tous ceux de l'ump y compris ce cher sarko se targe d'être les héritiers de De Gaulle, comme si se dire Gaulliste etait une référence, c'était une référence lors du gouvernement avec De Gaulle en vie, pour moi cela ne représente plus rien, Chirac coquin , Tibéri escroc, Pasquat truand etc. se disent tous les enfants du gaullisme , le grand charles doit se retourner dans la tombe. il serait temps de le laisser se reposer en paix, et puis c'est d'une autre époque à jamais révolue, c'est aussi inutile que de se dire napoléonien, ou pire encore vercingétoriste [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] , il faut vivre avec son temps, les fans de sarkozy peuvent se targuer d'être sarkozyste s'ils partagent actuellement ses frasques et son quinquénnat, et puis c'est tout.

moi je suis pour un président qui se bat :

- pour notre indépendance et notre légitimité face au mondialisme du fric et du pouvoir,

- notre sécurité sans dresser les français entre eux,

- une vraie justice pour tous

- une médecine pour tous

- nos finances, pas son enrichissement perso comme pour ses ,

- préserver nos acquis sociaux que nos ancêtres nous ont fait avoir au prix de gros sacrifices

- faire en sorte que la misère disparaisse de notre pays, droit au logement

- prendre de vraies mesures contre le chômage,

- diminuer les écarts abyssaux de salaires entre la france d'en haut et la france d'en bas,

c'est cela une vraie démocratie et sans privilèges pour une caste de profiteurs et de requins (tous politicards confondus, gauche droite et centre)pardon si je vous choque, mais c'est ma vision des choses pour un monde plus juste

il me plait de rêver parfois

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CHOCO

Tu as raison de rêver, tout comme les Français rêvent aussi d'une France meilleure.

Mais, malheureusement, avec les candidats qui se présentent en radotant, à chaque élection : " Il faut que çà change ! " ... je pense, voire j'en suis certaine, que ce rêve a de fortes chances d'être UTOPIQUE, hélas !

Mardi midi. François Hollande déjeune dans un restaurant à deux pas de l'Assemblée nationale. A sa table, quelques journalistes présents. Le cadre est détendu, la conversation libre, c'est un déjeuner "off" où rien ne doit sortir, comme c'est la règle tacite dans le journalisme.

Hollande imagine alors la tactique de Sarkozy pour 2012, en se mettant à sa place : "Il va se présenter devant les Français et leur dire : 'Je suis un président en échec depuis cinq ans, je suis un sale mec, mais réélisez-moi parce que, dans cette période difficile, je suis le seul capable'", révèle le journaliste du Parisien qui participe au repas.

Pourquoi avoir brisé le "off" ? Le journaliste du Parisien s'explique : "Le choix de ce qualificatif ("sale mec", ndlr) pour appuyer son raisonnement en dit long sur l'estime qu'il (Hollande, ndlr) porte à son adversaire. Raison pour laquelle nous avons décidé, ce matin, de le publier."

Une version initiale modifiée

Sauf que cela n'a pas vraiment plus à l'UMP. Pas du tout même... Surtout que le journaliste du Parisien avait en fait publié un premier papier où l'expression "sale mec" avait été mise dans la bouche de Hollande, non pas dans une imitation de Sarkozy, mais bien dans une attaque verbale personnelle contre le président.
Voici le texte initial du journaliste : "Pour Hollande, il n'y a pas de mystère : c'est bien le chef de l'Etat, 'un président en échec', 'un sale mec', qui se cache derrière les formules de l'UMP."

Pas étonnant que les cadres du parti majoritaire se soient ensuite déchaînés, même après le rectificatif du journaliste du Parisien (voir 2e paragraphe) et les atténuations de plusieurs autres journalistes présents au déjeuner :

Claude Guéant, le ministre de l'Intérieur, a trouvé ces propos "intolérables" sur Europe 1. "Je trouve que c'est tout à fait scandaleux. Quand on a des arguments à porter dans le débat politique, on apporte des arguments. On n'insulte pas les gens"

"Ça nous a profondément choqués", s'est ému Jean-François Copé, patron du parti de la majorité. "François Hollande est dans le registre de l'injure et de l'instrumentalisation de pseudo-affaire, au lieu de faire des propositions courageuses", a-t-il ajouté.

