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« Les médisants ressemblent aux malheureux qui n'ont pas eu leur part d'événements et doivent mener aux dépens de leurs voisins une existence parasitaire. »

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Les politiciens et nous..

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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Mer 26 Oct - 15:27

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26/10/2011 à 16:46

L'Europe cherche à stopper la crise de la dette avec l'aide de la Chine


Le pessimisme s'est installé mercredi sur les chances de voir le sommet de la zone euro apporter la réponse d'envergure promise à la crise de la dette du fait de divergences persistantes, alors que la Chine, la Russie et d'autres pays émergents pourraient apporter leur aide.




[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]p

hoto : Eric Feferberg,

AFP

Deux réunions cruciales sont programmées. Les chefs d'Etat et de gouvernement des 27 pays de l'Union européenne se réunissent d'abord à partir de 18H00 (16H00 GMT) à Bruxelles pour parler de la recapitalisation des banques. Objectif: leur permettre d'amortir le choc de leurs pertes sur la dette grecque.

Ce point ne fait plus débat. Un projet d'accord, obtenu par l'AFP, va entériner de nouvelles exigences de recapitalisation des banques, avec un ratio de fonds propres "durs" relevé à 9% d'ici juillet 2012.

Le texte ne donne pas de chiffre mais selon une source européenne un montant de quelque 108 milliards d'euros est jugé nécessaire.

Le plat de résistance suivra lorsque les dirigeants des dix-sept pays de la seule zone euro se retrouveront en conclave.
Les grandes lignes d'un accord ont été tracées. Il s'agit de stabiliser la Grèce en convainquant les banques créancières de renoncer à la moitié au moins de la dette qu'elle détiennent - 100 milliards d'euros environ - et d'empêcher la contagion de l'incendie à l'Italie via un renforcement du pare-feu de la zone euro.

Et là, selon des diplomates, les choses s'annoncent beaucoup plus compliquées, alors même que le monde entier attend des actes.

Les négociations avec les banques créancières de la Grèce ne sont pas encore bouclées car ces dernières renâclent à accepter des pertes supérieures à 50%, comme le demandent les gouvernements.

Berlin pousse pour un chiffre maximal car il refuse que les Etats remettent au pot pour Athènes. La France, soutenue sur ce point par la Banque centrale européenne, prône la prudence de crainte de déstabiliser le secteur financier.

Enfin les détails du FESF restent encore flous.

Au nom de l'indépendance de la BCE, l'Allemagne a obtenu gain de cause avec la suppression dans le projet de communiqué final du sommet de la zone euro d'une phrase sonnant comme un appel à l'institut monétaire à poursuivre son aide à l'Italie et l'Espagne, a indiqué mercredi un diplomate à l'AFP.

La chancelière doit compter avec la sensibilité politique du sujet dans sa majorité. Les députés allemands lui ont accordé mercredi, à une écrasante majorité, un mandat pour défendre à Bruxelles la position allemande sur le renforcement du FESF.

Quelle sera la puissance de feu au final de cet instrument capital pour espérer stopper la contagion de la dette? La probabilité que les détails d'un compromis soient renvoyés à plus tard grandit.

"Nous devons aujourd'hui prendre des décisions tangibles" mais "on ne va sans doute pas formuler tout dans les moindres détails", a prévenu le chef de file des ministres des Finances de la zone euro, Jean-Claude Juncker.

Un montant d'au moins 1.000 milliards d'euros pour la capacité d'intervention du futur FESF est envisagé. "C'est l'objectif qu'on a en tête", confie un négociateur. Mais il est peu probable qu'un chiffre précis sortira du sommet car les formules retenues pour augmenter la puissance de feu via des "effets de levier" ne permettent pas de le faire à ce stade.

La première option est un système d'incitation à prêter de l'argent aux pays fragiles: une assurance-crédit garantissant aux investisseurs le remboursement d'une partie de la dette. La deuxième passe par un ou plusieurs dispositifs spéciaux, adossés au FESF ou au Fonds monétaire international et ouverts à des investisseurs extérieurs pour racheter de la dette publique.

Des négociations sont en cours avec les grands pays émergents des Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud).

Pékin a d'ores et déjà accepté de contribuer via l'option d'un Fonds adossé au FMI. "La Chine est pour", a indiqué à l'AFP une source diplomatique.

La Russie s'est dite aussi prête à participer. "Pour nous, il serait préférable que la Russie participe aux mécanismes de stabilisation à travers le Fonds monétaire international", a déclaré mercredi le conseiller économique du Kremlin, Arkadi Dvorkovitch.

Une source proche des négociations a jugé ce choix "pas surprenant" de la part des émergents. "Il y a un instrument connu de tous, le FMI, avec une gouvernance bien définie, et a côté un machin encore flou", a-t-elle commenté.

Reste le problème de l'Italie. Craignant une contagion de la crise de la dette à ce pays, les dirigeants européens font pression sur le chef du gouvernement, Silvio Berlusconi, pour qu'il leurs donne des garanties sur la baisse de sa dette, en échange de leur solidarité.

Le Cavaliere est parvenu mardi soir à un accord a minima sur la réforme des retraites avec son allié de la Ligue du Nord. Mais il n'est pas garanti que cela suffise à ses partenaires.

L'Italie doit faire "des efforts de consolidation (budgétaire) importants, également structurels, c'est un +must+", a averti M. Juncker.
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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Mer 26 Oct - 16:59

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26/10/2011 à 16:31

Le feuilleton Dati commence à agacer à l'UMP


La tactique guerrière de Rachida Dati pour briguer la même circonscription législative que François Fillon à Paris commence à agacer à l'UMP où plusieurs responsables ont lancé une contre-offensive pour dire "stop" au spectacle d'une droite parisienne qui se déchire, face à un risque de propagation.




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photo : Jean-Francois Monier,

AFP

Après une timide médiation menée lundi par le secrétaire général de l'UMP Jean-François Copé, dont les relations avec le Premier ministre sont notoirement fraîches, le ton est monté mercredi lors du bureau politique de l'UMP, sorte de conseil des ministres du parti majoritaire.

"Le bureau politique a été en grande partie consacré au cas Fillon-Dati et pas une seule personne n'est montée au créneau pour la défendre", raconte un collaborateur de l'UMP Paris. "On sent bien que ça se réveille et que le jeu de Copé est trop clair et qu'il ne veut pas dire stop devant ce spectacle".

La guerre interne à l'UMP Paris, ravivée depuis l'échec des sénatoriales, a repris de plus belle le week-end dernier.

D'abord samedi sur France 3 IDF, lorsque la maire du VIIe envoie ses premiers reproches pour réclamer la 2ème circonscription, détenue par Jean Tiberi et Martine Aurillac, tous deux favorables à M. Fillon.
Dimanche, invitée de "Radio France politique", elle multiplie les coups, accusant le Premier ministre d'avoir acheté des élus pour s'implanter dans la capitale, notamment en aidant le fils de Jean Tiberi, Dominique, à obtenir un poste aux Finances.

Mardi, nouvel épisode: après la médiation chez Jean-François Copé le "casque bleu", circule l'information selon laquelle l'ex-garde des Sceaux serait finalement parachutée dans la 12e circonscription, celle de Philippe Goujon, député-maire du XVe, patron de la fédération UMP de Paris et fervent filloniste.

Une éventualité démentie mercredi par le ministre de l'Intérieur Claude Guéant, dont une information de presse affirmait qu'il était à l'origine de cette proposition. Dans la foulée, Jean-François Copé a assuré que Philippe Goujon avait "vocation" à rester sur son territoire.

