« Les médisants ressemblent aux malheureux qui n'ont pas eu leur part d'événements et doivent mener aux dépens de leurs voisins une existence parasitaire. »
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Dim 6 Nov - 17:44
Marylaure , bonsoir
Une petite question de ma part si tu permets , tu dis " faire des reportages" alors j'espère , que tu as un correcteur ?? pour monter ton reportage , j'avoue ......... j'ai un peu de mal à suivre tes messages , pourquoi ?? ça part un peu dans tous les sens , est ce normal cette façon d'écrire et, raconter ,
Invité
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Dim 6 Nov - 17:54
je me douterais que me poserais cette questions oui j 'ai un correcteur, de toute façon je rends toujours nickel cromm ... j'espère que tu m 'as compris, j'ai aussi une questions comment les mettre sur votre blogue car tu vois je suis fille des rues, pas l'habitude de formuler ou d'écrire sur le web moi[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] si tu pense que c 'est du pipeau libre à toi mais tu vois faut pas juger les personnes suivant leur apparence d'écriture
marylaure
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Dim 6 Nov - 18:00
Marylaure , je ne permettrais pas de croire que c'est du pipeau , mais un jour tu as écris en t 'adressant à Moi , tu as écris ceci " je regrette de t'avoir rencontrée " ????
où sommes nous rencontrées ?? un indice ?? tu n'as pas écris un livre un jour ??
Invité
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Dim 6 Nov - 18:08
jamais écrit de livre, mais pourquoi pas dans 30 ans quand je serais en retraite, j'aurais l'expérience peut-être ... mais je suis ravis de t 'avoir rencontrer
marylaure
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Dim 6 Nov - 18:21
Marylaure tu dis ??? ravie de m'avoir rencontrée ICI sur le Galion ou AILLEURS ?? Dans 30 ans quand tu seras à la retraite ?? t'as pas un peu l'impression de jouer " au chat et à la souris " ?? remarque ça ne me gène pas le moins du monde [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Invité
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Dim 6 Nov - 18:32
Sur le Galion, bien sur, mais tu vois je préfére lire ... si on m'en laisse les moyens .... je ne joue pas au chat et à la souris avec les personne que j 'ai confiance lire peut- être un autre moyen de savoir à qui j 'ai affaire ... je peus être deçu je pars
marylaure
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Dim 6 Nov - 18:35
Sur le Galion bien sûr ??
Alors quand tu écrivais il y a peu , dans un message " que tu regrettais de m'avoir rencontrée " donc c'était sur le Galion ?? Pourtant on ne s'était jamais parlé toutes les deux !!! bizarre , pas grave
Invité
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Dim 6 Nov - 18:37
Tout les thèmes et débats peuvent etre intéressant,que ce soit sur la fête de l'Huma,sur sa ville,sur un groupe de music,sur l'actualité,tout est bon a prendre.. Pour ce qui est de votre relation,c'est a vous de voir mais essayez de vous parlez par MP,ça ne regarde pas forcement les membres du Galion,si vous souhaitez parlez de votre vie privé ici,libre a vous mais prenez soin de ne pas vous dispersez pour es points de détails... Bisous les filles.. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Actu-One
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Dim 6 Nov - 18:52
Ok [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Actu One , pas de soucis [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Invité
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Dim 6 Nov - 18:55
Marylaure je suis sincère , très envie de connaître tes impressions sur ce que tu as vu ou entendu et puis moi je suis + musique d'où ma curiosité quant aux groupes qui se sont produits.. Désolée si je me suis mal exprimée Gros bisous Tiens pour toi ..partarge ...