Brice Hortefeux, le vice-président de l'UMP, estime lui que le candidat socialiste "a commis une erreur". Interrogé par Le Monde, il dresse ensuite un parallèle avec sa blague malheureuse sur l'Auvergnat en 2009 : "Quand on dit une connerie, c'est très difficile de savoir comment on s'en sort. C'est un spécialiste qui vous parle."

Pour Nadine Morano, ces propos sont "intolérables et inqualifiables". La ministre de l'Apprentissage demande en outre des "excuses publiques"

De son côté, Gérard Longuet, le ministre de la Défense, pense que François Hollande "est un mauvais candidat parce que s'il démarre la campagne ainsi, il la rend médiocre. La France mérite mieux que ce type de formule", cite Libération.

La défense du PS

A gauche, on se défend comme on peut...

François Hollande, le premier concerné dans cette histoire, a estimé que "ça suffit les polémiques qui sont organisées chaque jour", en référence à l'escarmouche sur la Une de Libération mardi.

"Je ne me laisserai pas emmener, impressionner par ce que veut faire la droite de cette campagne", a-t-il ajouté.

L'une des porte-parole du candidat Parti socialiste, Najat Vallaut-Belkacem, explique : "Au-delà de ce qu'il aurait pu dire ou ne pas dire, je voudrais dire à l'UMP que cette manipulation grossière est particulièrement malvenue de la part d'un parti dont le président s'est caractérisé ces dernières années par une véritable vulgarité."


Selon une autre porte-parole de Hollande, Delphine Batho, "c'est une manipulation grossière, presque un usage de faux, qui en dit long sur les méthodes de ceux qui nous gouvernent." Remontée, celle-ci ajoute dans France Soir : "C'est irresponsable. Cela a pris des proportions insensées et mensongères."

Et le "Casse-toi pauvre con !" de Sarkozy alors ?


Bernard Cazeneuve, député PS, joue là-dessus pour défendre les propos du candidat socialiste : "Très honnêtement, si François Hollande avait dit à Nicolas Sarkozy ‘Casse-toi pauvre con', il aurait eu légitimement les raisons de s'en plaindre, parce que ce type de propos sont assez inconvenants et tout à fait incorrects et malséants".

Repris par le Post .fr

Il faut se méfier des cieux ces derniers temps, ils ne sont guère favorables aux pauvres gens de cette nation souffreteuse. Nous ployons sous une chute ou plutôt pluie de mauvaises nouvelles, de coups bas qui viennent d'en haut (allez donc chercher la logique) et d'une avalanche d'augmentations en tous genres. Sans parler d'une TVA sociale d'affichage ultime.

Il est bien loin le temps de l'étoile miraculeuse nous promettant des temps mirifiques. Le petit homme providentiel qui s'installa au pouvoir a oublié depuis longtemps ses promesses merveilleuses Plus dure sera la chute ! Il ne faut pas en douter. À force de recevoir sur la tête toutes ces informations, nous en venons à douter de l'avenir. Curieusement, il en est encore à nous montrer du doigt, du haut de leur Olympe doré en nous reprochant un pessimisme qui ne serait pas de mise.

Il est facile de ne point douter quand on se trouve au-dessus des contraintes matérielles qui assaillent les braves gens, ceux qui vivent avec bien peu, beaucoup moins en tout cas que nos charmants conseilleurs jamais payeurs.

Ils appellent ça un train d'augmentation ! À la queue leu-leu, elles nous tombent sur la tête, taxes diverses, hausses énergétiques, augmentations allègres, diminutions de remboursement, baisses des subventions, réductions des aides, accroissement de la fiscalité.

Cet étrange train bat de l'aile et nous fonce dessus comme la vérole sur le bas clergé. Notre niveau de vie déraille, notre santé se détériore, le chômage s'envole. Tout va bien monsieur le Président ! Le pays va à vau-l'eau et vous prétendez encore tenir ferme le manche. Du balai.