"Maintenant ça suffit! Rachida Dati a été servie sur un plateau en or massif", en devenant maire du très chic VIIe arrondissement et députée européenne, a grondé mercredi Nadine Morano, ministre de l'Apprentissage et responsable UMP en charge des élections.

"J'ai dit +stop+ et +respect au Premier ministre+ et j'ai rappelé que les querelles parisiennes rejaillissaient sur l'ensemble de nos territoires et de la province, c'est inacceptable", a dit Mme Morano lors du bureau politique. Elle a assuré à l'AFP qu'elle avait été "très virulente et très applaudie".

Christian Estrosi a aussi appelé à soutenir sans faille François Fillon: "[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] du bureau politique de l'UMP", a relaté le député-maire de Nice. "Ce n'était pas à l'ordre du jour, mais je sens le sentiment d'exaspération monter chez nous sur ce débat parisien et qui plus est, sur les mauvaises manières que l'on fait au Premier ministre".

Mais Rachida Dati a de nombreux soutiens, dont Jean-Pierre Raffarin, Christian Jacob, Daniel Spagnou, Christine Boutin, Marie-Jo Zimmermann... qui ont rappelé l'importance de la parité à l'Assemblée: "Si d'aventure, Rachida Dati n'obtenait pas cette investiture, la capitale n'aurait plus aucune femme UMP députée à l'Assemblée Nationale", a souligné mercredi Mme Zimmermann.



AH LES FEMMES , VOUS LES FEMMES
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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Mer 26 Oct - 19:02

On vas quand même pas donnez le poste a Rachida sous prétexte que c'est une femme...?
Elle n'a pas les capacités pour,tout ce qu'elle veut c'est s’installer confortablement et s'en fout royalement des responsabilité que ce posts exige d’endosser,tant qu'elle a sa rente et les notes de frais de réglez,je suis vraiment pour mettre un terme a sa carrière politique qui a de toute façon démarrez sur la base de mensonge...
C'est vraiment petit tout se pataquès qu'elle fait...elle est censé soutenir l'UMP avant ces propre envies..alors qu'elle le fasse tout comme le font les adhérents..!!
NON
Actu-OneActu-OneAdmin
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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Jeu 27 Oct - 5:58

Actu TC ,
Psycho99Psycho99VIP du Galion
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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Jeu 27 Oct - 7:03

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26/10/2011 à 20:52

Interview Sarkozy : Pernaut et Calvi, rôdés mais pas spécialistes en éco


Les journalistes de TF1 Jean-Pierre Pernaut et France Télévisions Yves Calvi, qui interrogeront Nicolas Sarkozy jeudi sur la crise économique dans la zone euro, sont des habitués de l'antenne sans pour autant être des spécialistes des sujets économiques.




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photo : Philippe Wojazer,

AFP

Le PS et le syndicat CGT de France Télévisions veulent voir dans le choix de ces deux hommes la main de l'Elysée.

L'émission débutera à 20H15 et devrait durer environ 1H15. Elle prendra la forme de questions-réponses, avec la volonté de montrer notamment ce que la crise "signifie très concrètement pour les Français dans leur vie pratique", souligne la directrice de l'information de TF1, Catherine Nayl.

Pour mener l'entretien, TF1 dit avoir choisi elle-même Jean-Pierre Pernaut, 61 ans, inamovible présentateur du journal de 13H.

Il a déjà animé deux fois l'émission "Paroles de Français" avec Nicolas Sarkozy, en janvier 2010 puis en février 2011, au cours de laquelle le président dialoguait avec des Français sélectionnés par la chaîne privée.

Jean-Pierre Pernaut symbolise l'information de proximité, présentateur depuis plus de 23 ans d'un journal orienté vers la France des régions, suivi chaque jour en moyenne par 6,4 millions de personnes.
Pour Catherine Nayl, il a un "profil tourné vers l'explication", "intéressant pour une émission comme celle-ci".

Mais il n'est cependant pas spécialiste des questions économiques ou européennes.

Côté France 2, le journaliste Yves Calvi, 52 ans, a également un profil de généraliste et de pédagogue.

Présentateur depuis 2005 de l'émission "Mots croisés" sur France 2, diffusée le lundi, il anime également depuis dix ans le programme quotidien de débats "C dans l'air" sur France 5, et réalise une interview quotidienne sur RTL.

"Il a l'habitude d'être le plus clair possible", souligne Thierry Thuillier, directeur des rédactions de France Télévisions.

"Volonté de décryptage"Pour Philippe Bailly, directeur de l'agence médias NPA Conseil, "l'impression que cela donne (...) c'est de poser l'entretien dans une forme de proximité, une volonté de décryptage".

Yves Calvi a déjà interrogé Nicolas Sarkozy le 21 avril 2008, au cours d'une émission animée par Patrick Poivre d'Arvor et David Pujadas, diffusée sur TF1 et France 2.

C'est aussi un proche de Jérôme Bellay, fondateur de France Info, de LCI et ancien président d'Europe 1, qui produit "C dans l'air". La société de Jérôme Bellay, Maximal Productions, coproduit également l'émission de jeudi.

Ce choix de production, tout comme celui des journalistes, fait cependant grincer des dents, car Jérôme Bellay est depuis le mois de juillet directeur du Journal du Dimanche, qui appartient au groupe Lagardère Active.

"Ce qui nous choque, c'est que Maximal Productions, c'est Jérôme Bellay, qui travaille au JDD, qui appartient à 100% à Lagardère, qui était invité au Fouquet's le soir de l'élection de Nicolas Sarkozy", critique Jean-François Téaldi, délégué syndical central CGT à France Télévisions.

Le syndicaliste regrette d'autre part "la mauvaise habitude qu'ont pris tous les présidents politiques de choisir leurs intervieweurs", selon lui.

Le Parti socialiste a "dénoncé" de son côté la "mise en scène de l'émission", dont "Nicolas Sarkozy a choisi seul les deux journalistes intervieweurs, ainsi que sa production par une société privée détenue par le groupe Lagardère", dans un communiqué de Patrick Bloche, secrétaire national chargé des médias.

Des critiques qui ont agacé l'UMP, où l'on trouve "absolument ahurissante cette posture de la part d?un parti qui a bénéficié avec ses primaires d?une couverture médiatique à sens unique".
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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Jeu 27 Oct - 15:32

Crise de la dette: Qui sont les gagnants du plan européen?


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INTERVIEWS - Les réponses des économistes interrogés par 20minutes...

Jean-Paul Betbèze, chef économiste du Crédit Agricole : « Le gagnant c’est l’Europe »

« Le gagnant c’est l’Europe. Arrêtons de faire du national à ce sujet là. L’Europe se meurt du fait que l’on dit que l’Allemagne a gagné… L’Europe est en train de se fabriquer comme une structure fédérale. Ces nations ont des difficultés différentes. C’est vrai que l’Allemagne est dans la meilleure situation, mais elle a quand même un déficit budgétaire. L’Allemagne soutient le processus même si cela ne lui plait pas beaucoup car elle se dit que si l’Europe explose, elle se retrouvera avec un deutschmark fort et elle ne pourrait plus exporter. Tout le monde a fait des erreurs, certains plus que d’autres, mais on est dans la même entité. Il s’agit de tourner vite cette page. On attend la croissance et peu à peu la pression des marchés diminue. »

Philippe Waechter, directeur de la recherche économique chez Natixis Asset Management : « La philosophie allemande l’a emportée »

