Le seul pays dont j'ai souvenance qu'il ait fait faillite c'est l'Argentine et il est vrai que la situation de ce pays s'est semble t il bien redressée.

Mais il y a une différence entre l'Argentine et la Grèce, l'Argentine possède un vaste territoire beni des dieux en terme de ressources naturelles, tandis que la Grèce n'est absolument pas indépendante en terme d'energie et sa production pour l'exportation est symbolique.

Abandonner l'euro au profit d'une monnaie sous dévaluée, est un moyen de gagner de point en terme de concurrence mais ce pendant un temps. Mais encore fait il avoir quelque chose à offrir...

En outre,avec la dette en Euro et le petrole en dollar, il ne faut pas non plus que la monnaie nationale soit trop basse parce que la facture sera d'autant plus salée...d'où inflation et de nouveau un cercle vicieux

Que la Grèce soit en défaut de paiement ( la masse en terme de production de richesse représente environ 5% de la masse totale Europeene )
En soit c'est absorbable.

En revanche, ce qu'il faut craindre c'est l'exposition des banques à la dette Grecque et l'effet en cascade.

Si les banques françaises sont suffisamment capitalisées pour l'instant, des banques italiennes, portugaises ou espagnoles n'ont pas cette capacité.Si elles s'assoient non pas sur 50 % de leur creances mais sur la totalité, elle entraineront immanquablement des conséquences pour les acteurs de l'economie reelle de leur pays, et si ses banques cèdent, les notres seront juste derrière , d'où la necessité de recapitaliser non pas à hauteur du manque à gagner du fait de la ristourne faite aux grecques, mais bien au dela, voire d'un montant équivalent au montant total de la dette grecque et peut être pas que de cette seule dette nationale

Madame Lagarde dans son conseil de voir les banques Françaises se recapitaliser, ce qui avait provoqué un tollé et un petit tsunami sur les marchés avait peut être envisagé le scénario du pire soit non pas un défaut partiel mais total

Alors un référendum, pourquoi pas ? mais pour qu'il soit valide il faut que la participation à celui ci soit à la hauteur de l'enjeu, si l'abstention est forte et qu'un pourcentage faible se déplace aux urnes, pourra t on considérer cela comme l'expression de tout un peuple ?

Un referendum c'est l'expression la plus directe de la volonté populaire, mais tout dépend de la question, de la compréhension de celle ci et de ses conséquences et d'une capacité qui n'est pas toujours la plus evidente à reflechir sur le long terme surtout quand une expression majoritaire de masse s'avère etre la somme d’intérêts particuliers à court terme

Effectivement le scénario du pire en cas de referendum, serait celui du rejet massif par une majorité réelle et non pas relative du système européen, Mais qui nous dit que le non à l'Europe l'emporterait obligatoirement ?

On qualifie la solidité d'une chaine à son maillon le plus faible, L'Europe d'aujourd'hui à atteint un seuil critique en terme d'adhésion qui fait qu'elle aurait du être dotée depuis déjà pas mal de temps d'un pouvoir Fédéral, chose qui déplait au plus haut point aux souverainistes.

Actuellement l'Europe c'est un enorme Bateau Ivre, dont le tangage est ressenti de façon moindre du fait de sa masse. Seul sans le "parapluie" européen il n'est pas dit qu'on s'en serait mieux sorti...On n'est pas la Suisse !

Les critères de convergences avaient pour finalité de mettre les postulants à niveau
La Grèce n'a pas joué le jeu sur bien des points, faisant preuve d'une libéralité avec de l'argent qu'elle n'avait pas et/ou qu'elle était incapable de récolter.
L'Europe est un beau projet mais un projet en panne, ce qui ne sera pas sans conséquence sur des adhésions futures ou celles en cours


L'economie est ce quelque soit le système adopté produit pour chaque effet positif un effet negatif équivalent, c'est comme marcher sur une poutre au dessus d'un précipice, c'est une recherche constante de l'équilibre et cela tient de l'impossible.

effectivement l'Argentine s'est pris une "liquidation" le pouvoir d'achat a perdu 60% :face: mais ils ont fini par se redresser ..
je suggère que la Grèce vende une ou 2 iles et le Parthénon aux chinois , ça leur fera de quoi voir venir ...

le Parthénon avec les Frises ou sans ? certes le site dispose d'une vue imprenable
mais t'as vu les travaux qu'il faut faire, la toiture , les menuiseries, l'electricité, cuisine salle de bain et tout le toutim !!! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Concernant Papendreou dont je pense qu'il est loin d'être con, peut on imaginer que la decision d'user d'un referendum soit non pas tant une menace visant l'Europe mais plutot un message vis à vis des Grecs eux mêmes ? Les grecs ralent manifestent et là PAN, Papendreou leur dit " et bien faites donc" et les Grecs en restent coi ! car ne vous y trompez pas "le Pirée (est) devant nous" (rooooh elle est belle celle là )

une manière de mettre chaque votant devant sa responsabilité individuelle vis à vis de l'ensemble...Manifestez et assumez votre choix ainsi que les conséquences

La catharsis ça va un temps mais faire toucher du doigt la réalité de ce que c'est que de prendre des decisions qui sont rarement populaires n'est peut être pas un si mauvais calcul...

En tout cas c'est un sacré coup de poker mais peut être faut il en passer par là pour donner au système un electrochoc salutaire....