Pour accroître nos craintes, de ci, de là, nous arrivent de joyeux parachutistes, des hommes et des femmes qui n'ont jamais eu les pieds ancrés dans un territoire, qui grandirent sous les lustres à paillettes, la tête dans les étoiles ! Ils viennent, hautains et prétentieux, prétendre rafler nos voix de miséreux vermisseaux.

Ceux-là ne peuvent comprendre les maux qui nous assaillent. Ils font quelques risettes, posent pour des clichés illusoires, s'affichent le temps d'une campagne et s'en retournent bien vite dans leurs hauteurs lointaines. Ils se proclameront représentants sans rien savoir de nos vies. Pire que tout, ils se trouvent encore de nos concitoyens pour avoir la bassesse impardonnable de leur accorder leurs voix.

Ne faisons plus aucune confiance à cette France d'en haut, ces gens qui nous toisent, qui nous méprisent, qui nous rabaissent à longueur de mesures. Ils ne savent rien de la vie réelle, ils accréditent des décisions qui sont en train de briser notre tissu social. Les dérives de la santé sont à ce titre exemplaires !

Ils sont incapables de côtoyer les vrais gens. Ceux qui ne se soignent plus, assommés par des dépassements d'honoraires, rebutés par les dé-remboursements ou les remboursements qui ne se font plus, découragés par l'inaccessibilité des spécialistes dans les hôpitaux publics...

Ne levons plus les bras au ciel pour protester ou éviter ce qui nous arrive ainsi. Levons un poing vengeur, allons balayer ces caciques d'un pouvoir féodal qui a oublié depuis belle lurette ce qu'une nuit du 4 août avait mis à bas !

Le pouvoir ne vient pas d'en haut. Ajoutons encore tout ce qui nous vient vraiment du ciel. Tempêtes, réchauffement climatique, trou de la couche d'ozone, dérèglements en tous genres, toutes ces joyeusetés dont l'incurie de nos élites est en grande partie responsable.

Pire que tout encore, elles se montrent totalement incapables de réagir avant que le ciel ne nous tombe vraiment sur la tête. Et si par malheur, il advenait à certains de se tourner vers le ciel pour croire en des jours meilleurs, des calamités bien pire encore leur arriveraient sur la calebasse.

Que cette idée saugrenue vienne à une femme et jamais plus, la pauvre, ne verrait le bleu du ciel, enfermée qu'elle serait dans sa gangue de tissu. Rien de ce qui tombe désormais du ciel n'est béni et nous finissons par en avoir ras la casquette de cette misère qui s'abat sur nous !

Ma SUGAR il est normal que la TVA sociale suscite des polémiques à l'UMP .... car ils ne sont jamais tous d'accord ces enfoirés ! lol

Bon début de campagne éléctorale à droite comme à gauche (polémqiues des 2 côtés ... ils se battent entre eux dans le même parti, donc ils sont mal barrés !)

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la morano mise à mal chez ruquier [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

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MAM se liquéfie [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

REGARDEZ LA TRONCHE DE NADINE OUMOUK, on croirait entendre lepen

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VIDEO. Nadine Morano : l'aboyeuse de l'UMP

Colère, accrochages avec les journalistes... La ministre s'emporte facilement. Florilège de ses derniers "coups de gueule" devant les caméras.

Invitée sur "France Inter", mercredi 4 janvier, Nadine Morano n’a pas apprécié le billet de l’humoriste Sophia Aram, et ne s'est pas gênée pour le faire savoir. Le lendemain, nouvel accrochage dans l’émission de Jean-Jacques Bourdin retransmise sur BFM TV, où la Ministre de l'Apprentissage se braque face au journaliste qui lui pose une question sur la TVA sociale.

Nadine Morano monte souvent au créneau, surtout quand il s'agit de défendre la politique du gouvernement. Mercredi, à la sortie du Conseil des ministres, elle était en première ligne pour réagir à la polémique sur les propos de François Hollande.