« La France voulait que l’on puisse utiliser le FESF (fonds européen de soutien) comme une banque avec un effet de levier très important. On parlait de 2.000 milliards d’euros pour venir en aide aux pays en difficulté. Or la philosophie allemande l’a emportée. On a décidé que si un pays a des difficultés, on voudra bien garantir sa dette, mais sous certaine conditions. Avec ce qui a été décidé, les montants ne sont pas les mêmes et la conditionnalité non plus. Derrière, il y a un pouvoir de surveillance plus marqué. »

Céline Antonin, économiste à l’Observatoire français des conjonctures économiques : « On ne peut pas réfléchir en terme de gagnants et de perdants »

« L’Allemagne a tiré son épingle du jeu. Elle a tenu bon sur ce qu’elle ne voulait pas voir mettre en place. Ainsi, les Etats européens n’apporteront pas de nouveaux fonds dans le FESF. Elle a également fait accepter son idée de recapitalisation des banques. On peut dire qu’elle a réussi à imposer sa vision, mais on ne peut pas réfléchir en terme de gagnants et de perdants. Les mesures sont globales et vont toucher tous les pays d’Europe donc il n’y a ni gagnant ni perdant. Par ailleurs, il faut attendre beaucoup de précisions. »

Marc Touati, directeur des études économiques de la compagnie financière Assya : « Politiquement, c’est l’Allemagne qui l’a emportée »

« A court terme, c’est la zone euro et donc la Grèce qui bénéficie d’un bol d’air frais. Politiquement, c’est l’Allemagne qui l’a emportée. »
AnonymousInvité Les politiciens et nous.. - Page 9 Vide
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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Jeu 27 Oct - 17:27

ne vous fatiguez pas à regarder ce soir l'ITW , ici on vous raconte tout : :http://www.lepost.fr/article/2011/10/27/2623740_ne-vous-fatiguez-pas-a-regarder-sarkozy-ce-soir-je-vous-raconte-tout-cet-aprem.html

tout sauf ça ! moi je vais au restau MiAm
Psycho99Psycho99VIP du Galion
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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Jeu 27 Oct - 17:44

Wiiii j'ai vu mais pas osé le mettre lol Hum Wink


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Un étrange mal de dette


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Remember. Ca se passait en juillet dernier, autant dire durant la préhistoire, puisque nous sommes à un moment où les couches d’informations se superposent si rapidement dans notre cerveau qu’elles s’effacent au bout de quelques jours. Et quand elles ne se gomment pas les unes les autres, elles se mélangent et se confondent, ou bien se défraîchissent plus vite que la mode féminine.

A cette époque reculée, les médias du monde entier, l’Internet au premier chef, bruissaient, frémissaient et s’alarmaient du possible défaut de paiement concernant la dette publique états-unienne.

Les démocrates plaidaient pour un relèvement du plafond de la dette, les républicains ne voulaient pas en entendre parler.


La parole divine elle-même, à savoir les agences de notation, menaçait d’amputer d’un A la note de confiance attribuée au pays du dollar.

Les Etats-Unis aux abois comme la petite Grèce ? On n’y croyait guère.

On avait raison. Dès le 2 août, l’âne et l’éléphant se sont mis d’accord pour élargir le plafond de la dette de 2100 milliards, moyennant une réduction des faramineuses dépenses militaires et, devinez quoi, des dépenses sanitaires et sociales.


Pour les militaires, on ne se fait pas trop de soucis, ils trouveront bien une petite guerre à mener dans un coin de la planète qui justifiera une rallonge budgétaire conséquente.

En revanche, les gagne-petit, a fortiori les gagne-rien, devront se serrer la ceinture et se soigner à l’Apache, c’est-à-dire à l’ancienne, avec des herbes et des onguents maison.

Le plus marrant, c’est qu’ils ont poussé un soupir de soulagement quand l’accord a été paraphé, parce qu’après des mois de dramatisation et de conditionnement, ils étaient les premiers persuadés que l’Amérique courait à la faillite, tandis que resurgissaient dans les mémoires ouvrières les images d’exode en Ford T surchargée, pendant la Grande Dépression des années 30 du siècle dernier.

Il s’est passé à peu près la même chose avec le sauvetage marathonesque de l’euro.

Risque de faillite de toute la zone par effet domino, fin de la monnaie unique, les agences Moody’s et Standard § Poor’s sanctionnant les « mauvais élèves » tout en se tenant en embuscade, prêtes à dégommer les économies majeures de la région au moindre faux-pas. On évoquait sans rire l'implosion de l'Europe et le retour de la guerre de 14.

Finalement, le énième sommet consacré à la gestion de la dette a évité le pire.

Ouf ! On a eu chaud, le boulet est passé tout près.

Evidemment, il va falloir tailler encore davantage dans les dépenses publiques, en particulier en ce qui concerne la santé, l’éducation, les allocations, les indemnités ;

il va falloir augmenter les prélèvements, la TVA, les taxes ceci-cela, mais vous n’allez tout de même pas bouder votre plaisir.


Vous êtes en piteux état, mais le « couple » Sarkozy-Merkel vous a sauvés. Même pas reconnaissants ?

Le post.fr
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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Ven 28 Oct - 5:39

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27/10/2011 à 23:59

Sarkozy crève l'abcès avec une révision drastique de la prévision de croissance


Le président français Nicolas Sarkozy a crevé l'abcès jeudi soir en annonçant une révision drastique de la prévision de croissance pour 2012, ramenée de 1,75% à 1%, comme en Allemagne, avec à la clé un nouveau plan d'austérité de 6 à 8 milliards d'euros dont le détail reste à arrêter.




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photo : Jean-Philippe Ksiazek,

AFP

Alors que les spéculations allaient bon train sur le calendrier d'une annonce que chacun savait inéluctable, le président de la République a pris tout le monde de court lors de sa grande explication de texte sur le sommet de Bruxelles, diffusée simultanément sur TF1 et France 2.

Les mesures du nouveau plan d'austérité seront annoncées "dans les dix jours", a-t-il précisé, autrement dit au lendemain du sommet du G20 convoqué les 3 et 4 novembre à Cannes sous présidence française.

Une ligne rouge est cependant fixée. "En aucun cas", a spécifié Nicolas Sarkozy, il n'est question d'une augmentation généralisée de la TVA. "Pour une raison assez simple: c'est que ça pèserait sur le pouvoir d'achat des Français" et "sur la consommation", a-t-il tranché.

Moins de 24 heures après l'accord arraché à Bruxelles sur le sauvetage de la zone euro, la France donne ainsi de nouveaux gages de transparence aux marchés mais surtout aux agences de notation qui ont mis le précieux "triple A" français sous observation.



L'Allemagne avait pris les devants une semaine plus tôt jour pour jour, ramenant sa propre prévision de croissance pour l'an prochain de 1,8% à 1% également.

Reste désormais au gouvernement à mettre les mains dans le cambouis pour trouver les "6 à 8 milliards" d'euros d'économies et de recettes fiscales supplémentaires. Elles seront nécessaires pour tenir les engagements de réduction des déficits avec une croissance en berne.

Sans entrer dans les détails, le président Sarkozy a annoncé les grands axes de ce nouveau plan d'austérité. Il ne s'agit pas, selon lui, de "multiplier les mesures" mais de "privilégier celles qui renforceront (la) compétitivité" de l'économie française.

"La clé, c'est la croissance et le travail", a-t-il insisté.

Quelques instants plus tard, la ministre du Budget Valérie Pécresse a assuré lors d'un débat télévisé "qu'aucune mesure n'est arbitrée" mais qu'il s'agira de nouvelles économies portant pour l'essentiel sur les dépenses de fonctionnement. L'objectif, selon elle, sera de soutenir "la compétitivité" tout en veillant à "l'équité".