Dernière édition par Sugar-B le Dim 6 Nov - 18:56, édité 1 fois
Invité
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Dim 6 Nov - 18:56
Mary...? Pourquoi tu t'enerve comme ça..? Fait comme tu le sent,tu n'est pas obligé de posté,tu est libre de lire,de répondre au sujets qui t’intéresse,si tu ne souhaite pas publié ton reportage ne le fait pas,ne te force pas,il y a tellement de sujets de discussions possible que s’arrêter la dessus c'est se restreindre,et par la même réduire la capacité du Galion a sa simple expression.. Le but étant que chacun s'y retrouve il est pas nécessaire de s’embrouiller pour si peu... Si tu a un passif avec l'oizo par exemple,vus pouvez faire l'impasse ou vous expliquez via mp..^^ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Actu-One
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Dim 6 Nov - 20:00
Mary...? Pourquoi tu t'enerve comme ça..? Fait comme tu le sent,tu n'est pas obligé de posté,tu est libre de lire,de répondre au sujets qui t’intéresse,si tu ne souhaite pas publié ton reportage ne le fait pas,ne te force pas,il y a tellement de sujets de discussions possible que s’arrêter la dessus c'est se restreindre,et par la même réduire la capacité du Galion a sa simple expression.. Le but étant que chacun s'y retrouve il est pas nécessaire de s’embrouiller pour si peu... Si tu a un passif avec l'oizo par exemple,vus pouvez faire l'impasse ou vous expliquez via mp..^^ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
je dis ce que je pense point barre, ce sont mes impressions, je suis calme et détendu
marylaure
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Dim 6 Nov - 20:12
sugar b je ne doute pas que tu es sincère,
marylaure
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Mar 8 Nov - 0:53
Plan d'austérité: La France s'impose un nouveau tour de vis budgétaire
ECONOMIE - Six à huit milliards d'économies supplémentaires sont prévus...
Objectif : six à huit milliards d'euros d'économies supplémentaires. Le gouvernement français dévoile ce lundi de nouvelles mesures pour contenir son déficit public et préserver sa notation souveraine, dans le cadre d'un budget parmi «les plus rigoureux depuis 1945».
François Fillon, qui présentera le « Plan d'équilibre des finances publiques» à 12h00 à Matignon après le conseil des ministres, a préparé les esprits en affirmant samedi qu'il n'y avait pas d'alternative à la réduction de la dépense publique.
Le Premier ministre s'exprimera par la suite dans le cadre du journal de 20 heures de TF1.
Calendrier accéléré pour la réforme des retraites
L'exécutif, qui a procédé dimanche aux ultimes arbitrages, s'abstient toujours de parler de «rigueur» ou d'«austérité» mais «l'heure de vérité» annoncée par le chef du gouvernement sonne comme telle à six mois de l'élection présidentielle.
Selon Les Echos, le gouvernement envisagerait d'accélérer le calendrier de transition vers l'âge de départ à la retraite à 62 ans, prévu en 2018 dans la réforme.
Cette échéance serait avancée à 2017 voire 2016, ce qui entraînerait plusieurs milliards d'euros de moindres dépenses sur la prochaine législature, précise le quotidien économique à paraître lundi.
Pas de nouvelle journée de solidarité en vue
Le ministre de l'Economie et des Finances, François Baroin, a déclaré au «Grand Jury» RTL-LCI-Le Figaro que la réduction des niches fiscales se poursuivrait et que le plan serait équilibré entre dépenses et recettes.
Au volet recettes, il a annoncé que le gouvernement avait écarté l'instauration d'une seconde journée de solidarité après celle créée en 2004 par Jean-Pierre Raffarin et qui a rapporté plus de deux milliards d'euros en 2010.
La ministre du Budget, Valérie Pécresse, a assuré sur M6 que les dépenses sociales ne seraient pas affectées et que les ménages les plus modestes ne seraient pas pénalisés.
Propositions sur la TVA
«Tout le monde paiera à due proportion de ses capacités contributives», a-t-elle affirmé. Un relèvement de la TVA serait envisagé dans certains des secteurs qui bénéficient d'un taux réduit à 5,5%, comme la restauration, la construction ou les services à la personne. Cette mesure rapporterait environ un milliard d'euros par an. Un nouveau taux à 7% pourrait être ainsi créé.
«La TVA a des effets extrêmement bénéfiques », a plaidé dimanche Alain Juppé au « Grand rendez-vous» Europe 1/i-télé/Le Parisien-Aujourd'hui en France.
«La TVA est un impôt qui est bon pour l'emploi. (...) Cela ne veut pas dire qu'il faut l'augmenter demain», a-t-il ajouté.
Cahuzac estime que le compte n’y est pas
Le gouvernement projetterait en outre, selon Le Figaro et Le Journal du Dimanche, d'augmenter l'impôt sur les sociétés des entreprises qui réalisent plus de 500 millions d'euros de chiffre d'affaires (un gain d'un milliard d'euros par an).
Nicolas Sarkozy avait annoncé le 27 octobre, lors de son intervention télévisée, de nouvelles mesures après celles du 24 août afin d'ajuster le budget 2012 à l'aune de la révision à la baisse de la prévision de croissance française pour 2012 - de 1,75% à 1%.
François Fillon avait présenté le 24 août un plan de 12 milliards d'euros et de recettes supplémentaires pour 2011 et 2012.