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(ben elle est "très distinguée..." lol)

Nouvel Obs.fr

Lorsqu'on entend parler de la Fondation Carla Bruni-Sarkozy, c'est surtout au sujet de sa fondatrice, mais qu'en est-il de ses activités ? Marianne publie cette semaine une grande enquête de Frédéric Martel : à y voir de plus près, l'action de la première Dame de France soulève quelques questions et prend même des allures de scandale international...

Si l'on connaît bien Carla Bruni, on connaît mal Carla Bruni-Sarkozy. Depuis 2008, la Première Dame de France fait beaucoup parler d’elle, mais personne ne sait vraiment comment elle agit. A la tête de la Fondation Carla Bruni-Sarkozy, elle est plus que discrète et aucune enquête sérieuse n’a été faite à ce sujet. On ne sait pas, par exemple, que la fondation ne s’intéresse qu’à la culture et à la lutte contre l’illettrisme – et pas du tout à la lutte contre le sida, dont Carla Bruni-Sarkozy parle pourtant souvent.

C’est qu’elle est aussi, et officiellement, ambassadrice de la lutte contre le sida, nommée à ce titre, bénévolement, par les Nations Unies (au titre du Fonds mondial de lutte contre le sida, d’ONU-sida et de l’Unicef). Enfin, Carla Bruni-Sarkozy entretient tout un réseau d’amitiés, ce qu’on peut appeler le « petit monde de la villa Montmorency », la résidence ultra luxueuse du XVIème arrondissement de Paris, où se trouve son hôtel particulier dans lequel elle vit, durant la semaine, le plus souvent avec le président Sarkozy.

Au terme d’une enquête de plusieurs mois aux Nations Unies et dans plusieurs pays, Frédéric Martel révèle dans Marianne les dysfonctionnements et le mélange des genres auxquels aboutit l'action - et l'inaction - de Carla Bruni-Sarkozy dans sa fondation et son comportement en tant qu'ambassadrice de la lutte contre le sida.

En devenant philanthrope d’État en 2009, à la tête de sa fondation contre l’illettrisme et comme ambassadrice contre le sida, Carla Bruni-Sarkozy avait de bonnes intentions. Et semblait sincère, surtout en matière de lutte contre le sida (son frère aîné est mort de la maladie). Mais deux ans après sa création, sa fondation est dans l’impasse. Ses actions concrètes contre le sida sont rares. Pire, Carla Bruni-Sarkozy, révèle Marianne, est au centre d’un scandale international : 3,5 millions de dollars ont été versés par le Fonds mondial de lutte contre le sida, en marge de la légalité, et sans appel d’offre, à la demande de la première Dame, à plusieurs sociétés d’un de ses . Le musicien et chef d’entreprise Julien Civange est à la fois le principal conseiller de Carla Bruni-Sarkozy, il est officiellement dans l’organigramme de sa fondation et a un bureau à l’Élysée (où Marianne a pu joindre et être rappelé par sa secrétaire). Il fut le témoin de mariage de Carla Bruni-Sarkozy. (le coeur à gauche "hum" , les fesses à droite , mais ses vrais amours sont les musicaux !...sacré Carla ! lol)

Révélée au conseil d’administration du Fonds mondial à Accra, au Ghana, fin novembre 2011, cette affaire vient de coûter sa place à un ambassadeur français, le professeur Patrice Debré, qui vient d’être démissionné par Sarkozy. Le directeur général du Fonds mondial de lutte contre le sida, Michel Kazatchkine, vient d’être officiellement écarté aussi, à la demande d’Hillary Clinton même si sa démission réelle ne devrait intervenir que les 21 et 22 mai 2012 – soit après le deuxième tour des présidentielles. Nicolas Sarkozy est intervenu en ce sens, au plus haut niveau à Washington.

