Sugar-B a écrit:

Exclusif : Carla Bruni au coeur d'un scandale international

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Lorsqu'on entend parler de la Fondation Carla Bruni-Sarkozy, c'est surtout au sujet de sa fondatrice, mais qu'en est-il de ses activités ? Marianne publie cette semaine une grande enquête de Frédéric Martel : à y voir de plus près, l'action de la première Dame de France soulève quelques questions et prend même des allures de scandale international...

Si l'on connaît bien Carla Bruni, une marie couche toi là oui

entre elle qui est malhonnête et la dame chirac et son douillet qui perçoivent des honoraires scandaleux pour les pièces jaunes, ca me dégoute vraiment

au moins dame mitterand etait honnête et vraiment bénevole pour France Liberté, qu'elle repose en paix

Psycho99 a écrit:

En effet, tu as raison, je suis pour une taxe anti-con, on pourrait vite combler notre déficit rien qu'avec la poissonnière et le Douillet
sérieux, quand on pense que c'est nous qui payons grassement ces gens là .. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

et oui les couillons paient et eux se tapent la cloche

1789 la révolution française, les droits de l'homme, le peuple est souverrain, et surtout abolitions des privilèges, laissez moi rire, la noblesse comme la grande bourgeoisie , n'ont jamais eu autant de privilèges, prenez toutes ces politiques, issus pour la plus part de familles riches, ou portant nom à particule, ou mieux encore de truands et de coquins qui ont été jugés et condamnés et qui occupent des postes importants dans la politique, alors qu'à l'école en instruction civique , on nous apprenait qu'il fallait avoir un casier judiciaire vierge pour se présenter à toutes élections en france ou j'ai du rêver

elle est belle la france, surtout pour ces nantis qui mangent sur notre dos

la dernière en date de nadine morano la givrée

Le mépris antiouvriers de Nadine Morano et de ses soutiens [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Romain Blachier - Tribune | Vendredi 6 Janvier 2012 à 18:01






L'omniprésence de Nadine Morano sur tous les écrans, de télévision comme sur les smartphones, via Twitter et sa ligne de défense, ne doit rien au hasard de la part de cette diplômée et ancienne cadre en métiers de la communication. Selon Romain Blachier, elle démontre un véritable mépris des classes populaires.






[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image](Kevin Lim - Flickr - cc)


Il s'agit d'abord de faire oublier, par cette omniprésence et cette virulence médiatique, que le pouvoir d'achat est en baisse, le président pris dans[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], le chômage plus élevé que chez nos partenaires, nos importations plus hautes que nos exportations, etc. Ah, il faut aussi faire oublier que [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].

Il y a aussi comme objectif pour Morano, dans la perspective de l'équipe de campagne du candidat Nicolas Sarkozy, de réussir à se placer à un poste important du dispositif, à l'heure où son image, très dégradée, pourrait la voir rester sur le banc de touche.

Certes au milieu, la ministre y laisse des plumes, se ridiculisant[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] hier sur RMC/BFMTV, ou en surréagissant volontairement à une fausse rumeur au sujet d'un propos du candidat socialiste. Ou balançant çà et là [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].

Mais n'est d'ailleurs pas un hasard si la ministre s'exprime de plus en plus souvent sur ce réseau social : Twitter favorise le clash, la simplification, le temps rapide. Et puis surtout ce média social a une image de lieu virtuel pour happy few branchés. Facile à ce moment la en cas de conflit de prétendre qu'on y est une incomprise face à une méchante « élite ». Même si on trouve un peu de tout sur le réseau à l'oiseau bleu, gauche comme droite modérée sont souvent critiques vis-à-vis des méthodes de polémique permanente de la ministre.

C'est d'ailleurs ce qui est précisément recherché par Morano un peu partout. C'est sa ligne de défense, développée par exemple[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] celle de prétendre être une fille du peuple victime de snobisme par la méchante gauche qui serait composée uniquement de « méchants-geeks-bobos-coupés-du-peuple ».

C'est aussi, toute réaction entrainant une contre-réaction, la ligne prévisible de ses défenseurs, dont certains dérapent carrément[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Cette vague est même, tout n'étant pas le fruit du hasard, en bonne partie [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour certains d'entre eux. Les critiques de Morano seraient le fait d'une bande d'affreux bobos gauchistes qui ne supporteraient[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].