Six à huit milliards d'euros d'économies seraient désormais nécessaires au gouvernement français pour tenir son objectif de réduction du déficit public malgré le ralentissement économique.
Objectif de réduire l'endettement
La France se fixe pour objectif une réduction de son déficit public à 4,5% du PIB fin 2012, 3% en 2013 et 2% en 2014.
«Le seul programme qui vaille en 2012, c'est le retour à l'équilibre des finances publiques», a dit François Fillon samedi lors d'un discours à Morzine (Haute-Savoie).
«Il n'est pas utile de s'en prendre aux agences de notation, aux banquiers, aux spéculateurs ou à je ne sais quel bouc émissaire, pas utile de faire croire qu'il y a des trésors cachés pour financer nos dépenses publiques», a-t-il estimé.
Economie de neuf à dix milliards d’euros
«Il n'y a pas d'autre recette pour réduire l'endettement que de réduire la dépense», a répété François Fillon.
Un message également à l'adresse des agences de notation et des marchés financiers, en attente de gages de crédibilité dans les turbulences de la zone euro.
Jérôme Cahuzac, président socialiste de la commission des Finances de l'Assemblée, estime dans Le Journal du Dimanche qu'il faudra en réalité au gouvernement «entre neuf et dix milliards d'euros» d'économies supplémentaires qui devraient passer selon lui par la suppression du «paquet fiscal» voté en 2007.
20 Minutes.fr
Invité
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Mar 8 Nov - 12:58
... après la présidentielle de 2012. Le ministre de l'Industrie envisage de retourner dans le privé.
Lors d'un dîner-débat dont il était l'invité, au tout début du mois de septembre, Eric Besson a confié à des chefs d'entreprise qu'il comptait mettre fin à sa carrière politique en mai 2012.
Affirmant qu'il était "très heureux d'être ministre de l'Industrie" et "décidé à l'être à fond" dans les six mois qui viennent, il s'est dit désireux de retourner dans le privé. Il n'a pas précisé dans quel secteur. Il y a quelques années, il n'avait pas caché son intérêt pour le Football Club de Nantes, à un moment où circulait la rumeur de son rachat...
Devant ses interlocuteurs entrepreneurs, le ministre s'est dit convaincu que Nicolas Sarkozy serait réélu, car "c'est le meilleur dans la tempête, et l'on va encore connaître des tempêtes". Besson compte s'investir dans la campagne pour soutenir le président.
L'Express .fr
Invité
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Mar 8 Nov - 13:00
Umberto Bossi, le principal allié du Cavaliere, lui a demandé de démissionner.
Umberto Bossi, chef de la Ligue du Nord, le principal allié de Silvio Berlusconi dont il assure la survie politique au Parlement, a demandé mardi 8 novembre au chef du gouvernement italien de démissionner, selon les médias.
"Nous lui avons demandé de faire un pas de côté", a-t-il déclaré à des journalistes à la Chambre des députés.
Umberto Bossi estime toutefois que cela ne se produira pas lors du vote-test de ce mardi sur le bilan 2010 de l'Etat italien qui sera, selon lui, adopté sans encombres.
"Une question d'heures"
Cette annonce survient alors que les rumeurs sur la démission du Cavaliere se font de plus en plus insistantes.
Elles ont notamment pris de l'ampleur après les déclarations d'un des proches de Silvio Berlusconi, Giuliano Ferrara, et alimentées par des informations sur une rencontre entre le Cavaliere, ses enfants et le patron de son empire médiatique Mediaset, à Arcore, près de Milan, pour parler d'une éventuelle démission.
"Que Berlusconi soit sur le point de céder la place, c'est désormais une chose claire, c'est une question d'heures, voire de minutes", affirmait Giuliano Ferrara, directeur du journal de droite "Il Foglio", avant de revenir sur ses propos en soulignant qu'il le lui conseillait comme "seule voie de sortie possible".
De son côté, Silvio Berlusconi a démenti ces informations.
"Je ne comprends pas comment ont pu circuler les rumeurs sur ma démission, elles sont dénuées de fondement. Je veux regarder droit dans les yeux ceux qui essayent de me trahir", a-t-il affirmé au quotidien de droite "Libero".
"Difficultés" de son parti
Reste que plusieurs poids lourds du parti de Silvio Berlusconi, le PDL, ont admis lundi des "difficultés" après une série de défections qui risquent de faire perdre au gouvernement sa majorité numérique au parlement lors de votes cruciaux attendus dans les jours à venir.