Marianne.fr

Chocacao a écrit :
"sarko devrait taxer nadine morano dès qu'elle
balance des conneries, cette nana est vraiment tres tres conne, à croire
qu'elle sert de chienne de garde pour nico, quand nadine morano se
targue d'appartenir au peuple, parlant de la cité ou elle à grandi, elle
a oublié de préciser qu'elle vivait à 800 m de cette cité ouvrière,
dixit un de ces voisins

la parité oui mais la bébilité non [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] "
En effet, tu as raison, je suis pour une taxe anti-con, on pourrait vite combler notre déficit rien qu'avec la poissonnière et le Douillet
sérieux, quand on pense que c'est nous qui payons grassement ces gens là .. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Le président de la République Nicolas Sarkozy voudrait accélérer le tempo des réformes à l’approche de l’élection de 2012, annonce Libération ce vendredi. En plus de la TVA sociale, le chef de l’Etat souhaiterait faire voter une loi de finances rectificative pour faire adopter une taxe sur les transactions financières, dite taxe Tobin.

Un empressement présidentiel pourtant semé d’embûches. Première difficulté: les travaux parlementaires à l’Assemblée nationale et au Sénat sont suspendus pour cause de campagnes électorales le 22 février prochain. Un temps court, avec un Sénat passé à gauche, désormais capable de retoquer les projets votés à l’Assemblée nationale.
La France pourrait «montrer l'exemple»

Deuxième difficulté: l’impopularité potentielle de l’idée de «TVA sociale», visant à transférer la charge de la protection sociale des entreprises sur les consommateurs, faisant ainsi augmenter de plusieurs points la TVA. En 2007, l’idée avait été évoquée puis abandonnée durant les législatives devant les réticences des électeurs.

Quant à la taxe Tobin, le monde de la finance s’y oppose catégoriquement depuis plusieurs années. Ce qui ne semble pas effrayer le chef de l’Etat qui «partirait seul» sur la question, laissant même la chancelière allemande, Angela Merkel, «sur le quai», rapporte Libération.

Un volontarisme présidentiel qui a été confirmé ce vendredi matin par le conseiller spécial du Président, Henri Guaino, déclarant sur BFM-TV qu’une décision sur la TVA sociale serait prise «avant la fin du mois de janvier», ajoutant que la France pourrait ici «montrer l'exemple». Confirmation également par François Baroin à Bercy l’après-midi, qui a déclaré que cette taxe «verra le jour cette année».
«Une mystification politique intégrale»

Au risque de donner l’impression d’agir dans la précipitation? Non, répond le député UMP de Paris Bernard Debré. «Il n’y a pas d’activisme. Le Président veut aller travailler jusqu’au bout de son mandat, et, alors que le pays traverse une grave crise.»

L’élu argue que l’approche de la suspension parlementaire ne changera rien. «Une session extraordinaire peut être convoquée. Si la volonté politique est là, une loi peut être adoptée en 8, 10 jours. Et de conclure: «Si l’on stoppe le navire, on coule.»

Un empressement de l’Elysée fustigé par le député PS Jérôme Cahuzac: «Avec cette taxe, le président de la République veut donner l’impression qu’il a compris les problèmes des Français et souhaite les résoudre. C’est une mystification politique intégrale, car cette taxe menace réellement la consommation, alors que le pays est en récession.»

20 Minutes.fr

"Populaire, ça ne veut pas dire vulgaire !". Qu'on se le dise, la ministre de l'Apprentissage ne se laissera pas faire. Les humoristes qui chercheront à l'affubler du terrible qualificatif en seront pour leurs frais. "Je ne me laisserai jamais insulter" dit-elle au Parisien, car "en me traitant de vulgaire, Sofia Aram insulte ma famille et les électeurs, puisque je suis élu de la République".

Pourtant, celle qui avait sermonné l'humoriste en lui disant "je ne vous qualifierai pas de vulgaire car je ne vous connais pas" ne se gênait nullement quelques heures après pour remercier sur Twitter "toutes les personnes qui (lui ont) adressé des mails, des messages et des appels pour dénoncer la vulgarité de l'humoriste".

Sur le même réseau social, Nadine Morano s'autorisait également à remercier Philippe Val, le patron de France Inter, "pour son appel, sa gentillesse, et ses excuses face à la vulgarité de l'humoriste". Sauf que ce dernier a démenti s'être excusé et a fait préciser qu'il n'avait appelé la Ministre que "pour apaiser les choses" !