On s'amusera en regardant que nombre de ses défenseurs qui parlent ainsi au nom des milieux populaires en sont fort éloignés. On se désolera surtout du mépris pour les ouvriers dont ils font preuve de même que la ministre qu'ils défendent.

En premier lieu, même si ses parents l'étaient, Morano n'est pas ouvrière. Elle est titulaire d'un très classe moyenne/classe sup DESS d'information, communication et organisation des entreprises. Depuis elle a toujours été salariée de la politique, occupant des postes à responsabilité, par exemple comme directrice de la communication du parc naturel de Lorraine. Et depuis une grosse dizaine d'années elle est députée puis ministre, gagnant à chaque fois une dizaine de smics par mois.

On est loin de l'image que cherche à se construire Nadine Morano. Et on ne peut prôner la méritocratie tout en cherchant à ne se résumer qu'à sa seule naissance...

Et puis quel est ce terrible mépris des ouvriers dont font preuve la ministre [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], qui aiment les plus démunis surtout quand ils sont loin d'eux ? Dans la tête de Nadine Morano, classe populaire voudrait dire [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], excès, erreurs dans ses dossiers ? Ouvrier voudrait dire fanatique, agressif, haineux ?

On ne sache pas que Phillipe Séguin, Gérard Collomb, Henri Guaino, Aurélie Filippetti, tous enfants de la classe ouvrière, aient le même comportement que Nadine Morano. On ne sache pas non plus que les travailleurs manuels de ce pays, qui sont parmi les plus productifs au monde, se trompent aussi souvent que le fait la ministre dans ses déclarations et actes.

Que l'on puisse considérer qu'être né d'un milieu peu aisé vous marque à vie, quels que soient vos études et votre parcours, d'accord. Mais un comportement vulgaire et une rare incompétence sur vos dossiers démontrent une scandaleuse vision élitiste, un mépris de classe et une attitude qui abaisse volontairement, par pure tactique, le niveau du débat politique. Un tel mépris de la part de Nadine Morano n'est pas sans rappeler la noblesse d'ancien régime qui prenait le peuple pour des gueux incultes.

Il y a quelques semaines, l'UMP a commandé une étude d'opinion qui associait les candidats à un héros de cinéma. Selon le résultat de ce sondage, Sarko est censé ressembler à Jack Bauer, le héros de la série « 24 heures chrono ». Tandis que François Hollande ferait plus penser à Bourvil dans « Le Corniaud ».

Vu que Bauer est un impulsif qui tire une balle dans la tête de tous ceux qui se mettent en travers de son chemin, ça ne donne pas forcément envie de voter pour lui. Cela dit, c'est vrai que notre président n'est pas du genre à se dégonfler. Quand ça tourne mal, il est même prêt à risquer sa peau pour sauver des enfants pris en otage dans une maternelle. Le problème, c'est que Jack Bauer ne sera jamais élu Président de la République. Impossible, car il est Américain.

Mieux vaudrait trouver une ressemblance avec un acteur français. Alors si François Hollande fait penser à Bourvil, à qui fait penser Nicolas Sarkozy ?

Demandez à Angela Merkel ! Il paraît que pour l'aider à comprendre la psychologie de notre président, son mari lui a offert des DVD de Louis de Funès. Kolossale plaisanterie ! Si Hollande c'est Bourvil, et que Sarkozy c'est de Funès, forcément, les présidentielles, ça devient "La Grande Vadrouille". Les Allemands battent la mesure tandis que les petits Français tentent de suivre le rythme en sautillant sur leur chaise.

Alors, lequel choisir ? Bourvil ou de Funès ? Le problème c'est que l'un ne va pas sans l'autre. Avec sa bonne tête de nigaud, Bourvil a l'air sympa. Mais sans de Funès, on s'ennuierait. Dans le film, chacun représente à sa manière les petits travers du peuple français. Bourvil pète de trouille à l'idée d'avoir des problèmes avec les Allemands, tandis que Louis de Funès vendrait père et mère au marché noir pour son confort. Bref, c'est l'histoire d'un lâche et d'un salaud.

Mais quand le film est sorti, en 1966, De Gaulle était revenu au pouvoir. Du coup, ce sont 17 millions de résistants qui sont morts de rire en allant voir "La Grande Vadrouille" au cinéma. C'est le complexe français, celui qui hante encore notre inconscient. Qu'est-ce j'aurais fait pendant la guerre ? Desproges à écrit un texte très drôle sur le sujet. Mais le coup de lire du Guy Môquet à tous les petits Français, faut reconnaître que c'est aussi très marrant...