La révision de la croissance française était devenue d'autant plus inévitable que, comme l'a déploré jeudi Laurence Parisot, présidente du Medef, l'économie réelle "commence à être atteinte" par l'onde de choc de la crise financière.

Le chômage a grimpé en flèche en septembre. Il frappe désormais près de 2,8 millions de personnes qui sont privées de toute activité, un chiffre sans précédent depuis janvier 2000.

Quant au "consensus des économistes", il ne tablait plus ces derniers jours que sur 0,8 ou 0,9% de croissance en 2012.

Caduc avant même d'avoir été définitivement adopté par le Parlement, le budget 2012 va donc devoir être revu et corrigé.

Le concours Lépine de la discipline est ouvert. Des députés UMP avaient dégainé les premiers, suggérant un nouveau taux intermédiaire de TVA, entre les 5,5% et les 19,6% d'aujourd'hui.

Idem pour l'impôt sur les sociétés qui pourrait être alourdi. "C'est une piste qui toucherait essentiellement les grands groupes", expliquait-on jeudi à Bercy.



AINSI SOIS JE / AINSI SOIT - IL / AINSI SERONS NOUS /

COMME UN CITRON PRESSE
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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Ven 28 Oct - 10:35

Nicolas Sarkozy : ce qu’il faut retenir de son intervention télévisée
Accord européen sur la crise de la dette, prévision de croissance revue à la baisse, le chef de l'Etat s'est exprimé jeudi soir sur TF1 et France 2. Voici les principaux points de son intervention.


En une heure et quart d’émission, le chef de l’Etat a beaucoup parlé d’Europe et d’économie mais n’a pas oublié sa future campagne.

1% de croissance. Comme l’Allemagne l’a fait il y a quelques jours, la France révise sa prévision de croissance pour l’an prochain à la baisse : « Nous avons décidé de la ramener à 1% », a déclaré le chef de l’Etat.

C’était un secret de Polichinelle, plusieurs ministres ayant déclaré ces derniers jours que le gouvernement était prêt à s’adapter à un ralentissement de l’activité économique. Le plus dur commence désormais : il va donc falloir « trouver 6 à 8 milliards d’économies supplémentaires », a ajouté le président. Des chiffres qui annoncent une nouvelle réduction de la dépense publique, voire de nouvelles hausses d’impôts. Car la priorité, c’est la réduction de la dette et des déficits publics qui devront atteindre 3% du PIB en 2013, comme la France s’y est engagée auprès de ses partenaires européens.

Pas de hausse généralisée de la TVA
. Où trouver l’argent? Pas dans une hausse généralisée de la TVA. Le chef de l’Etat s’y refuse : actionner ce levier, pèserait, selon lui, « sur le pouvoir d’achat et la consommation ». Ce serait « injuste », a-t-il insisté. Nicolas Sarkozy n’a pas fermé la porte, en revanche, à la création d’une TVA à taux intermédiaire. Evoquée ces derniers jours par les parlementaires, celle-ci pourrait frapper des secteurs à forte main-d’œuvre comme la restauration, l’hôtellerie et le bâtiment dont le passage à la TVA à 5,5% est régulièrement remis en cause car insuffisamment créatrice d’emplois. Selon les options retenues, cette mesure pourrait rapporter près de 4,5 Mds€.

Le contribuable ne paiera pas pour les banques. Le message est clair, le financement des banques sera basé uniquement sur des partenariats privés et non pas sur des fonds publics. Le tout pour un montant d’une dizaine de milliards d’euros. « Pas question que le contribuable soit mobilisé pour réparer les erreurs commises par les banquiers », a-t-il encore précisé. Le chef de l’Etat, qui a reconnu s’être parfois énervé contre les banquiers, exige par ailleurs que l’argent que les banques consacrent aux bonus et aux dividendes serve désormais à renforcer leurs fonds propres. Nouveauté : la Banque de France jouera le gendarme en cas de non-respect des règles du jeu grâce à « un pouvoir accru de sanctions et de contrôles ». Le chef de l’Etat se refuse en revanche à séparer les activités de dépôts et d’affaires dans les banques, comme le réclament plusieurs économistes ou le PS.

Taxer les produits à bas coûts de certains pays. Le chef de l’Etat ne croit pas au protectionnisme. Mais il veut, et c’est une nouveauté, faire « participer les importations » au financement de la protection sociale française. Comment? En taxant les produits fabriqués dans des pays qui font du « dumping monétaire et social ». Paradoxe : ces propos visent explicitement la Chine alors même que Nicolas Sarkozy invite ce pays à investir dans le Fonds européen de stabilité financière.

Convergence fiscale avec l’Allemagne. « Nous devons réfléchir à la convergence de nos fiscalités. » A plusieurs reprises, le chef de l’Etat a insisté sur le couple franco-allemand, véritable moteur de l’économie européenne. Un couple qui sera encore plus fort, d’après lui, s’ils appliquaient, par exemple, un impôt sur les sociétés « avec la même assiette et le même taux ». Le projet est déjà sur des rails, les ministres des Finances des deux pays devant faire des propositions. Des impôts communs entre les deux pays? Ce serait un pas de plus vers la « nécessaire intégration économique » dont a parlé le président de la République. En clair, un véritable gouvernement économique de la zone euro.

Des clins d’œil aux enseignants. « Mieux payés, mieux formés, mieux considérés. » C’est tout le bonheur que Nicolas Sarkozy souhaite aux enseignants! Le discours et les mots sont strictement les mêmes… qu’en 2007. En campagne il y a cinq ans, le candidat Sarkozy promettait en effet déjà une revalorisation globale du « métier », caressant un monde enseignant qui n’attendait que cela dans le sens du poil. Pas sûr que ces propos suffisent toutefois à calmer la grogne du presque million de professeurs, excédés par le rythme accéléré des réformes.

Affaires : « magouilles » et « calomnies ». Interrogé sur le dossier Karachi qui vise plusieurs de ses amis, dont Nicolas Bazire — « un homme profondément honnête » —, Sarkozy s’est présenté comme la cible de « magouilles » et de « calomnies » destinées à le « salir » avant 2012. Se sent-il visé? « Oh pas du tout, pourquoi? » grince-t-il, mâchoires serrées. « Ça fait bientôt dix-sept ans. Est-ce que vous imaginez que s’il y avait quoi que ce soit à reprocher à M. Balladur, on ne l’aurait pas trouvé? » lance-t-il, sans jamais répondre sur le fond, au sujet des soupçons sur le financement de la campagne de son ex-mentor en 1995. « Il ne sortira rien de tout cela! » assène-t-il. A le croire, toutes les affaires seraient opportunément sorties à des périodes clés : Clearstream avant son élection, Bettencourt pendant la réforme des retraites et les rumeurs sur sa vie privée avant les régionales de 2010. Quant à l’espionnage des fadettes d’un journaliste, pour lequel le patron du renseignement, Bernard Squarcini, un fidèle, est mis en examen, il s’est bien gardé de se prononcer sur son éventuel départ. « Laissez la justice faire son travail », a-t-il esquivé.