Le soir-même sur France 5, le lendemain matin au micro de Jean-Jacques Bourdin sur BFM-RMC, Nadine Morano en remettait une couche.

Et comme si cela ne commençait pas à bien faire, là voilà qui (ré)enfonce le clou ce matin dans une pleine page de Libération sur le mode "on cherche à m'atteindre par mes origines populaires dont je suis fière".

Pourquoi s'évertue-t-elle à confondre son origine sociale et sa manière, très personnelle, de se comporter ?

En décembre déjà, via Twitter, la ministre de l'Apprentissage, fâchée avec sa marionnette, avait proposé un déjeuner à l'équipe des Guignols de l'info de Canal . "IIs verront que ce n'est pas parce qu'on a grandi dans une cité et qu'on vient d'une famille d'ouvriers qu'on est moins classe!" avait-elle écrit.

Manifestement, Madame Morano ne souffre pas que d'un "vulgaire" complexe.

Aussi, pour au moins libérer les médias de cette blessure narcissique majeure, tentons donc une médiation entre Sofia Aram et Madame la Ministre, en leur proposant de remplacer "vulgaire" par "particulièrement inélégante".

Ce serait un excellent compromis pour Nadine Morano !

JOURNAL DE LA PRÉSIDENTIELLE - Qui a dit quoi ce jeudi? «20 Minutes» fait le point...

Chaque jour, dans le cadre de la campagne présidentielle, retrouvez, sur 20 Minutes,
l’actualité des hommes et femmes politiques qui vont faire l’élection.
Annonces, déclarations, bons mots ou même propositions, vous ne raterez
rien de ce qui se passe dans le microcosme politique en suivant le
journal de la présidentielle….

Vendredi 6 janvier J-107

Arnaud Dassier rejoint Bayrou après «une révélation»
Il a claqué la porte de l’UMP après un problème sur les investitures
pour les legislatives. Et il s’est trouvé un nouveau candidat à
soutenir: François Bayrou. «J’ai eu une révélation en regardant son
émission (ndlr: Des paroles et des actes) sur France2», [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
«Il avait des prises de position courageuses, notamment sur la question
fondamentale de la dette, puisque c’est quand même le symptôme
principal de la crise politique, économique, que nous connaissons
aujourd’hui», développe-t-il. Celui qui a mené la campagne web de
Sarkozy en 2007, «pilier de la Galaxie libérale» l’assure: «Ça va de
moins en moins surprendre, les libéraux sont en train de rejoindre
François Bayrou. C’est un mouvement de fond». Arnaud Dassier explique
qu’il s’occupera de la stratégie sur Internet, mais tentera aussi de
mobiliser la génération des 30-40 ans autour du centriste. Toutefois,
Arnaud Dassier ne rejoint pas le MoDem. «Je n’appartiens pas à cette
famille politique centriste, je suis un libéral. Nous allons chercher à
réorganiser la famille politique libérale dans le creuset de cette année
politique 2012, de manière à ce qu’elle constitue un pôle fort dans la
majorité présidentielle de François Bayrou».

Le récapitulatif de la semaine en vidéo par le PS
Le "mot à mot": le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien],
semaine par semaine, de la campagne présidentielle de 2012. Au menu de
cette nouvelle série: des mots, une petite histoire, et une belle
occasion pour critiquer l'UMP, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], ou encore Dominique de Villepin.

Hollande menacé de mort
Le candidat socialiste a fait l’objet de menaces de mort par téléphone,
mercredi, juste avant son meeting à Mérignac (Gironde), selon des
sources proches de l’enquête. Une enquête est en cours pour identifier
l'auteur du coup de fil, a-t-on appris de même source, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].
Selon les enquêteurs, le centre opérationnel de la région de Bordeaux
répondant aux appels du «17» a reçu un appel menaçant mercredi
après-midi, quelques heures avant une réunion publique de François
Hollande à Mérignac (Gironde). Une voix masculine a déclaré en
substance: «M. Hollande est en danger ce soir lors du meeting».