Quant à Bourvil et de Funès, André et Louis sont morts, mais on les voit partout. La séquence du "Corniaud" quand la Rolls de de Funès défonce la 2 CV de Bourvil a encore servi récemment dans une pub pour les assurances. C'est tordant. Quand de Funès s'approche de la 2 CV qu'il vient de ruiner, il a une manière de s'exclamer : « Qu'est-ce qu'il y a !? »... On dirait vraiment Sarkozy quand il doit se justifier sur son bilan.

Est-ce que les films du siècle passé peuvent encore servir de référence pour faire le portrait des Français d'aujourd'hui ? Faut croire que oui. TF1 a diffusé "La Grande Vadrouille" le 1er janvier de cette année, et 9 millions de téléspectateurs étaient devant leur télé. Comme quoi, Bourvil et de Funès sont encore très proches de nous. Mais lequel choisir ?

Blako.blog

Jean-Marie Le Pen a voulu samedi reconquérir le symbole national disputé par Nicolas Sarkozy.

Vendredi à Domrémy, Nicolas Sarkozy a célébré le 600e anniversaire de Jeanne d’Arc, dans le village natal de "La Pucelle d’Orléans". Ce symbole national avait été préempté depuis longtemps par le Front national qui en avait fait son égérie, notamment lors de son rendez-vous traditionnel du 1er-Mai. Alors, vexé par l’initiative présidentielle, le Front national avait organisé un rassemblement samedi devant la statue de Jeanne d’Arc, place des Pyramides à Paris.

Et la riposte avait été confiée à Jean-Marie Le Pen. Et si la manifestation, forte d’une grosse centaine de militants, n’avait rien à voir avec le grand rassemblement du printemps, l’ancien président du FN n’en a pas moins répliqué avec fermeté à la phrase de Nicolas Sarkozy selon laquelle il ne faut "pas laisser cette figure historique entre les mains de ceux qui veulent s’en servir pour diviser."

Accusations d’électoralisme

"Nous n’acceptons pas en tous cas les procès d’intention directs ou indirects faits au Front national d’avoir accaparé l’image de Jeanne d’Arc", a lancé Jean-Marie Le Pen sous une pluie fine. "Certes, Jeanne d’Arc n’apparient, comme dit l’autre, à aucun parti, aucun groupe, aucun clan. Elle appartient, comme nous l’avons toujours dit, à la France et aux Français. Et le président de la République serait plus crédible dans son discours s’il n’avait marqué son estime à Jeanne que dans la période électorale présente."

Ces accusations d’électoralisme ont bien évidemment été saluées par les militants. De son côté, Marine Le Pen, la candidate à la présidentielle, n’a pas fait de discours. Elle s’est contentée de déposer une gerbe au pied de la statue et de souligner que l’initiative de l’Elysée manquait de cœur. Car si le FN est ravi que Jeanne d’Arc fasse irruption dans le jeu politique, ses leaders estiment que cette chef de guerre, comme ils l’appellent, n’a rien de commun avec un Nicolas Sarkozy qu’ils accusent tout simplement de brader la souveraineté de la France.



Source => SFR avec Europe 1

quand je pense qu'ils se disputent une schizophrène moi aussi je suis pliée de rire !

Faut-il mieux rémunérer les postes des politiques pour attirer les cerveaux ?


Si les propos de Jean François Copé (démentis par l'intéressé) vous ont fait réagir, voire rugir, ils ont le mérite, même involontairement, de poser une question et de provoquer le débat : faut-il mieux rémunérer les postes des politiques : députés, ministres, présidents, maires etc. ?

Deux visions peuvent s'opposer :
- Une vision idéaliste, qui considérerait que la politique doit être une vocation, une passion, qui mérite certes rémunération tant qu'elle reste secondaire. Deux raisons : parce que la politique doit être réservée à ceux qui veulent aider leur prochains, mais aussi parce qu'une rémunération "modérée" permettrait aux politiques de ne pas se couper des réalités du peuple qu'ils administrent.

- Une vision pragmatique, qui considérerait que les postes des politiques doivent être suffisamment bien rémunérés. Une raison : attirer les cerveaux (qui ne seraient donc pas des "minables") et faire concurrence aux salaires proposés par les grandes entreprises, les grands cabinets etc. Une vision également justifiable dans un contexte de crise économique où les problèmes sont de plus en plus techniques et font appel à des spécialistes.