Merci pour les News Sugar B... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Malvi et Psycho,pur vos commentaire,et chapeau pour ton Analyse Malvilar... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Citation :

37% des répondants considèrent que le président sortant est "le plus capable de
réduire les déficits et la dette"

Je doit me retrouvez donc dans ces 37% pour l'instant,j’attends encore,mon avis n'est pas figé dans le temps,je m’inquiète néanmoins de la montée en puissance du FN,j’espère que ce n'est que par esprit de contestation que les personne sondé parlent de cela et qu'en réalité il seront plus mitigé donc a revenir la droite..
Pour la Grece j'ai l'impression qu'ils se tirent une balle dans le pied...avec la reduction de moitié de la dette le pays aurait eu une chance de se redressez,il faut avoir une monnaie forte,la grece a plus d'importation que d'exportation c'est pas équitable et je voit mal comment le pays pourra retrouvez un equilibre...^^
Pour l'Argentine oui,je m'en souvient,les billets ne valant plus rien le troc avait été installez pendant un temps,c'est la déchéance d'un pays,un retour en arrière,un retour de 300 ans dans le passé,tout ce qu'il ne faut pas qu'il nous arrive,j'imagine pas devoir troquez mon écran Led pour achetez des denrées alimentaire..recevoir comme Salaire des bon d'achats..
C'est l'horreur,l’après guerre..sauf que là c'est la faute au nerf de la guerre..
Faut qu e la France arrête de se militarisez,d’envoyer son porte avion en manœuvre,les couts sont hallucinant,de quoi remboursez le trou de la sécu...on est pas en état de siège,et si menace il devait y avoir on dispose d'un arsenal suffisant et d'allié tout aussi puissant...
Alors stop a toute ces dépenses..
J'aimerais que le prochain président soir armé d'un vrai plan,d’être capable de redynamisez le Pays,d’enterrer l’austérité...mais qui sera cet homme..?
Sans l'appui du sénat le président n'est rien,il faut donc que la majorité des senateurs soit issu de la même mouvance et pur l'Hollande je craint fort qu'il ne fasse figure de polichinelle,ce que je ne souhaite pas,et pour les relations international c'est pas le candidat qu'il faut a la France..manque de niak,trop mou du genou...
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

La politique l'économie c'est intéressant mais que ce soit l'un ou l'autre c'est épuisant, parce que c'est un cercle vicieux-vertueux, c'est un peu comme l'Enfer de Dante

je ne suis pas spécialiste j'ai même un regard plutot désabusé sur ces questions, alors
ça vaut ce que ça vaut mais voici mes pensées en vrac

De la démocratie : sur le papier c'est super mais dans la réalité, on se retrouve généralement dans des situations de statu quo, d'où une lenteur décisionnelle.

C'est ce que l'on appelle le Temps politique avec cette pointe de fatalité dans la voix par rapport au Temps économique ou au temps de la société . Temps nécessaire à la réflexion certes.... mais dans un monde où tout va tellement plus vite, le temps politique n'en parait que plus lent et parfois on aimerait qu'ils mettent (les politiques) le turbo...d'où ce sentiment que chez certains politiques cette lenteur est presque coupable, voire voulue. Il n'en paraissent que plus déconnectés de la vie réelle

A coté de cela l'alternative on la connait c'est celle du GUIDE, la figure messianique
et franchement les exemples qui finissent bien ne viennent pas à l'esprit...si vous en connaissez je suis preneur car là ,je sèche !



Du bipartisme : 2 grands partis se disputent le fauteuil suprême et dans un schéma d'alternance (de balancier ) on pourrait considérer que la politique menée s'infléchirait pour favoriser un coté plus que l'autre,. Chacun son tour , ainsi on alternerait selon la categorie à laquelle on appartient des periodes de vaches grasses ou de vache maigres avec la certitude du retour tous les 5 ans d'une période qui soit plus favorable

Mais dans la realité c'est déjà moins evident du fait des politiques reellement menees en depit des programmes annoncés...car.l'équation est beaucoup plus complexe

En outre, en terme d'alternance il faudrait qu'elle existe et depuis 81, et l'episode de la cohabitation suite à la dissolution de l'assemblée nationale (merci Dominique DE V )la gauche n'est pas revenue aux affaires.

Pourquoi ? une des raisons est peut être que Le PS n'arrive pas à montrer une cohésion. le parti est construit comme un bureau ou à chaque election tous ces membres revent d'etre calife à la place du calife alors qu'en face, l'appareil est une machine à gagner construite autour d'un seul Homme.

Il faudrait quand même arriver à admettre un jour que le seul président socialiste à avoir été élu n'était socialiste que de façade mais qu'il a su faire du PS sa machine à gagner, chose qu'aucun de ses successeurs n'a encore réussi à faire.


Sur le principe des primaires par exemple, que je trouve être un exercice interessant.
Cela a neanmoins un inconvénient.Il met en évidence aussi bien les convergences que les divergences et ces même divergences sont ensuite difficiles à dissimuler derriere le sourire de facade affiché par les perdants. Concernant les programmes, vu ce qu'il en reste quand ceux-ci sont confrontés à la réalité cela ne vaut même pas la peine de s'etendre sur le sujet....et ça d'un coté ou de l'autre.

de toute maniere si le carburant qu'est l'economie, vient à manquer le moteur qu'est le programme ne peut fonctionner, pas besoin de faire science po, un CAP de pompiste suffit amplement !

des petits partis :
les deux grands partis phagocytent les petits partis, leur laissant peu de place pour l'expression d'autres voies...ils ont leur importance, jusque dans les extrêmes, permettant de canaliser par la radicalité de leur proposition, un sentiment de frustration ressenti par ceux qui se sentent oubliés par les grands partis, mais pour autant la real politique finit par toujours les rattraper...leur show est plaisant ou non selon qu'on adhere ou non à leur vision, mais une fois rentré dans le giron de l'un ou de l'autre des poids lourds, que reste t-il de leur proposition ?

Nous vivons une période extrêmement troublée, tout n'est que posture et imposture, parfois oui ! de ras le bol je peux comprendre qu'on veuille que tout s'effondre, mais comme tu le disais Actu, sommes nous prêts à repartir 300 ans en arrière ?ou seulement 70 ans.... à faire une bonne grosse guerre bien meurtriere au niveau mondial,sur tous les territoires sans omettre l'Europe pour que grace à la reconstruction cela assure aux survivants du travail sur une génération ? sommes nous prêts à ça ? non bien evidemment...mais comme les causes produisent généralement les mêmes effets...quand on peut imaginer le pire on ne peut être qu'agréablement surpris ...