Le Parisien.fr
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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Ven 28 Oct - 16:39

Quand Nicolas Sarkozy se pose lui-même les questions


Savez-vous que le président de la République aurait pu faire un très bon journaliste ? Jeudi soir, lors de son intervention télévisée, Nicolas Sarkozy s'est posé à lui-même une bonne vingtaine de questions ! Calvi et Pernaut dans tout ça ? Ils n'ont pu qu'écouter la "leçon" d'économie et les réponses déjà faites du chef de l'Etat... :


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Il faut dire que le président aime bien poser les questions. Il y a tout juste un an, lors d'une interview similaire à l'Elysée, il avait eu un "comportement" similaire avec Claire Chazal, David Pujadas et Michel Denisot :


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Montage Le Post.fr
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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Sam 29 Oct - 18:20

lol Notre chère Elisabeth Tessier n'en fini pas de nous faire rire... Hum Shocked Suspect sinon il y a mon Omar et lui je l'adore ! Prelude

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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Dim 30 Oct - 17:00

VIDEO - Obama et Sarkozy à la TV : 2 présidents, 2 styles opposés


A deux jours d’intervalle, Nicolas Sarkozy et Barack Obama ont tous deux fait une apparition à la télévision afin d’aborder des sujets d’actualité. Mais force est de constater qu’entre les présidents Français et Américain, une grande différence de style face aux médias les oppose. Comparaison en 3 points.


Le choix de l’émission

Nicolas Sarkozy comme Barack Obama choisissent naturellement l’émission à laquelle ils veulent participer. Quand le chef d’Etat américain s’invite dans une émission existante, le très populaire Tonight Show with Jay Leno sur NBC, Nicolas Sarkozy, lui s’exprime au cours d’un programme créé spécialement pour l’occasion et diffusé à la fois sur TF1 et France 2.

C’est peut-être la différence majeure des deux communications. Barack Obama suit le conducteur normal de l’émission, et se rend sur le plateau de Jay Leno comme le ferait n’importe quel invité… Tout en sachant qu’il n’allait pas être bousculé ! Si Nicolas Sarkozy a déjà participé en tant que Président à une émission en plateau, dans Face aux Français notamment, lors de son intervention du 27 octobre, il a tenu à maîtriser le déroulé de son interview. C’est donc l’Elysée qui a choisi la société productrice de son émission, mais aussi les journalistes, Jean-Pierre Pernault et Yves Calvi pourtant pas spécialistes des questions abordées, le lieu de l’interview et les chaînes qui la diffuseraient.

Le choix des thèmes

Si il est évident que c’est Nicolas Sarkozy qui souhaitait expliquer aux Français la situation autour de la crise européenne afin de faire de la « pédagogie », il paraît probable que les thèmes abordés par Jay Leno avec Barack Obama aient été également décidés à l’avance.

Face à Jean-Pierre Pernault et Yves Calvi, Nicolas Sarkozy a donc évoqué la crise économique européenne, tout en égratignant ses adversaires politiques, François Hollande candidat PS à la Présidence en premier lieu.

Du côté de Barack Obama, c’est l’actualité dans son ensemble qui était abordée : la mort de Kadhafi, le retrait des troupes américaines en Irak, ses rapports avec Hillary Clinton, la prochaine élection présidentielle, la crise économique mais aussi des sujets plus personnels comme sa vie de famille. Impensable en France, alors que Nicolas Sarkozy vient de devenir père une 4e fois ! Dans l’interview accordée à Jay Leno, Barack Obama révèle ainsi que ses filles ne sont pas autorisées à regarder la télévision pendant la semaine, et qu’il n’aime pas qu’elles regardent des émissions de télé-réalité.

L’attitude

Tout le long de son intervention du 27 octobre, Nicolas Sarkozy est resté très solennel. Lui qui a souvent été critiqué pour son attitude bling-bling fait désormais bien attention à son attitude. L’heure n’était pas à la plaisanterie, mais bien aux annonces et aux explications. Assis derrière un bureau, face aux deux journalistes, il est resté tout le temps sérieux.

Outre-Atlantique, l’interview présidentielle a eu un tout autre déroulement. Visiblement détendu, Barack Obama a pris place dans le siège réservé aux invités, face au public. Pendant une première partie de l’interview consacrée aux sujets « sérieux » tels que la crise économique ou la situation en Irak, le président américain a pu dérouler son discours certainement préparé à l’avance. Mais en fin d’intervention, quand les sujets sont passés sur un terrain plus léger, Barack Obama a suivi le mouvement. Il rit, fait des blagues, salue chaleureusement Jay Leno… En somme, il fait le show !

En conclusion...

A tous ceux qui diront que Nicolas Sarkozy a choisi la sécurité pour s'exprimer, il faut bien faire remarquer qu'Obama a eu aussi la partie facile. On sait que tous les Late Shows américains sont très préparés en amont, il n'y a aucune surprise. Bref, des deux côtés aucune mise en danger. Là où une différence fondamentale apparaît demeure dans l'image que veulent se donner les présidents des 2 pays. En France, où la 5ème République et son président tout puissant est souvent comparée à une monarchie, l'image "souveraine" est primordiale. On reproche toujours aux hommes politiques de se fourvoyer dans des émissions de divertissements. Au contraire des Etats-Unis où depuis longtemps les présidents doivent faire rêver, en incarnant le rêve américain. Bref, si l'intervention de Nicolas Sarkozy prend un sacré coup de vieux en la comparant à celle d'Obama, les marges de manoeuvre ne sont pas bien grandes. Et s'il venait au Président de casser les codes des interventions présidentielles à la TV, il y aurait une pléthore de critiques à son encontre.

Christelle Devesa.Première .fr
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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Dim 30 Oct - 17:20

C'est pas faux,Sarkozy est dans une mauvaise passe dans la mesure ou ces detracteurs feront feu de tout bois,depuis les primaires du PS,François Hollande se voit auréolé d'une toute nouvelle envergure,celle d'un futur président de la république...mais sincèrement ce gars là n'en a pas la stature ni la prestance,c'est un mou,un gras du bide,punaise rien que d'y pensez j'ai deja honte ..
Si Sarkozy perdra les élections Présidentiel ce ne sera pas grâce a son adversaire mais uniquement de sa faute il auras droit à un vote d'opposition en masse,61% des électeurs sondé disent vouloir voté contre son adversaire,quel qu’il soit...(reste a savoir si le pourcentage serait égale si le Fn arriverait au second tour...?)
Bref,je trouve que c'est bien facile de reprochez tout et nawak a Sarkozy,lui laissez la main ,personnellement je suis pour,dans la mesure ou je ne voit pas d'adversaire plus qualifié que lui,bien que j'aime les idées de la gauche ,je ne souhaite vraiment pas voir du gras double d'Hollande comme président...^^
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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Lun 31 Oct - 6:23

Actu tu délires ou quoi ?? "Plus qualifié que lui " :face: ...sa seule compétence c'est de se faire mousser en toutes occasions ... un malade mental !!
tiens , pour te faire changer d'avis sur Hollande, que je n'aime pas spécialement mais il sera toujours plus équilibré que le nain et au moins on pourra rire après mai 2011 , à voir : la 2ième video MDR !
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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Mar 1 Nov - 12:15

Projet de referendum grec: Nicolas Sarkozy va réunir ses ministres à 17h

CRISE GRECQUE - Après l'annonce de l'organisation d'un referendum en Grèce...

Nicolas Sarkozy réunira mardi à 17h les principaux ministres concernés par la crise de la dette grecque, après la décision du Premier ministre George Papandreou de soumettre à référendum le plan européen de sauvetage financier de son pays, a annoncé la présidence française.

Participeront à cette réunion le Premier ministre, François Fillon, et les ministres des Affaires étrangères, des Affaires européennes, de l'Economie et du Budget, Alain Juppé, Jean Leonetti, François Baroin et Valérie Pécresse, ainsi que le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer.

«Aucune déclaration n'est prévue à l'issue de cette réunion de travail», a précisé l'Elysée.

La présidence française s'est abstenue jusqu'ici de tout commentaire sur une décision qui sème la consternation dans la zone euro et devait être l'objet à la mi-journée d'un entretien téléphonique entre Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande, Angela Merkel.

