter s’il fait l’impasse sur le Front de gauche et ses idées. 4.Il l’aura martelé toute la soirée : dans la France d’aujourd’hui, «la colère populaire est immense» et «la cocotte-minute est en train de bouillir». Sous-entendu: tout peut arriver. Jeudi soir, sur France-2, l’air, à certains instants, n’était pas frais ni même froid, mais soudain glacial.
Par Dominique de Montvalon

Post rectifié L'oizo...^^ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Qui ? Nicolas Sarkozy, président de la République.

Où ? À Amboise en Indre-et-Loire, lors d'un discours pour le 100e anniversaire de la naissance de l'ancien premier ministre Michel Debré.

Le contexte : Alors qu'il n'a toujours pas annoncé sa candidature à l'élection présidentielle, Nicolas Sarkozy a subi cette semaine la perte du triple A par l'agence de notation Standard & Poor's, entraînant son lot de réactions politiques négatives.

Bonus-track : "Je dirai (aux Français) les décisions importantes qu'il faut prendre sans perdre de temps. Je leur dirai que la crise peut être surmontée, pourvu que nous ayons la volonté collective et la force de réformer notre pays."

"Depuis 2008, on a traversé cette crise absolument sans précédent, peut-être depuis un siècle, j'ai choisi de dire la vérité aux Français sur la gravité de la crise. Je leur ai dit qu'il s'agissait d'une épreuve qu'il ne fallait ni sous-estimer, ni dramatiser à l'excès. C'est une épreuve et, en tant que telle, il faut l'affronter. Il faut résister, il faut se battre, il faut faire preuve de courage, il faut faire preuve de sang-froid. On ne répond pas à une crise de cette ampleur par l'agitation, par l'emportement."

Sources : Le Monde

Coucou,
j'aime bien ta signature chocacao "à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire" : ça serait pas le slogan de la gauche pour les élections ? Parce que des périls (je parle de vrais périls, pas de recruter des fonctionnaires pour sauver son image de "populaire"), on peut pas dire qu'elle en ait beaucoup vaincus.

CC Nanny Choco et tous

Sarkozy-Hollande-Le Pen-Bayrou : les 4 Dalton de Jean-Luc Mélenchon

Jean-Luc Mélenchon était à Nantes samedi pour le premier meeting de son parti, le Front de Gauche, en vue de l'élection présidentielle.

Le candidat, après l'annonce de la perte du AAA pour la France, a appelé à la résistance face aux agences de notation, et s'en est pris aux 4 principaux candidats : Sarkozy, Hollande, Le Pen et Bayrou. "Voici qu'apparaissent les quatre Dalton de l'austérité. Et comme vous le savez, chez les Dalton, c'est le plus petit le plus méchant !" :

Le Post.fr

" il faut faire preuve de sang-froid. On ne répond pas à une crise de cette ampleur par l'agitation, par l'emportement."
bel exemple de méthode Coué [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] , devinez qui a fait preuve de manque de sang froid, d'agitation, et d'emportement depuis 5 ans ?????

si la gauche passe :
tous les bateaux de croisière feront naufrage

le nain ? j'ai gagné quoi

Un huissier débarque chez un couple endetté et lui propose de répondre correctement à 3 questions sur 5 pour éviter la saisie de leur véhicule.

La télé réalité n'avait pas vraiment de tabou outre-Atlantique, mais il semble que cette fois-ci, une émission diffusée par la chaine Spike TV s'est surpassée dans le trash et le nauséabond, puisqu'elle propose rien de moins que de vous emmener dans l'univers des surendettés et de rire leur misère.

L'émission met en scène de véritables agents du recouvrement chargés de saisir des voitures dont les traites n'ont pas été réglées par les propriétaires. Surfant sur la crise qui dévaste aux États-Unis comme en Europe les familles précaires voire celle de la classe moyenne, une équipe de télévision va filmer l'arrivée fracassante de l'huissier dans la maison des mauvais payeurs.

Il est difficile de critiquer un huissier qui fait simplement le travail pour lequel il est payé même si parfois nous pouvons trouver cela révoltant. Dans Repo Games, les huissiers ont des gueules de beaux gosses et sont taillés comme des armoires à glace. Leur job ? Débarquer chez les propriétaires en défaut de paiement et leur proposer de répondre à un quizz pour sauver leur véhicule dont les traites restantes seront honorées par la production.

Sur la base de 5 questions de culture dite générale du style: "Combien de couleurs différentes pour les smarties" ou encore "dans quel pays vous trouvez-vous si vous bronzez sur une plage de Rio de Janeiro", les futurs ex-propriétaires doivent avoir 3 bonnes réponses pour conserver leur bien.