Moi aussi j'ai pensé à la guerre qui, hélas, réglait certains déséquilibres naguère mais c'est déjà la guerre : financière ! C'est bizarre comme situation un peu comme comme si tout se conjuguait pour faire émerger les points noirs de ce monde de fou ..
Je suis ok pour Papendréou et c'est bien comme ça que j'ai compris son coup de poker , je crains qu'il ne perde sa tentative de légitimation de son pouvoir ...
quand je pense que j'ai eu un prof de math grec au lycée (en plus c'est authentique) !! voilà pourquoi je suis nulle dans cette discipline !
Actu : en effet et en Argentine ça avait fini dans un bain de sang avec émeutes and c°
ton nouveau pseudo monsieur 37% ?

Grèce: Référendum décisif sur l'euro le 4 décembre

ÉCONOMIE – Face à la pression de Paris et Berlin, Georges Papandréou a accepté d'avancer la consultation, qui portera bien sur l'appartenance à la zone euro...

L'euro, tu l'aimes ou tu le quittes. C'est en substance la question qui sera posée au peuple grec le 4 décembre. Mercredi soir, le Premier ministre Georges Papandréou a refusé de dévoiler l'intitulé exact du référendum. A l'issue d'un mini-sommet avec Nicolas Sarkozy et Angela Merkel, il a cependant déclaré: «Par essence, ce n'est pas seulement une question de programme (d'aides, ndr), c'est la question de savoir si nous voulons rester dans la zone euro».

Il a indiqué vouloir consulter les dirigeants de tous les partis de son pays dès son retour à Athènes et s'est dit confiant dans l'issue du référendum. «Je crois que le peuple grec est sage et qu'il est capable de prendre les bonnes décisions», a-t-il dit. «Je crois que le peuple grec veut que la Grèce reste dans la zone euro (...) Je veux dire que nous aurons un 'oui'.»


Pas de vote positif, pas d'aide

Mercredi soir, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel ont, eux, lancé un ultimatum à la Grèce, sommée de mettre en œuvre l'ensemble du plan européen de règlement de la crise de sa dette sous peine de ne plus recevoir la moindre aide.



Le président français et la chancelière allemande l'ont fait savoir au Premier ministre grec convoqué convoqué à Cannes à la veille du sommet du G20 pour s'expliquer sur son projet de référendum sur ce plan adopté le 27 octobre qui a jeté la consternation en Europe et enflammé les marchés.



«Nous ne pouvons engager l'argent du contribuable européen (...) qu'à partir du moment où un certain nombre de règles qui ont été votées à l'unanimité (...) sont respectées», a déclaré Nicolas Sarkozy lors d'une conférence de presse, à l'issue de la réunion. «Si ces règles ne sont pas respectées, ni l'Europe, ni le FMI ne pourront verser le moindre centime» à Athènes. Des menaces répétées ensuite par Christine Lagarde.



Le président français et la chancelière allemande ont ainsi averti la Grèce qu'une sixième tranche de l'aide européenne qui devait être versée à la mi-décembre ne le serait qu'après qu'Athènes aura adopté l'ensemble du «paquet du 27 octobre» et que toute incertitude sur l'issue du référendum sera levée –autrement dit s'il se traduit par un vote positif.


Concessions à Papandréou en attendant le vote

Georges Papandréou a donc accepté d'organiser la consultation le 4 décembre, avant l'échéance de mi-décembre fixée par Bruxelles, et non au début de l'année prochaine comme annoncé initialement. Si le porte-parole du gouvernement avait annoncé dans l'après-midi que la question ne porterait que sur l'aide, Athènes a semble-t-il capitulé et posera, d'une manière ou d'une autre, la question à quelques milliards d'euros.



En contrepartie, Paris et Berlin ont renoncé à demander un vote du Parlement grec sur le plan du 27 octobre, compte tenu de la fragilité de la majorité de Georges Papandréou et de la relative proximité du référendum tel que promis par le Premier ministre grec. Le 4 décembre, à quitte ou double, le leader jouera son avenir. Et celui d'une partie de la zone euro.

20 Minutes.fr

Référendum grec en direct: Le Premier ministre grec convoque une réunion d'urgence de son cabinet

10h44: Obama salue «le leadership impressionant» de Sarkozy
Lors d'un point presse conjoint avec Nicolas Sarkozy, le président américain, Barack Obama a souligné que la tâche la plus importante du G20 est de «résoudre la crise en Europe». «L'Europe a fait des pas importants vers la résolution de la crise», a indiqué le président américain, saluant «le leadership impressionant» de Nicolas Sarkozy sur le dossier de la crise grecque. Obama a ensuite félicité «Nicolas» pour la naissance de Giulia, soulignant qu'elle est «aussi belle que sa mère».

10h35: Les banques grecques effacent leurs pertes
Les banques grecques effacent leurs pertes ce jeudi dans la matinée, les investisseurs pariant sur un abandon du référendum sur le plan de sauvetage du pays en cas de chute du gouvernement. Les banques, qui perdaient jusqu'à 5% à l'ouverture, gagnent près de 2% vers 10h20, heure de Paris.
«Compte tenu des développements des dernières heures, la possibilité d'un référendum s'est éloignée et la priorité des priorités est maintenant le débours de la sixième tranche d'aide et l'approbation» du plan de sauvetage de l'UE, commente Natasha Roumantzi, analyste chez Piraeus Securities.