20 Minutes.fr
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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Mar 1 Nov - 12:16

Les Bourses européennes chutent dès l'ouverture à cause de la Grèce

DETTE GRECQUE - L'annonce de référendum de Papandreou ne laisse pas les marchés indifférents...

Les Bourses européennes dégringolaient ce mardi matin, plombées notamment par le plongeon des valeurs bancaires, les investisseurs étant à nouveau inquiets pour la zone euro après la décision de la Grèce d'organiser un referendum sur le plan d'aide décidé à Bruxelles.

A l'ouverture, la Bourse de Paris affichait un recul de 1,89%, Francfort de 3,37%, Londres de 1,71%. La Bourse de Madrid chutait de son côté de 2% et Milan de 3%. Une heure après le début de la séance, toutes ces places financières accentuaient leur pertes, notamment Paris (-2,97%).

La Bourse d'Athènes était la plus touchée, s'effondrant de 6,24% vers 09H00 GMT.

L'Asie n'a pas échappé à la morosité, la Bourse de Tokyo cédant 1,70%, Hong Kong 2,49%, tandis que Shanghai parvenait à finir à l'équilibre.

La réapparition des inquiétudes concernant les dettes publiques dans la zone euro a également déprimé la Bourse de New York lundi soir, le Dow Jones perdant plus de 2%.

Incertitudes sur l'application du plan européen

Lundi, les places financières européennes s'étaient déjà fortement repliées, victimes de prises de bénéfices, de pressions persistantes sur la dette de l'Italie et de doutes grandissants concernant l'application du plan conclu dans la douleur jeudi dernier entre les dirigeants européens pour sortir de la crise.

Dans la soirée, l'inquiétude s'est accentuée après l'annonce de la Grèce d'organiser un référendum et un vote vote de confiance au Parlement sur une partie de l'effacement de dette publique du pays inclus dans l'accord de Bruxelles. Ce referendum «a pris les marchés par surprise et les a choqués», a souligné à Paris le courtier IG Market dans sa note quotidienne.

«Que va-t-il se passer si le peuple dit "Non"? Le risque est que la communauté internationale coupe l'arrivée d'argent et que le pays finisse par quitter l'euro. Il y a de quoi inquiéter sérieusement les investisseurs», a commenté à Francfort Christoph Weil, analyste de Commerzbank.

«Le risque d'une faillite à la Lehman (Brothers) a encore grandi», a estimé Holger Schmieding, économiste de la banque Berenberg, qui juge «plus important que jamais de construire un pare-feu autour de la Grèce pour prévenir une contagion à l'Italie».

Les titres des banques européennes étaient les premiers à sombrer, notamment à Paris où les principales banques perdaient 10 à 12% -en premier lieu BNP Paribas et la Société Générale- et à Francfort avec des dégringolades allant jusqu'à 9% pour la Commerzbank.

L'annonce lundi du dépôt de bilan du courtier américain MF Global, très exposé à la dette publique des pays de la zone euro et première victime de la crise européenne, a également alimenté l'inquiétude des investisseurs.

En outre, la publication mardi d'un mauvais indicateur économique chinois est venu aggraver la situation, les marchés étant toujours très sensibles au moindre signe de ralentissement en Chine.

L'expansion de l'activité manufacturière dans le pays s'est en effet ralentie au mois d'octobre en raison d'un fléchissement brutal des commandes reçues par les exportateurs.

AFP.
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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Mar 1 Nov - 12:28

Alice virée à cause d'une liaison avec le fils Kadhafi


La visage de la publicité, Vanessa Hessler, a fait des commentaires qui n'ont pas plu à son employeur Telefonica.

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Certaines liaisons peuvent s'avérer dangereuses, particulièrement quand il s'agit de liaisons téléphoniques. Vous vous rappelez de la superbe blonde de la publicité Alice, le fournisseur d'accès internet ? De son vrai nom Vanessa Hessler, le mannequin italo-américain vient de se faire renvoyer par Telefonica, la maison mère du groupe.

La raison : elle a révélé avoir eu "une très belle histoire d'amour" avec Muatassim Kadhafi, le fils du dictateur libyen Mouammar Kadhafi, tué le même jour que son père, le 20 octobre dernier. "C'était une relation passionnée, nous sommes restés ensemble pendant quatre ans", a indiqué le top model.

Economie

WOU-OUH
Alice virée à cause d'une liaison avec le fils Kadhafi

01/11/2011 à 08h49 - mis à jour le 01/11/2011 à 09h51 | 8331 vues | 71 réactions
La visage de la publicité, Vanessa Hessler, a fait des commentaires qui n'ont pas plu à son employeur Telefonica.

Vanessa Hessler, Alice.
Vanessa Hessler, Alice. | MAXPPP/Montage Le Post
Certaines liaisons peuvent s'avérer dangereuses, particulièrement quand il s'agit de liaisons téléphoniques. Vous vous rappelez de la superbe blonde de la publicité Alice, le fournisseur d'accès internet ? De son vrai nom Vanessa Hessler, le mannequin italo-américain vient de se faire renvoyer par Telefonica, la maison mère du groupe.

La raison : elle a révélé avoir eu "une très belle histoire d'amour" avec Muatassim Kadhafi, le fils du dictateur libyen Mouammar Kadhafi, tué le même jour que son père, le 20 octobre dernier. "C'était une relation passionnée, nous sommes restés ensemble pendant quatre ans", a indiqué le top model.

Regardez là dans cette publicité Alice, datant de 2005 :



Celle qui a joué un petit rôle dans Astérix aux Jeux olympiques a donné cette information dans une interview au magazine italien Diva e Donna. Elle donne également des détails sur la famille Kadhafi, qu'elle qualifie "de gens très simples, comme vous et moi". Muatassim Kadhafi avait 36 ans, et était régulièrement cité comme un possible successeur de son père, aux côtés de son frère Seïf al-Islam.

Un télégramme diplomatique américain, diffusé par WikiLeaks, l'avait toutefois décrit comme un homme "peu curieux intellectuellement", auquel ses conseillers avaient du mal à faire lire "des mémos simples sur les affaires courantes".

Telefonica : "Nous ne pouvons pas accepter ses commentaires sur le conflit en Libye"

L'incarnation d'Alice a surtout osé déclarer "nous -la France et la Grande-Bretagne- avons financé les rebelles. Les gens ne savent pas ce qu'ils (les rebelles) font, observe-t-elle encore. Le peuple libyen n'était pas particulièrement pauvre ou fanatique. Il ne faut pas croire tout ce qu'on entend." "En ce moment, tout me dégoûte à part la Libye, conclut-elle. Je n'arrive pas à croire que c'est vrai. Tout ça est très triste".

C'est en raison de son refus de revenir sur ses propos que Telefonica a décidé de rompre le contrat. "Nous mettons immédiatement fin à notre coopération avec Vanessa Hessler en tant qu'égérie publicitaire d'Alice", a tweeté lundi le porte-parole de l'opérateur en Allemagne, Markus Göbel...

Le Post.fr

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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Mar 1 Nov - 12:30

Quand Claude Guéant joue au perroquet : "Nettoyer, nettoyer, nettoyer..."