Par ailleurs, l'Italie est sous la surveillance du Fonds Monétaire International (FMI) et de la Commission européenne afin de vérifier que le gouvernement de Silvio Berlusconi tient ses engagements budgétaires et ses promesses de réformes économiques.
Malgré l'adoption cet été de mesures d'austérité devant permettre au pays de parvenir à l'équilibre budgétaire en 2013 et de réduire sa dette colossale (120% du PIB), et des promesses de réformes, les marchés ne semblent plus croire à la capacité de Silvio Berlusconi, dont la majorité ne tient qu'à un fil, de faire face à la crise.
Le Nouvel Observateur - AFP
Invité
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Mar 8 Nov - 17:40
François Baroin provoque un incident à l'Assemblée Nationale
Le président de l'Assemblée Bernard Accoyer (UMP) a reproché implicitement mardi à François Baroin "certains propos inadaptés", après que le ministre de l'Economie a accusé le PS d'avoir pris le pouvoir "par effraction" en 1997, provoquant une bronca et la levée de la séance.
Après une demande d'excuses du chef de file des députés PS Jean-Marc Ayrault à la reprise des débats budgétaires, le président de l'Assemblée a répondu que "la parole était libre" dans l'hémicycle et qu'on "ne peut que regretter certains propos inadaptés". Il a promis de transmettre la demande d'excuses de M. Ayrault à M. Baroin ainsi qu'au gouvernement.
"Dans les joutes parlementaires, parfois le ton monte, mais là il y une forme d'insulte, non pas aux députés socialistes mais aux citoyens français", avait lancé M. Ayrault, après la levée de la séance. Il avait qualifié les propos de M. Baroin de "faute politique".
Une fois revenu dans l'hémicycle, à la reprise des débats sur le projet de budget 2012, M. Ayrault a lancé au président de l'Assemblée: "J'aurais aimé que vous disiez vous-même qu'ici aucun député ne siège pas effraction mais seulement par la volonté du peuple français." "Croyez-vous que Lionel Jospin aurait été nommé Premier ministre (par le président Jacques Chirac) s'il était entré ici par effraction?", a-t-il ajouté.
Quant au président des députés UMP, Christian Jacob, il a souhaité ramener les choses à "un incident de séance", indiquant que M. Baroin avait voulu rappeler "la démagogie des promesses socialistes".
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Invité
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Mer 9 Nov - 16:25
CASSEROLES Silvio Berlusconi démissionne : ses frasques et scandales, c'était de pire en pire...
Ciao Silvio ! Il Cavaliere va démissionner dans les prochains jours, c'est désormais officiel. Une grande partie des Italiens ont donc un sourire grand comme ça... Dorénavant, ils pourront surtout s'épargner, aux yeux de l'Europe et du monde, de nouvelles frasques et scandales de leur futur-ex dirigeant.
Corruption, prostitution, abus de pouvoir, écoutes téléphoniques... il fut parfois difficile de s'y retrouver parmi toutes les casseroles traînées par Berlusconi.
Voici un récapitulatif des scandales de ces dernières années dans lesquels il a été mêlé :
Procès Mills : corruption
Les faits remontent à 1997, lorsque Berlusconi, président du Conseil italien, aurait fait verser des pots-de-vin d'un montant de 600.000 euros sur le compte de l'avocat britannique David Mills. Ce règlement à l'amiable aurait été réalisé afin que Mills cache à la justice des détails compromettants sur les affaires berlusconiennes. Les fonds proviendraient d'une "caisse secrète" de la société Mediaset, le premier groupe média italien, dirigé par le Cavaliere lui-même.
Mills a été condamné en février 2009 à 4 ans et demi de prison pour corruption, Berlusconi a été mis en examen pour sa part.
Procès Mediaset : fraude fiscale
Autre affaire de corruption, et toujours en cours, car la loi prévoyant l'immunité du chef de l'Etat a été jugée inconstitutionnelle : elle concerne l'acquisition des droits cinématographiques américains par deux sociétés offshore, qui les ont ensuite revendus à Mediaset, le groupe média de Berlusconi.
Le procédé, courant dans les années 1990, a permis de constituer des casses noires à l'étranger ainsi que de diminuer les bénéfices de Mediaset en Italie, afin de payer moins d'impôts. Ces fonds secrets sont estimés à 175 millions d'euros. Silvio Berlusconi est accusé de fraude fiscale, faux en écriture et blanchiment d'argent. Le procès a repris en février 2011.