Aubry et Hollande main dans la main?
De la friture sur la ligne entre [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
et François Hollande? Pas du tout! Les deux-ex rivaux devraient
s’afficher ensemble la semaine prochaine pour l’inauguration du QG de
campagne de François Hollande, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Ce sera le même type de scène qu’au soir du second tour des primaires
socialistes, rue de Solferino, «mais en plus joyeux», jure l’un des
organisateurs à la radio.

Vincent Peillon ne croit pas Nicolas Sarkozy
«Je me souviens d'un colloque avec [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] – c'était en 2000 je crois – où il s'était moqué de moi en disant: ‘la taxe Tobin, elle est infaisable’». C’est [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
qui a raconté cette anecdote vendredi matin sur le plateau de LCI. Le
conseiller éducation de François Hollande ne croit pas une minute que [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
mettra en place la taxe Tobin. «Il n'y a pas de conviction derrière
cela. Il a été le plus libéral. La taxe Tobin dans un seul pays après
avoir déréglementé tout le temps, ça va donner quoi?», demande-t-il.
Toutefois, «s'il la fait, je la soutiendrai», a-t-il déclaré.

Eva Joly s’explique sur son «front du refus»
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien],
François Bayrou et elle-même en faveur de celui ou celle qui arriverait
au second tour. Une proposition qui n’a reçu aucune réponse positive.
Mais l’écologiste n’abandonne pas. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
au pouvoir en France», a dit l'eurodéputée sur France 2, disant «penser
qu'il était possible de se mettre d'accord sur ce que nous ne voulons
plus et essayer de construire quelque chose ensemble». «Je note que
Jean-Luc Mélenchon et François Bayrou préfèrent rester sur leurs
positions acquises», a-t-elle souligné. «C'est plus confortable» car
«comme ça, rien ne change». Mais «moi, je veux le changement»,

On se dispute toujours l’héritage de Jeanne d’Arc
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]et
samedi, le FN se rassemblera devant la statue de Paris. Louis Alliot,
le n°2 du FN, a jugé que «Jeanne d'Arc est le symbole de la liberté et
de la résistance à l'oppression. Elle est un symbole actuel, contraire à
toute la politique de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
depuis cinq ans», a jugé Louis Alliot, le n°2 du FN. «Le Front national
a initié ce culte politique et le fait que le président le reprenne
aujourd'hui, c'est quelque chose de bien. Mais il n'est pas le premier,
François Mitterrand l'avait fait aussi», a-t-il rappelé.

Jeanne d’Arc toujours…
Pour Harlem Désir, le n°2 du PS, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
sont «sans doute les moins bien placés» pour rendre hommage à Jeanne
d'Arc, puisqu'ils «passent leur temps à diviser les Français». Sur LCI,
il a ajouté que la pucelle d’Orléans «n’appartient à personne en
particulier, elle est à tous les Français». Au PS, pourtant, on ne
revendique pas son héritage, François Hollande n’a pas souhaité
s’exprimer sur le sujet.

Le Pen a «des jambes plus longues» que Sarkozy
«Jeanne d'Arc appartient à tous les Français, ça c'est une première chose mais je vois bien que [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] court après moi», a expliqué [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien],
jeudi soir au JT de France 2. «Il faut qu'il sache que j'ai des
convictions plus fortes, que j'ai un cœur plus pur et que j'ai des
jambes plus longues et par conséquent il va avoir beaucoup de mal, je
crois, à me rattraper», a commenté la présidente du FN.

Boutin précise sa «bombe atomique»
La baudruche se dégonfle… [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
si elle n’obtenait pas ses 500 signatures, la candidate chrétienne
démocrate a baissé d’un ton jeudi soir sur Canal+. «Il ne s’agit pas
d’un dossier puant», a-t-elle dit, ajoutant: «Ce n’est pas du tout mon
genre, mais il peut y avoir différentes formes de bombes atomiques.» En
fait, «si la droite assume le déni de démocratie», alors elle pourrait
soutenir François Bayrou. «C’est possible», a-t-elle insisté. Pas sûr
que la menace terrorise l’Elysée.

jeanne d'arc, d'après des historiens de renom, aurait été un homme et sur le bucher une prostituée aurait pris sa place, et l'histoire des voix etc serait une histoire montée de toutes pièces par le roi et sa cour pour lui donner toute légitimité

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

on nous aurait trompé [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] et jeanne d'arc aurait été le 1er drag queen de l'époque [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] o mi gode [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Nadine Morano se défend d’avoir fait "virer" une employée d’un grand magasin de Nancy.