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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Mar 1 Nov - 17:33

Merci pour les News Sugar.. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Psycho,je voit que ça te parait bizarre que je pense que pour l'instant Sarkozy soit le seul qui ai la capacité pour prétendre a c poste,mais c'est pas objectif comme déclaration,je précise bien que je déteste François,et que combien même je suis pour la gauche,je voterait a droite si c'est lui qui représente la gauche..ou bien je donne ma voix a un petit partie afin de les aidez a voir les fameux 5% qui font que leur frais de campagne soit couvert et ainsi ils pourrons continuez a se battre pour leurs idées..
Mais pour l'heure,je reste bien sur ma position..^^ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Mer 2 Nov - 7:48

Actu : tu as vu comme il est "qualifié" ? les grecs viennent de la lui faire à l'envers bien bien comme il faut LOOse ..

Pour ce qui concerne le référendum grec : les grecs vont sortir de la zone euro après un non au référendum , leur monnaie va être dévaluée et ils relanceront leur économie ainsi, en allant même jusqu'à nous piquer des parts de marché CQFD
Ceci dit, je respecte tes choix : petits partis " bonne idée ..!
Calins
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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Mer 2 Nov - 10:52

Contesté, Papandréou obtient le soutien de son gouvernement


Confronté à un feu roulant de critiques, Georges Papandréou a arraché mercredi matin le soutien unanime de son gouvernement à son idée de référendum sur le plan de sauvetage financier de la Grèce qui sera organisé dès que possible après un accord.
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Après les remous politiques de la journée de mardi et les tiraillements au sein de son propre camp, c'est en pleine nuit, au terme d'une réunion marathon, et dans la douleur que le Premier ministre grec, Georges Papandréou, a obtenu le soutien à l'unanimité de son cabinet pour organiser un référendum sur le plan de sauvetage de la Grèce, et pour demander un vote de confiance au parlement vendredi. "Le référendum fournira un mandat clair, mais aussi un message clair à l'intérieur et à l'extérieur de la Grèce sur notre engagement européen et notre appartenance à l'euro", a déclaré le chef du gouvernement grec, justifiant son choix qui a pris toute la zone euro de court, lors de la réunion d'urgence du cabinet. "Nous devons faire en sorte que les choses soient claires à tous points de vue, et je dirai au G20 qu'il leur faudra finalement adopter des politiques qui garantissent que la démocratie soit maintenue au-dessus des appétits des marchés".
Certains parlementaires de son propre parti, le Pasok, avaient pourtant demandé quelques heures plus tôt la démission du Premier ministre, estimant qu'il mettait en péril l'appartenance du pays à l'Union européenne avec cette initiative référendaire. L'annonce a d'ailleurs provoqué une plongée des marchés financiers et des réactions de rejet implicite de la part de la France et de l'Allemagne. Malgré tout, le gouvernement a décidé de lui accorder son soutien.

Il va falloir s'expliquer

Mais s'il peut compter sur cet appui gouvernemental, Papandréou se prépare à un exercice délicat d'explication face à la France et à l'Allemagne qui souhaitent l'entendre aujourd'hui même sur le sujet avant le début du sommet du G20 à Cannes. Nicolas Sarkozy a eu beau asséner que "le plan adopté jeudi dernier à l'unanimité des 17 membres de la zone euro est la seule voie possible", le porte-parole du gouvernement grec a indiqué que le référendum "aura lieu dès que possible, après que les dispositions fondamentales de l'accord sur le plan de sauvetage seront formulées". De nombreux détails restant en suspens, le vote ne devrait pas intervenir avant la fin de l'année et des responsables grecs évoquaient, lundi, un scrutin vers la mi-janvier.

Les sondages d'opinion montrent qu'une majorité d'électeurs estiment que cet accord de sauvetage est mauvais mais tout dépend de la manière dont Papandreou présentera les mesures de ce plan ainsi que la question d'un maintien dans la zone euro. Le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble estime d'ailleurs ce mercredi dans le Financial Times Deutschland que les Grecs accepteront in fine les réformes du gouvernement lors du référendum. "Si la Grèce accepte le fardeau et les efforts exigés par les programmes d'aide, s'ils veulent demeurer dans la zone euro, ils soutiendront le plan", affirme-t-il. Le Premier ministre grec se dit pour sa part convaincu que les partenaires de la Grèce appuieront sa politique.

Dans l'immédiat, le premier obstacle politique que Papandreou doit franchir est celui d'un vote de confiance vendredi. "Nous pensons que le gouvernement va de nouveau obtenir la confiance afin de poursuivre sa politique", a toutefois estimé Angelos Tolkas, porte-parole du gouvernement.

TF1.News.fr
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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Mer 2 Nov - 10:57

Le G20 bouleversé par la "mauvaise surprise" grecque


La stratégie du G20 face à la crise mondiale est bouleversée par l'annonce d'un référendum à l'issue incertaine en Grèce, à deux jours de l'ouverture du sommet des grandes puissances. Rappel des thèmes qui doivent être débattus.

Il va falloir tout reprendre à zéro. La stratégie du G20 face à la crise mondiale est bouleversée par l'annonce d'un référendum à l'issue incertaine en Grèce, dont le Premier ministre Georges Papandréou a été convoqué mercredi à Cannes (France), à la veille du sommet des grandes puissances.

Georges Papandréou a semé l'émoi avec sa décision surprise, annoncée lundi soir, de soumettre au vote des Grecs, vraisemblablement en janvier, le plan de sauvetage d'Athènes conclu la semaine dernière et que la zone euro s'apprêtait à présenter jeudi et vendredi au sommet du G20. Dans un climat politique et social explosif, cette consultation s'annonce à hauts risques, menaçant l'ensemble de l'Union monétaire. Les places financières ont d'ailleurs dégringolé mardi, alors que l'accord de Bruxelles était censé rétablir la confiance. "Si cela échoue ce sera le bazar !", a résumé le président de la Banque mondiale Robert M. Zoellick lors d'une conférence téléphonique organisée avant la réunion de Cannes. Plus prudente, la Maison-Blanche a appelé les Européens à "expliquer davantage et appliquer rapidement" leurs décisions.

Rencontre Sarkozy-Jintao

Du coup, les principaux dirigeants européens ont sonné mardi le branle-bas de combat pour sauver ce qui reste du plan de la zone euro et le sommet du G20. Après des semaines d'incertitudes, tout semblait pourtant enfin calé en vue du sommet de Cannes, censé couronner cette année de présidence française du G20. Sous la pression de ses partenaires, Etats-Unis en tête, la zone euro avait promis d'arriver avec une solution crédible pour endiguer sa crise de la dette, déjà en passe de plomber la croissance économique mondiale. C'était même écrit noir sur blanc dans le communiqué final de la dernière réunion ministérielle du G20, le 15 octobre à Paris: le principal forum pour la coordination économique mondiale disait attendre des Européens "un plan global afin d'apporter une riposte énergique aux défis actuels". C'est à cette condition que les partenaires de l'Europe, surtout les grands pays émergents comme la Chine, étaient prêts à participer à l'effort mondial contre les risques croissants de nouvelle récession.

Leur contribution attendue est double: ils doivent s'engager à soutenir leur demande intérieure pour donner un coup de pouce aux exportations occidentales, et, éventuellement, apporter une aide financière plus directe à la zone euro et à son fonds de secours, via le FMI. Nicolas Sarkozy devait d'ailleurs rencontrer mercredi à Cannes son homologue chinois Hu Jintao pour un entretien suivi d'un dîner de travail, même si on ne savait pas si cette réunion serait remise en cause par l'urgence grecque.

Les Européens pensaient avoir rempli leur part du contrat avec l'accord de Bruxelles. Ils espéraient donc arriver sur la Côte d'Azur dans un climat plus serein, sans être soumis à la pression des marchés financiers. La décision d'organiser un référendum en Grèce a bousculé tout cet échafaudage.