L'affaire Noemi Letizia : la première affaire de mœurs
Celle par qui les scandales sont arrivés. Silvio Berlusconi a offert en avril 2009 un collier en or à cette jeune fille lors de ses 18 ans. Un cadeau somptueux de la part de celui qui est surnommé "papounet" par cette étudiante présentatrice de télé à ses heures perdues. Son ex-petit ami affirme qu'elle aurait eu des "rapports" avec le Cavaliere lorsqu'elle était mineure.
C'est à la suite de ce scandale que Veronica Lario, la propre femme de Berslusconi, a demandé le divorce. Excédée que son mari "fréquente des mineures", elle révèle autre chose dans La Repubblica : il s'apprêtait à présenter quelques plantureuses starlettes de la télévision sur les listes de son parti aux élections européennes.
Les photos volées dans sa villa en Sardaigne
Plus de 700 photos sont prises en juin 2009 par un paparazzi lors des fêtes dans la villa sarde du Cavaliere. Les magazines people se jettent dessus, ainsi qu'El Pais, l'équivalent espagnol du journal Le Monde. On y voyait le président du Conseil nu comme un ver, en compagnie de dizaines de naïades en topless, ainsi que du Premier ministre tchèque de l'époque, Mirek Topolanek.
Le Post.fr
Invité
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Mer 9 Nov - 17:57
Il se prenait pour Jules César le gars....et dire que sans le viagra il se serait peut être un peu plus intéressez a la politique,quoi qu'il en soit on vas pas le pleurez avec le magot qu'il s'est mit de coté il y a de quoi vivre plusieurs vie comme un pacha et lui en est a ces dernières heures... La plupart des politiciens abuse de leur pouvoir,c'est pas nouveau,mais lui il a fait fort... Qu'il soit poursuivi pour ces crimes,qu'il paye le prix fort.. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Actu-One
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Lun 14 Nov - 12:16
Mario Monti a été désigné dimanche soir par le président Giorgio Napolitano pour tenter de former un nouveau gouvernement. Cette désignation est arrivée au terme d'une journée de consultations durant laquelle, conformément à la Constitution, Napolitano a reçu les anciens présidents de la République, les présidents des deux chambres et les responsables de tous les partis représentés au Parlement.
Toutes les formations, à l'exclusion de la Ligue du Nord, qui a annoncé son opposition au gouvernement Monti, et de l'Italie des valeurs (IDV) d'Antonio Di Pietro, qui a exprimé ses "réserves", ont convergé sur l'ancien commissaire européen pour succéder à Silvio Berlusconi. Mais des divergences demeurent sur la composition et la durée de ce gouvernement.
Mario Monti aurait souhaité former un exécutif majoritairement composé de techniciens, mais avec la présence d'un responsable de chacun des deux plus grands partis italiens, Peuple de la liberté (PDL) et Parti démocrate (PD). Une prise de responsabilités nécessaire pour assurer la stabilité à un gouvernement destiné à durer jusqu'à la fin de la législature, au printemps 2013.
Du bout des lèvres
Assurant un appui inconditionnel à Monti et sans poser de limite à la durée de l'exécutif, le PD a toutefois refusé d'entrer dans le cabinet de l'ancien commissaire européen. Donné gagnant par tous les sondages si des élections avaient lieu immédiatement, le PD renonce à demander le retour aux urnes pour arriver au pouvoir, mais exige que la responsabilité de la cure de cheval qui attend le pays retombe sur les techniciens.
Dans une rencontre samedi avec Mario Monti, Berlusconi avait en revanche accepté que le PDL participe au gouvernement. Mais au-delà d'une présence symbolique, il revendiquait le ministère de la Justice et celui du Développement économique. Autant de garanties pour ses procès en cours et pour l'avenir de ses entreprises. Ces requêtes ont été jugées irrecevables par Mario Monti. Le PDL s'est donc résigné à ne pas participer au gouvernement et à soutenir, du bout des lèvres, la naissance d'un exécutif Monti. Il limite toutefois la durée du cabinet à l'adoption des mesures de rigueur exigées par Bruxelles. Quelques mois tout au plus avant de retourner aux urnes.
Sans gouvernement
Mario Monti engagera à son tour des consultations pour fignoler son équipe et se présenter au Sénat mardi et à la Chambre basse mercredi. S'il n'obtenait pas la confiance, il resterait en fonction pour régler les affaires courantes et conduire le pays aux urnes d'ici à deux mois.