Nadine Morano donne une toute autre version de l'affaire révélée par Rue 89. Une affaire qui a débouché sur le licenciement d'une vendeuse du Printemps de Nancy (Meurthe-et-Moselle).

Rappelons les faits : Le 9 avril, Nadine Morano en compagnie de sa fille et escortée par un garde du corps fait des achats dans le magasin du Printemps.

Les employés du magasin, amusés par la présence du costaud garde du corps auprès d'elle, plaisantent entre eux. Un employé, collègue d'Albane responsable du stand Kookaï et victime de la suite de cette affaire, lui affirme qu'il est capable de rivaliser avec lui. Cette dernière lui rétorque qu'avant d'attaquer le garde du corps, il fallait d'abord casser la gueule à madame Morano.

Malheureusement pour elle, la ministre de l'Apprentissage et de la Formation professionnelle a l'oreille fine et elle entend juste la fin de la phrase ".........casser la gueule à Mme Morano".

Cette dernière, dont tout le monde connaît le caractère réactif, s'est énervée et a rétorqué " Allez-y si vous voulez me casser la gueule, je vous en prie, je suis là!"

La jeune femme s'est excusée, et cela a été confirmé pas deux témoins. Mais peine perdue Nadine Morano a demandé à voir un responsable. Puis estimant sûrement que ce n'était pas suffisant, elle a réclamé les coordonnées du directeur du Printemps, qui était absent ce jour-là. Pour finir elle a donné sa carte du ministère en prévenant qu'il y aurait des suites à cette affaire.

Résultat un licenciement pour faute grave, pour la vendeuse Albane. Cette dernière a un enfant, et des traites à payer, et grâce à la ministre elle est aujourd'hui au chômage et très inquiète sur ses possibilités de retrouver un autre emploi.

Ce matin sur France Info, Nadine Morano a démenti formellement être responsable du licenciement de cette vendeuse. Elle reconnaît avoir fait venir la direction, et demandé des excuses de la part de la vendeuse, mais elle nie avoir fait pression sur le direction du magasin et dit que les faits en sont restés là.

Il faut noter qu'elle donne, lors de cet interview, une version de l'affaire qui est très différente de celle d'Albane, elle affirme que la vendeuse a hurlé à la cantonade "Y’a Nadine Morano dans le magasin, si quelqu’un veut aller lui casser la gueule…", ce qui l'a profondément choquée.

Par ailleurs, elle a encore déclaré qu'elle se réservait le droit d'attaquer Rue 89 en diffamation pour leur article. Le fera-t-elle?

Albane, la jeune femme licienciée affirme, de son côté, avoir saisi les Prud'hommes pour contester son licenciement, car selon sa déléguée syndicale c'est une décision de la direction démesurée en regard des faits

Sugar-B a écrit:

Exclusif : Carla Bruni au coeur d'un scandale international

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Lorsqu'on entend parler de la Fondation Carla Bruni-Sarkozy, c'est surtout au sujet de sa fondatrice, mais qu'en est-il de ses activités ? Marianne publie cette semaine une grande enquête de Frédéric Martel : à y voir de plus près, l'action de la première Dame de France soulève quelques questions et prend même des allures de scandale international...

Si l'on connaît bien Carla Bruni, une marie couche toi là oui

entre elle qui est malhonnête et la dame chirac et son douillet qui perçoivent des honoraires scandaleux pour les pièces jaunes, ca me dégoute vraiment

au moins dame mitterand etait honnête et vraiment bénevole pour France Liberté, qu'elle repose en paix