TF1.News.fr
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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Mer 2 Nov - 16:07

Et si la Grèce sortait de la zone euro : les conséquences




DECRYPTAGE - L'annonce d'un référendum en Grèce fait trembler la zone euro. Que se passerait-il si les Grecs demandaient à sortir de la zone euro ? Explications de François-Xavier Piétri.
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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Mer 2 Nov - 16:10

Sondage : Hollande domine, Sarkozy et Le Pen en hausse


Selon un sondage Ipsos-France Télévisions-Le Monde, le député de Corrèze réaliserait le meilleur score à 35%, (+3 points), devant Nicolas Sarkozy 24% (+3) et Marine Le Pen 19% (+3).

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Bénéficiant toujours de l'effet primaire PS, François Hollande continue d'écraser Nicolas Sarkozy si le second tour de la présidentielle avait lieu aujourd'hui. En effet, selon un sondage Ipsos-Le Monde-France Télévisions, il recueillerait 62% des intentions de vote contre 38% pour le chef de l'Etat. Le très gros écart entre les deux candidats s'explique par les mauvais reports de voix pour la droite entre les deux tours et la puissance du score du candidat socialiste au 1er tour. Il est à prendre avec très grande prudence puisque même au PS, personne n'imagine une seconde que François Hollande puisse battre Nicolas Sarkozy avec plus de 60% des suffrages.

Plus intéressants sont les chiffres du premier tour de ce sondage. François Hollande recueillerait 35% des voix, en hausse de 3 points, ce qui montre une nouvelle fois la dynamique qu'une primaire ouverte réussie apporte au candidat socialiste. Elle lui permet de dominer en début de campagne très largement son camp puisque Jean-Luc Mélenchon (-2) comme Eva Joly (+ 1) sont crédités de seulement 6% des intentions de vote. Ces électeurs se reportent massivement sur François Hollande au second tour. Par ailleurs, Nathalie Arthaud pour Lutte ouvrière (inchangée) et Philippe Poutou pour le NPA (+0,5 point) ne recueillent que 1% des intentions de vote.

Un Français sur deux n'a pas fait son choix

A droite, même s'il est largement battu au second tour, Nicolas Sarkozy bénéficie d'une dynamique positive au premier puisqu'il est en hausse de 3 points par rapport au mois dernier, à 24%. Il est donc avantagé par le retrait de Jean-Louis Borloo et les faibles scores de François Bayrou (5,5%) et surtout Dominique de Villepin (2%). Ces 24% sont pour lui un socle correct de reconquête. Enfin, troisième enseignement de ce sondage, Marine Le Pen se situe toujours à des niveaux très élevés. Elle recueillerait ainsi 19% des voix, soit une hausse de 3 points par rapport à fin septembre.

A la question "votre choix de vote est-il définitif ou peut-il encore Changer ?", 58% des personnes interrogées répondent qu'il est définitif (+5 points). Interrogées sur la crédibilité de Nicolas Sarkozy et François Hollande, 37% des répondants considèrent que le président sortant est "le plus capable de
réduire les déficits et la dette" (+1 point par rapport à début septembre), contre 36% pour le candidat socialiste (-7). 40% des personnes interrogées considèrent que "la politique menée par Nicolas Sarkozy et Jacques Chirac depuis 2002" "est la plus responsable de la dette actuelle et des déficits", alors que 30% répondent "la politique menée par Lionel Jospin et François Mitterrand lorsqu'ils étaient au pouvoir".

Sondage réalisé par téléphone les 28 et 29 octobre auprès d'un échantillon représentatif de 970 personnes (méthode des quotas). Notice disponible à la commission des sondages

TF1.News
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MessageSujet: Re: Les politiciens et nous.. Les politiciens et nous.. - Page 9 2110Mer 2 Nov - 16:22

Le seul pays dont j'ai souvenance qu'il ait fait faillite c'est l'Argentine et il est vrai que la situation de ce pays s'est semble t il bien redressée.

Mais il y a une différence entre l'Argentine et la Grèce, l'Argentine possède un vaste territoire beni des dieux en terme de ressources naturelles, tandis que la Grèce n'est absolument pas indépendante en terme d'energie et sa production pour l'exportation est symbolique.

Abandonner l'euro au profit d'une monnaie sous dévaluée, est un moyen de gagner de point en terme de concurrence mais ce pendant un temps. Mais encore fait il avoir quelque chose à offrir...

En outre,avec la dette en Euro et le petrole en dollar, il ne faut pas non plus que la monnaie nationale soit trop basse parce que la facture sera d'autant plus salée...d'où inflation et de nouveau un cercle vicieux

Que la Grèce soit en défaut de paiement ( la masse en terme de production de richesse représente environ 5% de la masse totale Europeene )
En soit c'est absorbable.

En revanche, ce qu'il faut craindre c'est l'exposition des banques à la dette Grecque et l'effet en cascade.

Si les banques françaises sont suffisamment capitalisées pour l'instant, des banques italiennes, portugaises ou espagnoles n'ont pas cette capacité.Si elles s'assoient non pas sur 50 % de leur creances mais sur la totalité, elle entraineront immanquablement des conséquences pour les acteurs de l'economie reelle de leur pays, et si ses banques cèdent, les notres seront juste derrière , d'où la necessité de recapitaliser non pas à hauteur du manque à gagner du fait de la ristourne faite aux grecques, mais bien au dela, voire d'un montant équivalent au montant total de la dette grecque et peut être pas que de cette seule dette nationale

Madame Lagarde dans son conseil de voir les banques Françaises se recapitaliser, ce qui avait provoqué un tollé et un petit tsunami sur les marchés avait peut être envisagé le scénario du pire soit non pas un défaut partiel mais total

Alors un référendum, pourquoi pas ? mais pour qu'il soit valide il faut que la participation à celui ci soit à la hauteur de l'enjeu, si l'abstention est forte et qu'un pourcentage faible se déplace aux urnes, pourra t on considérer cela comme l'expression de tout un peuple ?

Un referendum c'est l'expression la plus directe de la volonté populaire, mais tout dépend de la question, de la compréhension de celle ci et de ses conséquences et d'une capacité qui n'est pas toujours la plus evidente à reflechir sur le long terme surtout quand une expression majoritaire de masse s'avère etre la somme d’intérêts particuliers à court terme

Effectivement le scénario du pire en cas de referendum, serait celui du rejet massif par une majorité réelle et non pas relative du système européen, Mais qui nous dit que le non à l'Europe l'emporterait obligatoirement ?

On qualifie la solidité d'une chaine à son maillon le plus faible, L'Europe d'aujourd'hui à atteint un seuil critique en terme d'adhésion qui fait qu'elle aurait du être dotée depuis déjà pas mal de temps d'un pouvoir Fédéral, chose qui déplait au plus haut point aux souverainistes.

Actuellement l'Europe c'est un enorme Bateau Ivre, dont le tangage est ressenti de façon moindre du fait de sa masse. Seul sans le "parapluie" européen il n'est pas dit qu'on s'en serait mieux sorti...On n'est pas la Suisse !

Les critères de convergences avaient pour finalité de mettre les postulants à niveau
La Grèce n'a pas joué le jeu sur bien des points, faisant preuve d'une libéralité avec de l'argent qu'elle n'avait pas et/ou qu'elle était incapable de récolter.
L'Europe est un beau projet mais un projet en panne, ce qui ne sera pas sans conséquence sur des adhésions futures ou celles en cours


L'economie est ce quelque soit le système adopté produit pour chaque effet positif un effet negatif équivalent, c'est comme marcher sur une poutre au dessus d'un précipice, c'est une recherche constante de l'équilibre et cela tient de l'impossible.
MalvilarMalvilarCommandeur
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