10h30: Bild veut sortir les Grecs de l'eurozone
Le tabloïd allemand titre ce jeudi «Enlevez l'euro aux Grecs», critique la tenue d'un référendum en Grèce sur le plan de sauvetage, et réclame qu'un référendum soit organisé également en Allemagne pour «sortir les Grecs en faillite de la zone euro». Une partie de la population allemande s'estime en effet flouée et refuse de payer pour le sauvetage de la Grèce.«Maintenant, ça suffit! Nous garantissons des centaines de milliards d'euros pour sauver les Grecs en faillite, et maintenant, ils veulent d'abord décider par référendum s'ils vont faire des économies!. Madame Merkel, nous voulons aussi un référendum! Nous voulons aussi décider si nous continuons d'aider les Grecs avec des milliards» d'euros.

9h46: Cohn-Bendit fustige Merkel et Sarkozy les «malpolis»
Nicolas Sarkozy et Angela Merkel ont fait preuve d'incivilité à l'égard du Premier ministre grec George Papandréou, qui est «le dos au mur», et devraient discuter avec lui au lieu de lui imposer un ultimatum, a déclaré Daniel Cohn-Bendit. A la veille du sommet du G20 à Cannes, le président français et la chancelière allemande ont sommé mercredi soir la Grèce de mettre en oeuvre l'intégralité du plan européen de règlement de sa dette sous peine d'être privée de toute aide. «C'est vraiment la mauvaise éducation des grands contre les petits. Faire attendre un chef de l'Etat, qui est en difficulté, pendant deux heures devant la porte, faire une conférence de presse sans lui, ça montre qu'il y a un manque de sens de solidarité européenne chez ces grands chefs d'Etat qui s'appellent Sarkozy et Merkel», a estimé Daniel Cohn-Bendit sur France Inter.
L'ultimatum franco-allemand, «c'est malpoli, c'est incivil». «Je ne sais pas si Mme Merkel et M. Sarkozy sont capables d'entendre un chef d'Etat qui est le dos au mur, parce que lui il veut vraiment sauver son pays", a-t-il ajouté. Daniel Cohn-Bendit a précisé s'être entretenu mercredi au téléphone avec George Papandréou, dont le projet de référendum est à ses yeux une initiative «courageuse».

9h35: Papandréou convoque une réunion d'urgence de son cabinet
Le Premier ministre grec, Georges Papandréou, a convoqué ce jeudi une réunion d'urgence de son cabinet à 11h, annonce un communiqué de ses services.

9h30: L'Europe rechute à l'ouverture
Les Bourses européennes ont ouvert en forte baisse ce jeudi en raison des craintes croissantes à l'égard de la Grèce. A 9h09, l'indice CAC 40 reculait de 1,96% à 3.051,31 points. La Bourse de Londres cédait 0,9% et celle de Francfort 1,82%. L'indice paneuropéen EuroStoxx 50 est en baisse de 1,8%.
Les valeurs bancaires européennes sont particulièrement affectées, l'indice Stoxx du secteur (-1,81%) accusant la plus forte baisse sectorielle en Europe. En France, Société générale perd 5,17%, plus forte baisse du CAC 40, et Crédit agricole 3,13%.

9h19: Le ministre grec du Développement opposé lui aussi à un référendum
Michalis Chryssohoïdis a demandé que le plan européen de sauvetage financier de la Grèce soit ratifié au parlement, comme le réclame la zone euro pour maintenir le pays solvable et dans la zone euro, a indiqué la télévision publique Net. Michalis Chryssohoidis, un ténor socialiste, rejoint ainsi son homologue aux Finances et numéro deux du gouvernement, Evangélos Vénizélos, dans son opposition à la tenue d'un référendum (le 4 décembre) par le Premier ministre Georges Papandréou, à la veille d'une vote de confiance crucial pour le maintien au pouvoir du gouvernement grec.

9h06: La Bourse de Paris ouvre en baisse
Le CAC 40 a ouvert ce jeudi matin en forte baisse de 2,54% à 3039,57 points. Du côté des sociétés, l'action BNP Paribas a également ouvert en baisse après avoir fait état d'un troisième trimestre sous les attentes du marché. C'est la plus forte baisse du CAC 40: -4,95% à 28,21 euros.

8h44: Le ministre grec des Finances opposé à la tenue d'un référendum
Le ministre grec des Finances Evangelos Venizelos est opposée à la tenue d'une référendum sur le plan de sauvetage du pays actuellement, apprend-on au ministère des Finances grec. «Dans ces conditions, un référendum est exactement ce dont le pays n'a pas besoin. Il n'aurait pas d'objections si toutes nos questions pendantes telles que l'échelonnement du prêt et l'achèvement du plan de sauvetage avaient été résolues», a-t-on déclaré sous le sceau de l'anonymat. Le ministre avait dans un premier temps soutenu le projet de référendum annoncé lundi par le Premier ministre Georges Papandréou lundi.

8h26: Un député du parti au pouvoir grec s'exprime contre le référendum
Un nouveau député du parti au pouvoir grec, le Pasok, a appelé le Premier ministre Georges Papandréou à renoncer à la tenue d'un référendum. «Il devrait retirer la proposition (d'organiser un référendum), immédiatement, aujourd'hui», a déclaré Mimis Androulakis à la chaîne Antenna. L'intitulé du référendum n'est pas encore connu, mais le chef du gouvernement grec a déclaré lors du sommet du G20 que la question de fond était l'appartenance ou non de la Grèce à la zone euro.

8h18: La Grèce ne peut pas rester dans l'euro à tout prix, selon Jean-Claude Juncker
La zone euro s'efforce de faire en sorte de ne pas souffrir d'une éventuelle sortie de la Grèce de la monnaie unique, a déclaré jeudi le président de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker. Il a ajouté qu'il souhaitait que la Grèce reste dans la zone euro, mais que cela ne pouvait se faire à tout prix. «Nous travaillons sur la façon de nous assurer qu'il n'y aura pas de désastre pour la population en Allemagne, au Luxembourg, dans la zone euro. Nous sommes absolument préparés à la situation», a-t-il déclaré à la ZDF.