Le programme a été lancé en Avril 2011 par la chaine Spike TV et il fait déjà plus de 1,4 millions d'adeptes à chaque diffusion. Qu'est ce qui attire ces fans ? Certainement pas l'envie de se cultiver grâce aux questions inventées par la prod, mais plus spécialement l'attitude des perdants considérée comme "hilarante" par la chaîne elle-même et les échanges sur twitter qui s'ensuivent.

En effet, majoritairement perdants, les débiteurs ne peuvent accepter de voir leur bien s'envoler et réagissent souvent de façon extrême voire violente. Les insultes et les coups de poings pleuvent alors qu'un service de sécurité se charge de sécuriser l'équipe. Certains s'agrippent désespérément à leur voiture alors même que dans le cas le plus extrême un propriétaire a carrément fait feu avec son revolver sur le véhicule du tournage.

Même si les concepteurs de l'émission expliquent qu'ils ne font que donner une chance à ces familles de conserver un bien d'ores et déjà perdu, on ne peut être qu'affligé devant cette mise en scène de la misère et du désespoir. La cible choisie, la voiture, n'est pas un choix innocent dans un pays gigantesque ou celle-ci représente le bien le plus précieux pour aller travailler.

Et vous, pensez-vous qu'un tel programme télévisuel puisse se justifier?

Eric Fcd

Sources : France 2 , Spyke.com, autoblog.com, Wikipedia , money.cnn ,

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] le droit d'aller voter ...et de chanter : "tagada tagada, voilà Le Dalton "

carla s'est fait tirer le visage ( à défaut du reste) elle ressemble de + en + à une chouette
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Quatre années séparent ces deux photos, et il faut bien dire que Carla Bruni est défigurée par la chirurgie... On dirait qu'elle a eu un lifting des paupières raté, c'est horrible ! Sans parler de l'aspect de la peau...

Pour ceux qui n'auraient pas vu les photos de Carla Bruni jeune, AVANT toute chirurgie, puis au cours de ses différentes opérations, c'est ici ! Pour info, dans les années 90, les autres mannequins l'appelaient " Robocop" , tellement elle était refaite...
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

la première dame de france et Ce qu'elle dit du sexe et du couple...

"Très agréable, le sexe. C'est un des avantages de vieillir : c'est mieux. J'ai 39 ans et l'âge augmente la sensualité et le plaisir." (Interview de Richard Gianorio dans le ''Figaro Madame'', 15/02/07)
"Je suis une amadoueuse, une chatte, une Italienne. J'aime projeter la féminité la plus classique : la douceur, le 'charmage', la 'charmitude', comme pourrait dire Ségolène." (Interview de Richard Gianorio dans le ''Figaro Madame'', 15/02/07)
"Je suis monogame de temps en temps mais je préfère la polygamie ou la polyandrie. L'amour dure longtemps, mais le désir brûlant, deux à trois semaines." (Interview de Richard Gianorio dans le ''Figaro Madame'', le 15/02/07)
"Le paradis, ce serait un cuisinier français, un policier anglais, un manager allemand et un amant italien. L'enfer, ce serait un cuisinier anglais, un policier allemand, un manager italien et un amant français" (supplément du ''Monde'', 2003)
"Si tu as deux cent cinquante gonzesses, tu es un charmant don Juan. Mais si moi, je me permets d'avoir deux cent cinquante mecs, on sait ce que je suis. Je suis une pute, qui ne se fait pas payer, certes, mais voilà" (''Les Inrockuptibles'', 16/04/03)
"Aujourd'hui encore, j'aime être regardée. Le pire pour moi, ce n'est pas de déplaire, c'est de ne pas être vue." (Interview de Richard Gianorio dans le ''Figaro Madame'', 15/02/07)

sarko t'as tout faux mec

Je pensait a Carla Bogdannof [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] la sœur caché dues fameux jumeaux du même nom...lol
Sérieusement,il faut bien pensez a allez votez,l'air de rien c'est important..^^
Alors tous aux urnes.. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Actu lorsque tu vois les déchets de types avec qui elle a couché, serieux, sarko prend que les restes des autres , entre l'ex femme de jacques martin et celle là, c'est berkk

Han Choco je l'avais mise je ne sais ou cette photo...horrible !! :face:


Quelles sont les mesures concrètes annoncées ?