L'Italie se présente donc lundi à l'ouverture des marchés sans gouvernement, mais avec un président du Conseil. Avec quelles probabilités de mener à bien les réformes ? L'absence des deux grands partis dans l'exécutif fait redouter coups fourrés et chausse-trapes quand il faudra adopter l'avancement de l'âge de la retraite, la libéralisation du marché du travail ou l'imposition d'un impôt sur le patrimoine.
Fragilisé par cette naissance aux forceps, l'exécutif Monti devra également se méfier d'un "come-back" de Silvio Berlusconi. Hier, le Cavaliere a annoncé qu'il voulait "reprendre le chemin du gouvernement". Une velléité qui rappelle le final du Caïman, le film dans lequel le personnage censé représenté le Cavaliere brûlait l'Assemblée nationale plutôt que d'abandonner le pouvoir.
Le point.fr
Invité
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Lun 14 Nov - 12:19
La Syrie défie la Ligue arabe
La suspension de la Syrie de la Ligue arabe est un "pas dangereux", a estimé, lundi, le ministre syrien des Affaires étrangères Walid Mouallem, affirmant que son pays "ne fléchira pas". "La décision de la Ligue arabe de suspendre la Syrie (...) représente un pas dangereux", a indiqué Walid Mouallem, au cours d'une conférence de presse, ajoutant que la Syrie "paie le prix de ses positions fermes", mais qu'elle "ne fléchira pas et sortira plus forte". "Les complots ourdis contre la Syrie échoueront", a-t-il ajouté.
Le ministre syrien a, en outre, exclu l'éventualité d'une intervention étrangère en Syrie. "La Syrie n'est pas la Libye. Le scénario libyen ne se répétera pas. Ce qui se passe en Syrie est différent de ce qui s'était passé en Libye, et le peuple syrien ne doit pas s'inquiéter", a-t-il estimé. "Je suis sûr que la Russie veut jouer un rôle efficace dans le dialogue qui va se tenir (entre le pouvoir syrien et les opposants), et ceci est une chose positive", a-t-il poursuivi.
Excuses
Samedi, la Ligue arabe a suspendu la participation de la Syrie à ses réunions et l'a menacée de sanctions, un camouflet sévère pour Damas, en raison du refus du régime d'appliquer comme promis le plan arabe de sortie de crise, qui prévoit en premier lieu l'arrêt des violences. La Chine a exhorté, lundi, la Syrie à mettre en oeuvre ce plan proposé par la Ligue arabe, tout en se gardant de soutenir d'éventuelles sanctions contre le régime de Damas. Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a, pour sa part, condamné lundi la décision de la Ligue arabe à l'égard de la Syrie, la jugeant "incorrecte".
Samedi soir, après la décision de la Ligue arabe, des centaines de partisans du régime ont attaqué les ambassades saoudienne, qatarie et turque à Damas ainsi que des missions diplomatiques turques et françaises à Lattaquié (nord-ouest) et à Alep (nord), entraînant de vives protestations internationales. Lundi, le ministre syrien des Affaires étrangères a présenté ses excuses pour ces violences. "Je m'excuse à ce sujet et j'exprime l'espoir que cela ne se répétera pas. Nous sommes responsables, conformément au traité de Vienne, de la sécurité des ambassades et je présente mes excuses pour ce qui s'est passé", a-t-il déclaré.
Le point .fr
Invité
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Lun 14 Nov - 12:23
Présidentielle 2012: L'UMP diffuse un tract anti-PS à trois millions d'exemplaires
CAMPAGNE - L'UMP a diffusé ce lundi un tract dans lequel il tire à boulets rouges contre un PS au «laxisme sidérant»...
L'UMP a diffusé ce lundi un tract, tiré à trois millions d'exemplaires, dans lequel le parti majoritaire sonne la mobilisation derrière Nicolas Sarkozy et tire à boulets rouges contre un PS au «laxisme sidérant» et préférant «l'assistanat» au travail.
Cette initiative s'inscrit dans le cadre de la «semaine de l'engagement» organisée cette semaine dans ses fédérations.
Le tract de quatre pages, intitulé «Rejoignez le parti des droits et des devoirs», a été envoyé aux fédérations UMP pour qu'elles le distribuent sur les marchés, à la sortie des métros ou des gares...
L'UMP y vante le bilan du quinquennat de Nicolas Sarkozy et, à l'inverse, met en garde contre les propositions du PS et son candidat à la présidentielle, François Hollande.