8h10: La zone euro peut «se passer» de la Grèce, selon Jean Leonetti
La zone euro peut «se passer» de la Grèce, a déclaré le ministre français des Affaires européennes. «La Grèce est à la fois quelque chose qu'on pouvait surmonter et en même temps quelque chose dont on peut se passer», a indiqué Jean Leonetti sur RTL. «Parce que c'est 2% du PIB de la zone euro et c'est 4% de la dette de la zone euro. Donc, on peut les aider, on peut les sauver, on ne peut pas sauver non plus les gens malgré eux», a-t-il souligné. «Ce n'est pas parce que la potion est amère qu'il ne faut pas la prendre, parce que le malade est très gravement malade», a ajouté le ministre.

8h01: Le maintien de la Grèce dans la zone euro ne dépend pas que d'un référendum, selon le ministre grec des Finances
Le maintien de la Grèce dans la zone euro ne peut dépendre uniquement d'un référendum, a dit jeudi le ministre grec des Finances, Evangelos Venizelos. «La position de la Grèce dans la zone euro est une conquête historique du pays qui ne peut être mise en doute. Cette réussite du peuple grec ne peut dépendre d'un référendum», a-t-il indiqué dans un communiqué. La France et l'Allemagne estime que la question qui devra être posée par le gouvernement grec dans son futur référendum devra être celle du maintien du pays dans le bloc monétaire. Le Premier ministre grec Georges Papandréou a déclaré mercredi qu'il était trop tôt pour dire quelle serait la question posée.

7h59: La Chine espère que le plan de sauvetage sera appliqué
La Chine espère que le plan de sauvetage de la zone euro défini la semaine dernière sera appliqué, a déclaré son président Hu Jintao à Nicolas Sarkozy. «Le plan actuel (...) montre la détermination de l'Union européenne pour résoudre le problème de la dette européenne et nous espérons que l'application du plan répondra aux difficultés actuelles et accélèrera le développement économique de l'Europe», a indiqué Hu Jintao. Le secrétaire d'Etat chinois aux Finances a ajouté mercredi que Pékin ne pouvait envisager d'accroître son investissement dans le Fonds européen de stabilité financière (FESF) compte tenu d'un manque de précisions sur les moyens d'augmenter sa force de frappe. Hu Jintao a par ailleurs répété au président français qu'il attendait du G20 qu'il envoie à la communauté internationale «des messages clairs sur le soutien à la croissance et à la stabilité».

7h58: L'Italie pas au mieux à l'aube du G20
Le conseil des ministres réuni en urgence mercredi soir en Italie s'est déroulé dans une ambiance délétère et n'a pas accéléré l'adoption de mesures de relance et de réduction du déficit. Le président du Conseil Silvio Berlusconi, qui souhaitait la voie du décret pour faire passer ses mesures anticrise, «s'est heurté à un mur» selon une source ministérielle. Il n'aura rien de concret à présenter ce jeudi et vendredi lors du sommet du G20 à ses partenaires européens, Allemagne et France en tête, qui redoutent une contagion de la crise à la troisième économie de la zone euro. Le gouvernement introduira un large amendement, dont le contenu reste flou, au projet de budget actuellement examiné par le Sénat.

C'est ce jeudi que s'ouvre le sommet du G20 de Cannes dont la première session de travail du sommet, qui doit porter sur un plan d'action pour la croissance et la réforme du système monétaire international, sera consacrée à la Grèce et la zone euro.

Nicolas Sarkozy aura auparavant réuni dans la matinée les représentants des pays de la zone euro membres de ce forum - France, Allemagne, Italie, Espagne - et des institutions européennes, pour parler de la crise grecque et de ses suites.
Ultimatum à la Grèce

Mercredi soir, le chef de l'Etat et Angela Merkel ont lancé un ultimatum à la Grèce, sommée de mettre en oeuvre l'ensemble du plan européen de règlement de la crise de sa dette sous peine de ne plus recevoir la moindre aide.

Le président français et la chancelière allemande l'ont fait savoir au Premier ministre grec Georges Papandréou, convoqué convoqué à la veille du sommet pour s'expliquer sur son projet de référendum sur ce plan adopté le 27 octobre qui a jeté la consternation en Europe et enflammé les marchés.

20 Minutes.fr

En effet soit la perspective référendum, légitimise son action, par le oui, soit elle le balaie

Celui qui le remplacera n'aura pas plus beau jeu, et sera contraint de faire le sale boulot de la même manière, mais ce ne sera pas lui....dit comme cela ça peut paraitre étrange et totalement dénué de bon sens :

la Catharsis.... cela pourrait bien relèver en définitive d'une posture Esthétique qui renvoie à la tradition Grecque, ce qu'on appelle aujourd'hui le story telling n'est pas autre chose...

je m'accorde une petite digression
La position des "indignés" est comprehensible comment accepter qu'un système qui n'a que peu à voir avec l'economie réelle la corrompe par la spéculation et contamine celle-ci...que des agences de notation fassent la pluie et le beau temps alors que leur légitimité est nulle et que leur notation s'est avérée être n'importe quoi...quand ces Agences accordaient leur confiance à lehmann brothers, à la Grèce tout en connaissant parfaitement les travers de ce pays ? qui note ces agences de notation ? de quoi sont elle l'emanation ? si ce n'est de ceux qui sont à l'origine de la situation que nous vivons depuis 2008

L'Europe est malade d'un souffle au coeur,
On peut même être tenté par une analogie : Regardons la Belgique
scindée en deux (les wallons et le flamands ) =) Europe du sud Europe du
Nord, une absence de gouvernance , comme en Europe : Nous sommes au
point mort ! c 'est quand même assez symbolique que le pays qui abrite
les instances Europeenne soit à l'image de L'Europe