- 1.000 emplois vont être créés... chez Pôle-emploi. En effet, avec la hausse du nombre de demandeurs d'emplois, il faut plus de personnel pour accueillir tout le monde, de la meilleure des façons ;

- Les TPE (Très Petites Entreprises) verront leurs charges supprimées pendant 6 mois si elles embauchent des jeunes de moins de 26 ans ;

- La généralisation du chômage partiel. Qu'est-ce que c'est ? Il est destiné aux entreprises qui connaissent des baisses passagères d'activité. Elles pourront ainsi réduire temporairement le temps de travail de leurs salariés ou suspendre leur activité, tandis que l'Etat prend en charge une partie de l'allocation versée aux salariés. Après une injection de 140 millions d'euros annoncée par le président, les procédures de ce chômage partiel seront simplifiées ;

- Une formation renforcée pour les chômeurs. "L'objectif est simple : que chaque chômeur ait une formation et qu'il soit conduit à accepter l'offre d'emploi qui lui est proposée", a ainsi déclaré Nicolas Sarkozy.

"La gravité de la crise nous impose de prendre des décisions", a expliqué le président pour justifier ces mesures. "Se réfugier dans l'attentisme, ce serait donner raison à tous ceux qui jouent sur l'impuissance du politique et du syndicalisme pour prospérer". Faisant référence à l'élection présidentielle qui se profile, il ajoute qu'"on ne peut pas attendre les échéances politiques pour décider".

Le figaro.fr

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François Hollande n'est pas content et il l'a fait savoir à son équipe, mercredi. Une "sévère mise au point" en réaction à la critique de l'aile gauche du PS sur sa mesure phare relative aux 60.000 postes dans l'éducation, note Le Figaro.

La veille, Benoît Hamon, porte-parole du parti, Henri Emmanuelli et Marie-Noëlle Lienemann, s'étaient indignés dans un communiqué commun que cette mesure se réalise par "redéploiement" et non par des créations nettes de postes.

Des voix discordantes, une position floue... dont l'UMP s'est fatalement emparées.

Malaise

"François Hollande a fait une sévère mise au point en disant qu'il fallait savoir si on voulait gagner", a affirmé un participant, cité par Le Figaro. Le candidat du PS aurait également ajouté qu'"on a tout pour gagner. Si on ne gagne pas, on ne le devra qu'à nous-mêmes, vous n'êtes pas obligés de vous commenter les uns et les autres et de m'obliger à corriger les uns et les autres".

"Le sentiment général, c'est que c'était très déplacé de la part du porte-parole" de faire ce communiqué. "Tout le monde était mal à l'aise", a ajouté un autre participant.

Le "conseil politique élargi" réunissait notamment mercredi Pierre Moscovici, Manuel Valls, Martine Aubry, Bertrand Delanoë, Arnaud Montebourg, Laurent Fabius, Ségolène Royal, Jean-Marc Ayrault, François Rebsamen, Jérôme Cahuzac, Harlem Désir et Jean-Michel Baylet. Benoît Hamon n'était pas présent.


Sources : Le Figaro, Le Nouvel Obs.fr

Si François Hollande devient Président, ce sera probablement à l'occasion d'un 21 avril à l'envers, éliminant le Président sortant dès le premier tour.

Ainsi, à taper sur le Président en permanence, il aura favorisé la candidate du Front National, probablement en tête du premier tour.

Il parviendra sûrement à l'emporter face à tout ce qu'elle représente.

Reste qu'il se rendra vite compte de la réalité du pouvoir, après avoir cultivé le flou permanent durant des mois. Favorable à l'euro, à l'idée d'une mondialisation toujours heureuse, hostile au protectionnisme par principe, favorable à tous les traités européens qui ont lié la France à Bruxelles, le nouveau Président socialiste fera la même politique que celle de son prédécesseur.

"Le changement dans la continuité" comme disaient Georges Pompidou et Valery Giscard d'Estaing.

Mais à toutes choses malheur est bon : suite à la qualification au second tour de Marine le Pen, l'UMP a littéralement implosé, se divisant entre centristes d'un côté qui rejoindront le camp socialiste et tous les autres qui reviendront aux sources du gaullisme et rebaptiseront ce qui restera de l'UMP le RPF, en honneur au Général de Gaulle. Nicolas Dupont Aignan remporta la présidence du parti.

Ne voulant se fâcher avec qui que ce soit, François Hollande ne mènera aucune réforme de fond... mais à vouloir plaire à tout le monde on ne plaît à personne. Son bilan en matière de sécurité sera désastreux, comme en matière d'emploi, la crise n'étant pas terminée et de loin. Il sera obligé de prendre des mesures de rigueur qui seront rejetées par les français, comme en Grèce ou encore en Espagne.

La victoire de Gilbert Collard aux municipales à Marseille en 2014 mais aussi de la droite qui remporta même des bastions historiques de la gauche, sans même parler des régions qui passèrent pour la quasi totalité à droite, illustrent le rejet cinglant de François Hollande auprès des français.

La présidentielle suivante fut remporté par Nicolas Dupont Aignan qui présida les destinées de la France durant dix ans, signant le retour des trentes glorieuses.

Le Post.fr