«Le PS nous promet un laxisme sidérant», «le PS veut une écologie punitive et décroissante», «le PS sacrifie notre pacte républicain», «le PS préfère l'assistanat» ou encore «le PS renonce à la grandeur de la France», peut-on ainsi lire sur le tract. «Semaine de l'engagement»
Parallèlement, l'UMP a distribué aux fédérations cinq affiches bleu-blanc-rouge, tirées à 40.000 exemplaires chacune, barrées d'un «Fiers de nos valeurs» et déclinées en cinq slogans: «Je crois en la France», «Oui à la sécurité, non au laxisme», «Oui à la solidarité, non à la fraude», «Oui au travail, non à l'assistanat» et «Oui à la laïcité, non à la burqa».
Cette «semaine de l'engagement», dont l'organisation a été confiée à l'ex-ministre Roger Karoutchi, nouveau conseiller politique de l'UMP, est lancée alors que des voix s'étaient élevées au sein du bureau politique pour déplorer une trop faible implication des fédérations.
La ministre de l'Apprentissage, Nadine Morano, déléguée générale de l'UMP aux élections, avait ainsi plaidé pour qu'elles soient davantage «mobilisées» afin d'«expliquer et relayer l'action du gouvernement et du président Nicolas Sarkozy».
20 Minutes.fr
Invité
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Lun 14 Nov - 12:26
PRESIDENTIELLE - Les derniers mois ont été l'occasion d'un grand déballage, à droite comme à gauche...
Georges Pompidou avait eu droit à l'affaire Markovic. Valéry Giscard d'Estaing, aux diamants de Bokassa. Quant à François Mitterrand, il a vu ressurgir en 1981 comme en 1988 l'histoire du vrai-faux attentat de l'Observatoire. Sous la Ve République, les présidentielles ont toujours été l'occasion d'un grand déballage d'affaires. 20Minutes fait le point sur celles qui polluent déjà le scrutin présidentiel de l'an prochain.
«Lorsqu'on veut se présenter à une présidentielle, la première des conditions est d'avoir le cul propre! Si ce n'est pas le cas, l'opinion publique finira toujours par le savoir.» Cette réflexion de l'un des candidats à l'élection suprême de l'an prochain illustre bien l'impact que les «affaires» risquent d'avoir dans les prochains mois. Guérini, DSK, Karachi ou Bettencourt…
«Je pense qu'on n'a jamais eu autant d'affaires à l'approche d'une élection», confie le politologue Roland Cayrol. «Et il n'est pas improbable qu'il y en ait d'autres qui éclatent d'ici le premier tour», poursuit son collègue Pascal Perrineau.
Les états-majors s'organisent
Droite et gauche sont logées à la même enseigne. Du coup, les états-majors s'organisent. L'UMP a fait passer des consignes à ses députés pour attaquer le PS sur l'affaire Guérini. Quant à l'entourage de François Hollande, il a prévu de placer la morale au cœur de sa campagne. «Le gouvernement pratique une culture politicienne qui n'a plus lieu d'être, pense ainsi Stéphane Le Foll, lieutenant du candidat PS. Nous ne manquerons pas de le dire dans les prochaines semaines…»
Nicolas Sarkozy, lui, n'est pas encore candidat. «Mais dès qu'il le sera, sa personnalité fera oublier les affaires, pense le député UMP Eric Raoult. Surtout en pleine crise financière…» A moins qu'une nouvelle affaire n'éclate d'ici là.
Pour 48% des Français, le FN va en profiter
Le climat politique dû à la multiplication des affaires pourrait influencer le vote de 52% des Français, selon un sondage Harris Interactive pour VSD diffusé le 6 octobre. 48% des personnes interrogées estiment que le FN va «profiter électoralement» de ce climat. Par ailleurs, près d'un inscrit sur les listes électorales sur cinq (19%) déclare que ces affaires sont susceptibles de l'amener à s'abstenir lors de l'élection présidentielle, alors qu'il pensait initialement aller voter. Ce sondage a été réalisé auprès d'un échantillon représentatif de 1.633 personnes âgées de 18 ans et plus.
20 Minutes.fr
Invité
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Lun 14 Nov - 16:16
Chatel compare Hollande à Babar : il doit présenter ses excuses aux Français
Qu'est il arrivé dimanche soir (en fin d'après midi) à notre pauvre ministre de l'Éducation ?