Ce coup de semonce peut être un accélérateur pour l'Europe, un mal pour un bien, obligeant celle-ci à prendre des mesures qui la feront passer dans une dimension tout autre, et j’espère plus vertueuse

Malvi: .. ..tant que le capitalisme financier ( qui est à l'origine de tous ces cancers de la planète ) n'aura pas été éradiqué on vivra avec une bombe nucléaire au dessus de la tête. Tout le système est basé sur de fausses valeurs ( un peu comme les émissions de téléréalité : c'est à celui qui triche et ment le plus que revient le magot )
on est pas près d'en sortir ma bonne dame ..
ps: hier soir j'ai revu le film "On achève bien les chevaux "
Résumé :
1931. Etats-Unis. Durant la grande dépression. De nombreux marathons de danse sont organisées à travers tout le pays. Ces rendez-vous attirent les foules qui voient, dans la souffrance des participants, le moyen d'oublier leur propre fardeau. Un couple, Robert et Gloria, est bien décidé à danser pendant 6 jours afin de décrocher la prime promise aux vainqueurs.
( 1970 de Sydney Pollack) hallucinant la similitude avec SS le directeur de ce marathon veut même, à un moment, organiser un faux mariage entre 2 concurrents pour faire monter la fréquentation :face:

La Grèce abandonne son projet de référendum

ÉCONOMIE - Le ministre grec des Finances l'a annoncé à l'Union européenne ce vendredi...

Le ministre grec des finances a informé l'Union européenne de l'abandon du projet de référendum. Le ministre Evangelos Venizelos a confirmé cette décision par téléphone à Jean-Claude Juncker, président de l'Eurogroupe, à Olli Rehn, commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires, et à Wolfgang Schaüble, le ministre allemand des Finances, précise le ministère dans un communiqué. «Venizelos a informé ses interlocuteurs de sa décision de ne pas organiser de référendum», indique le texte.

La Grèce avait surpris, lundi, en annonçant un référendum visant à faire valider par le peuple grec le plan d'aide européen validé par les 27 à Bruxelles le 26 octobre. L'idée de cette consulation populaireavait semé la consternation dans les cercles dirigeants européens.
Papandréou sous pression

Sous la pression de ses partenaires, et notamment de Nicolas Sarkozy et Angela Merkel qu'il a rencontré mercredi soir à Cannes avant le début du G20, le Premier ministre grec Georges Papandréou avait reculé, jeudi. Il avait décidé d'avancer la date de la tenue du référendum, et consenti à ce que la question posée soit le maintien ou pas de la Grèce dans la zone euro.

La perspective d'un référendum paraissait de moins en moins probable, jeudi soir, avec l'annonce par l'opposition grecque de son soutien en plan d'action européen. L'annonce de l'abandon du référendum intervient alors que Georges Papandréou doit affronter un vote de confiance au Parlement grec, ce vendredi.


Info Minutes.

un gros futé ce Papandreou

Face a Sarko j'imagine bien qu'il a commencez a doutez fortement,le maintien de Grece dans la zone lui sera profitable sur la longueur,a court terme,va falloir faire avec,mais la Grèce peut entreprendre d'autre reforme qui viserait a faire des économies tout en jouant sur des valeurs sur..
C'est une bonne chose pour l'Europe,et la France aussi... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Hip hip hourra.. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Notre chère Elisabeth Tessier n'en fini pas de nous faire rire... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] sinon il y a mon Omar et lui je l'adore ! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Elisabeth tessier, pourquoi pas si cela reste sur le plan de l'amusement, le thème astral faut-il y croire ? Positions des planettes restent un phénomène lier à la nature (je suis sagitaire ass capricorne ..) sagitaire = voyage= capricorne = nature. Si tu as bien ris sur un de mes poste et je pense savoir lequel normal c'était voulu au dessus du mien, il y avait un poste ( celui de b...) pas trés réjouissant, la proctéction dans le libre échange, tu en pense quoi ? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]et sa famille et le reste ... le thème et débat reste un endroit ou on doit sur les postes se mettre à nu pas facile de tout préserver
Sinon Sugar b bonne journée à toi [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Pour le libre échanges Marie Laure faut faire avec malheureusement,mais c'est temporaire,puisque les fauteurs de troubles sont systématiquement bannit par ip,viendras bien un moment ou ils n'aurons plus d'ip valide,donc plus d’accès,c'est des casse couilles,bon a rien et mauvais en tout,qui sont incapable de réfléchir par eux même,des moutons de panurge qui en veulent a ce forum,a ces membres,d’être supérieur a eux,mais c'est leur soucis,chacun d'eux avait la possibilité d'évoluez,ils ne l'ont pas fait,c'est dommage mais si il fat s'en prendre a quelqu'un qu'ils commencent par se remettre en cause et ensuite peut être qu'ils seront apte a répondre a un débat ou de participez objectivement a un fil de discussion,comme dit n'est pas Pirate qui veut,et le Galion n'est pas fait pour tous,sans réel engagement cela revient a labourez du sable,a brassez du vent,a mangez des raviolis tout les jours,a se perdre et s’oublier...^^
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Actu : il avait tout prémédité le Papan ( plus fort que le Maxime de KL !)pour rallier l"opposition à l'approbation du plan de rigueur et Sarko n'a rien à voir la dedans
son magistral coup de poker :
1ier acte j'annonce un référendum et je mets l'opposition grecque ( qui refuse le plan ) face à ses responsabilités , morts de trouille ceux ci balisent
2ième acte : l'opposition commence à avoir les jetons car si le peuple dit non c'est la sortie de l'UE et ils en seront responsables
3ième acte : Papan retire le reférendum à condition que tout le monde lui accorde la confiance , même l'opposition et accepte le plan : bingo !!
et moi je dis chapeau l'artiste car, même s'il valse ensuite, on pourra dire qu'il a tout fait pour sauver la Grèce de la faillite et son avenir politique est préservé ?
évidemment il risque de se faire piéger tout comme le Maxime !
Allez , dansons le Sirtaki en ce dimanche pourri Gir!

Le seul objectif du libre échange, c'est de nous ammener des discuctions positif dans débat et thème si certains post on une partie fausse d 'autre on une part de véritée, à nous d'évoluer dans ce sens et de ramener des personnes au Galion, pour fermer le libre échange je vais le lire plutôt non conecter de l 'extérieur si tu veux, j'ai pas l'impréssion que se soit la même chose, sinon je sais quoi faire de ce méli-mélo [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Bonjour Marylaure Ne devais tu pas nous faire un pti pavé sur la fête de l'Huma ? Les gens étaient ils nombreux ? , les discours intéressants ? , et les invités politiques ou chanteurs/ses ou groupes musicaux étaient ils "à la hauteur" et qui étaient ils ? Merci si tu as un moment de dispo pour narrer ta ou tes journées à cette fête ? ..bonne journée à toi et tous

Un reportage photo, tu veux dire, mais tu vois, je n "ai pas eu le temps de l 'écrire, beaucoups de travail en ce moment de toute façon, je vous donnerais tout en boucle, dans le moments voulu [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] tu peux me croire,j'ai suis allée que deux jours, j'ai formulée au plus juste de toute façon, je peux compléter le pavé par autre chose livre, dvd ou autre , la plus grande partie seras faite sur le sida, je pense que c 'est la maladie du siècle si tu veux une date présise fin descembre pour la raison que cera les éléctions de 2012 si j'ai la chance d 'aller à une manisfestation politique pourquoi pas ?

Grèce: l'opposition de droite veut la tête de Papandréou avant de négocier

La Grèce restait engluée dimanche dans une crise politique menaçant son maintien dans la zone euro, après le refus du leader de la droite d'oeuvrer à un gouvernement de coalition aux conditions posées par le Premier ministre pourtant prêt à passer la main.

Le porte-parole du gouvernement grec, Ilias Mosialos, a appelé dimanche les forces politiques à s'entendre "dans la journée" sur la formation d'un gouvernement de coalition et le nom de son dirigeant, dans un entretien à la télévision publique Net. Affirmant que des discussions officieuses étaient en cours entre majorité socialiste et opposition conservatrice, il a jugé "nécessaire que les deux grands partis" participent à la nouvelle équipe, qui doit selon lui compter des membres "expérimentés". Mais le leader de l'opposition grecque de droite Antonis Samaras a appelé dimanche Georges Papandréou à démissionner pour cesser de "faire obstacle" à une issue à la crise politique, après un entretien avec le chef de l'Etat. "Tant que M. Papandréou ne décide pas ce qu'il va faire, il fait obstacle à toute solution. Je suis décidé à apporter mon aide, s'il démissionne tout suivra son cours", a lancé M. Samaras. Réponse du gouvernement : "Il ne peut pas y avoir de démission sans accord sur un gouvernement car il y aurait un vide de pouvoir, il faut d'abord un accord interpartisan et la désignation d'un nouveau Premier ministre", a précisé cette source. Selon la télévision Net, Papandréou a proposé une rencontre avec son rival de l'opposition chez le chef de l'Etat, dans l'espoir de débloquer la situation.

Démission dimanche de Papandréou ?
Si un accord était trouvé dans la journée, le premier ministre, Georges Papandréou, qui s'est engagé samedi à passer la main, pourrait alors démissionner pour permettre que la nouvelle équipe puisse obtenir la confiance au parlement d'ici la fin de la semaine, a ajouté le porte-parole du gouvernement, rallié ces derniers jours à l'opposition interne au Premier ministre. Ce scénario a été jugé hautement probable par un responsable de la majorité. Une réunion du gouvernement était également prévue dimanche.

Sur quoi ça bloque ?
Le point d'achoppement reste la réticence d' Antonis Samaras à soutenir les mesures de rigueur dictées par les bailleurs de fonds du pays. Il a aussi réitéré samedi sa contre-proposition d'organiser des élections anticipées début décembre, y voyant la garantie d'un "retour du pays à la normale". Une exigence rejetée par Papandréou, qui s'efforce de calmer la panique déclenchée en Grèce et dans la zone euro par son projet, entre-temps retiré, de référendum sur le plan européen. Samedi, seules deux petites formations de droite dissidentes de la Nouvelle Démocratie -le parti d'extrême droite Laos de Georges Karatzaferis et l'Alliance démocratique de la libérale Dora Bakoyanni- s'affirmaient prêtes à jouer le jeu, avec un renfort potentiel d'une vingtaine de députés mais un capital de légitimation politique réduit.

Rendez-vous à Bruxelles pour Venizelos lundi

L'urgence de voir la situation se débloquer est grande puisque le ministre des Finances Evangelos Venizelos doit retrouver lundi à Bruxelles ses homologues de la zone euro, inquiets de la fragilité de la situation politique en Grèce.

Objectif, déblocage de 80 milliards d'aide
Cette partie de ping-pong risque toutefois de vite lasser partenaires et créditeurs européens. En plus des deux plans d'aide successifs, la Grèce négocie, pour garder la tête hors de l'eau, le déblocage d'ici fin février d'un premier soutien massif de 80 milliards dans le cadre de l'accord de Bruxelles.

TF1 News.fr

Reportage photos ? ben c'est génial ! La fête de l'Huma je ne connais pas , réunion de militants communistes oui , mais des à moi y sont allés aussi pour voir quelques célébrités (et oui cette fête attire aussi par les concerts donnés..
Je crois cette année il y avait Yannick Noah , Gaëtan Roussel et un groupe rock que j'aime énormément Sum 41 et d'autres..
Et bien j'attends (nous attendons) donc décembre Marylaure , prend ton temps et merci beaucoup

Attaquer l'Iran, "de plus en plus vraisemblable" pour Israël

Quelques jours avant la remise d'un rapporte de l'AIEA sur programme nucléaire de l'Iran, que les experts israéliens jugent "alarmant", le président israélien prépare sa population à cette éventualité.