Les membres du gouvernement sont fatigués... le dimanche quand le soleil se couche, ils devraient sortir fumer une bonne pipe sur le porche de leur maison et écouter les oiseaux, plutôt que d'aller pédaler et rétro-pédaler sur les ondes en direct-live.
Interrogé par Le Grand Jury RTL - LCI - Le Figaro, Luc Chatel, brillant UMPiste de 47 ans, y est allé de sa petite phrase pour tacler le candidat socialiste à la présidentielle 2012 et hélas ... ce qui devait arriver arriva, il a dérapé.
"Il y a Babar d'un côté. Moi je préfère Astérix, celui qui est courageux"
"Puisque c'est la journée de la gentillesse, je vais dire une gentillesse. Il y a un personnage de bande dessinée qu'on connaît bien, qui s'appelle Babar. Babar, il est sympathique, c'est le roi des éléphants. C'est l'histoire qu'on raconte aux enfants pour les endormir le soir", a lancé le ministre de l'Education nationale. "Il y a Babar d'un côté. Moi je préfère Astérix, voyez. Astérix, c'est celui qui est courageux, celui qui est déterminé, celui qui est protecteur, celui qui sait prendre des décisions. Et puis Sarkozy, il gagne toujours en plus"
C'était dimanche la journée de la gentillesse, avec cette remarque, qu'il voulait sans doute fine et spirituelle, non seulement Monsieur Chatel a piétiné la mémoire de Babar (1931-1966) un héros Français dont les exploits ont rayonné dans le monde entier... mais encore il a insulté l'avenir.
Un roi juste et bon
Car, n'en déplaise à Monsieur Chatel, les français rêvent d'un président juste et bon. Comme Babar fut un roi juste et bon.
Les insinuations du ministre sous-entendent que Babar a menti aux petits enfants en leur faisant croire des choses impossibles, juste pour les endormir. Je trouve ça minable et scandaleux, surtout de la part du ministre de l'Éducation nationale, et j'espère que Natacha Polony va lui remettre les pendules à l'heure dans les colonnes du Figaro, car ça dépasse les bornes.
Clin d'oeil subtil à la pachydermie de François Hollande
Pour le moment cette déclaration n'a provoqué que de l'indifférence et quelques rires gras.
Des amis de droite m'ont assuré que je n'avais pas compris le clin d'oeil subtil à la pachydermie de François Hollande (un des derniers éléphants du PS encore en activité).
Bon, ça va, je suis mort de rire. Le problème n'est pas là.
La vraie question est "Qui est Babar ?"
Et la réponse est cinglante pour notre ministre maladroit : Babar est un immigré, orphelin, dont les parents ont été tués par des chasseurs, recueilli dans la grande ville par une vieille dame avec un coeur en or qui lui donne des vêtements, il travaille dur et il devient le roi des éléphants.
Quel destin! Et Monsieur Chatel de ricaner en précisant qu'il préfère Astérix.
Qui est Astérix ? Un gaulois fort sympathique qui n'est même pas le chef de son village (faut-il le rappeler).
Je souhaite que Luc Chatel présente ses excuses aux Français. Se moquer de Babar, c'est trahir l'Avenir, c'est cracher sur la Démocratie, c'est salir la République.
La deuxième question est : François Hollande a-t-il le Babar Power ?
Sur cette question simple et précise, force est de constater que notre ministre s'est écrasé, craignant sans doute d'admettre la vérité... mais c'est à vous de juger, jetez un oeil sur ce document édifiant :
Babar Power.
"Et Kermit c'est Michel Sapin", aurait bougonné Luc Chatel en quittant le plateau du direct...
Le Post.fr
Invité
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Mar 15 Nov - 8:56
Quand les références d'un gouvernement sont les BD et les feuilletons TV (cf les Borgia cités par le nabot, le roi des incultes ) il ne faut pas s'étonner qu'ils prennent les français pour des c... : à leur niveau ! Tout le Panthéon doit se retourner dans sa tombe
Psycho99
Sujet: Re: Les politiciens et nous.. Mar 15 Nov - 17:29
Psycho99 a écrit:
Quand les références d'un gouvernement sont les BD et les feuilletons TV (cf les Borgia cités par le nabot, le roi des incultes ) il ne faut pas s'étonner qu'ils prennent les français pour des c... : à leur niveau ! Tout le Panthéon doit se retourner dans sa tombe
C'est bas c'est petit comme ......lui.comme eux..lol Psycho ! tu es génial/e