Le président israélien Shimon Peres a averti samedi qu'une attaque était "de plus en plus vraisemblable" contre l'Iran. "Les services de renseignements des divers pays qui surveillent (l'Iran) s'inquiètent et pressent leurs dirigeants d'avertir que l'Iran est prêt à obtenir l'arme atomique", a affirmé Shimon Peres à la seconde chaîne privée de la télévision israélienne. "Il faut se tourner vers ces pays pour qu'ils remplissent leurs engagements. Ce qui doit être fait, et il y a une longue liste d'options", a-t-il encore dit.

Shimon Peres a tenu ces propos alors que l'AIEA (l'Agence Internationale pour l'Energie Atomique) doit publier le 8 novembre un rapport sur le programme nucléaire de l'Iran, que les experts israéliens jugent "alarmant". Le chef de la diplomatie israélienne Avigdor Lieberman a estimé que ce rapport prouvera "au-delà de tout doute" les objectifs militaires du programme nucléaire iranien. Il a émis l'espoir que l'Iran serait frappé d'une nouvelle série de sanctions internationales. Selon le quotidien israélien Haaretz, le rapport de l'AIEA aura "une influence décisive" sur le gouvernement israélien.

Israël disposerait de 200 ogives nucléaires

L'hypothèse d'une frappe préventive d'Israël contre les installations nucléaires de l'Iran a repris corps ces derniers jours, à la faveur de fuites organisées vers les médias d'un débat qui divise les membres du cabinet de Benjamin Netanyahu. Le ministre israélien de la Défense Ehud Barak a démenti lundi des informations selon lesquelles il aurait d'ores et déjà décidé avec Netanyahu d'attaquer l'Iran. Mais, il a ensuite ajouté qu'"il peut se créer des situations au Moyen-Orient dans lesquelles Israël devra défendre ses intérêts vitaux de façon indépendante, sans avoir à s'appuyer sur d'autres forces régionales ou autres". Selon Haaretz, la majorité des 15 membres du cabinet israélien de sécurité est pour l'heure opposée à une attaque contre l'Iran. Seule cette instance peut arrêter une décision aussi grave.

Beaucoup de responsables israéliens soulignent qu'Israël n'est pas en mesure de lancer une telle opération sans la coordonner préalablement avec les Etats-Unis et sans le feu vert de ces derniers. L'opinion israélienne est divisée pratiquement à égalité entre partisans (41%) et opposants (39%) d'une attaque contre les installations nucléaires iraniennes, selon un sondage. Israël est considéré comme une puissance atomique dans la région mais n'a jamais confirmé ou démenti disposer du feu nucléaire. Selon des sources étrangères, il disposerait d'un arsenal de 200 ogives nucléaires et des vecteurs adéquats pour les larguer.

"Si Israël est attaqué, la France se rangera à ses côtés"

Toujours est-il qu'Israël a procédé jeudi à un vaste exercice de défense passive simulant une attaque de missiles conventionnels et non-conventionnels dans la région de Tel Aviv, et a tiré mercredi avec succès un missile balistique doté d'un nouveau système de propulsion. Les médias israéliens ont également fait état d'un exercice mené ces derniers jours par 14 avions israéliens en Sardaigne (Italie) en coopération avec l'aviation italienne pour s'entraîner à des missions "à longue distance" nécessitant notamment des ravitaillements en vol. L'Iran a menacé de "punir" Israël en cas d'attaque contre ses installations nucléaires.

De son côté, la France, par l'intermédiaire du ministre des Affaires étrangères Alain Juppé a estimé qu'il fallait continuer dans la voie des sanctions contre l'Iran, jugeant qu'une attaque israélienne préventive "pourrait créer une situation totalement déstabilisatrice pour la région". Mais "si Israël est attaqué, la France se rangera à ses côtés pour assurer sa sécurité", a rappelé le ministre. Si Israël attaque? "Ce n'est pas la même chose", a dit Alain Juppé. "L'Iran se comporte mal, a poursuivi Alain Juppé. Nous avons la conviction - et le prochain rapport de l'AIEA ira vraisemblablement dans ce sens - que 　son programme de développement de l'énergie nucléaire a des fins militaires et donc qu'il se prépare à avoir une bombe. Ce n'est pas acceptable. Ce n'est pas conforme aux traités internationaux et ce serait une menace déstabilisant l'ensemble de la région et au-delà", a-t-il cependant précisé.

TF1 News.fr

Pour yannick noah sur paris en acoustique, j'ai mon copain qui fait de la guitare qui est dans un groupe .... je pense avoir pas mal de soirée avec lui,d'ont les petit groupe pourquoi pas, je tient toujours mes promesse sugart b même si a la fête de l'huma, je n 'ai pas bien vu yannick noah, tu auras le complement en acoustique, j"essaie de lire et de voir ce que je peut mêttre dans d 'autre topic pas selement thème et débat [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] a toi aussi, ne me vois pas comme une personne qui pourait être ton ennemi

Ben pourquoi te verrais je comme une ennemie Marylaure .. ?
Je t'embrasse et à très vite...euh moi c'est surtout Sum 41 qui m'intéresse

Bisous et bonne soirée

Marylaure , bonsoir

Une petite question de ma part si tu permets , tu dis " faire des reportages" alors j'espère , que tu as un correcteur ?? pour monter ton reportage , j'avoue ......... j'ai un peu de mal à suivre tes messages , pourquoi ?? ça part un peu dans tous les sens , est ce normal cette façon d'écrire et, raconter ,