Quelle que soit votre réponse, la rédaction vous invite à l'argumenter dans les commentaires.

Rappel des faits
"Tu comprends, si on n'a ici que des gens qui se contentent de 5.000 euros par mois, on n'aura que des minables". C'est ce que Jean-François Copé (secrétaire général de l'UMP et maire de Meaux, en Seine-et-Marne), aurait dit à propos des parlementaires qui ne cumulent pas de mandats, lors d'une discussion avec un autre député de la majorité.

Le Post.fr

l'argent est le nerf de la guerre, les politiques Sarkozy, kouchner, Jean Francois Copé, Jack Lang, Pierre Lelouche, Corine Lepage, Laurent Fabius, Roger Karoutchi, Francois Hollande, Bertrand Delanoé, Daniel Cohen Bendit, julien Dray, Marie George Buffet, Dominique Strauss-Khann, Jacques Attali, Simone Veil, Patrick Balkany, Jean Louis Debré, Martin Hirsch, Pierre Moscovici, Luc Ferry, Jean Luc Melanchon, Dominique Perben... adorent le pognon, c'est normal [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

La campagne présidentielle est définitivement lancée. Qu'importe que la route soit longue pour obtenir les 500 parrainages, les personnalités de tous bords se mettent en piste avec l'ambition de changer la France. Entourage, projets, déplacements, petites phrases… découvrez ci-dessous leur actualité à chacun(e).

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il est chouette ce copé hein

chocacao a écrit:

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il est chouette ce copé hein

Ce "cher" Copé tu veux dire ?

lorsqu'en france on ose dire qu'il existe un lobby juif, cela soulève immédiatement un tollé, on crie au meurtre, à l'outrage, au racisme, à l'antisémitisme, on voit toute cette diaspora judéo-bienpensante se soulever, alors que pour la plus part d'entre eux ils n'ont cure de l'état d'israel et du conflit israélo-palestinien, mais le pire c'est que c'est vrai, le lobby juif en france est une réalité, un constat, on ne peut que le voir partout, que ce soit dans les banques, la finance internationale, la politique, la médecine, la magistrature, le journalisme, la radio, l'audiovisuel, les artistes, tous les postes importants sont occupés par une énorme majorité de confession juive, étrange dans un pays ou la religion catholique est majoritaire. si le piston existe, il est de mise chez eux, pour cela on ne peut leur reprocher, l'entraide est chose sacrée chez les juifs alors que chez les catholiques, cela s'appelle la charité, et le proverbe dit bien, aide toi, le ciel t'aidera.

j'espère que vous n'y verrez aucun antisémitisme de ma part, juste une profonde déception pour les non juifs, les athées, les musulmans français, les blacks, et les asiatiques qui malgré leurs diplômes et leurs envies de bosser sont sur les bancs du pôle emploi, 1789 séparation de l'église et de l'état, nos ancêtres avaient omis de séparer toutes les églises.

quelques exemples parmi les gens les plus connus en france

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paru ce mois ci un livre édifiant et criant de vérité

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Présentation de l'éditeur

Ils monopolisent les postes les plus importants, cumulent les privilèges et font de l'argent leur principale passion. Ils se servent de l'Etat pour aider leurs amis, fabriquent des lois sur mesure pour leur bon plaisir et laissent le pays aux mains de bandes rivales. Patrons, hauts fonctionnaires, élus ou experts, ces oligarques nous gouvernent avec un mélange d'incompétence et de lâcheté. Sophie Coignard, co-auteur de L'Omertà française, dont les enquêtes font trembler le monde politique, et Romain Gubert, journaliste au Point, nous révèlent vingt ans de compromissions et d'affaires cachées qui ont permis à une caste de maintenir son règne malgré ses échecs répétés. En toute impunité.

Punaise rien qu'a voir la tête des candidats c'est effrayant..
C'est bientot l'heure de se rendre aux bureaux de votes,d’aller défendre ses opinions...^^ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

un jour un ami s'adressant à une dame bien comme il faut, lui demanda, pour qui votait on madame ? il prit une gifle mémorable [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] la langue française est souvent étrange

Un forfait tout illimité à 19,99 euros par mois, Free Mobile ça vous dit ?

Le nouvel opérateur mobile a dévoilé son offre mardi.
Avec un peu de retard, la conférence de presse commence par un petit film. En détournant de vieilles images surannées, sur le modèle du légendaire Grand Détournement, Free se moque de la concurrence.

"vous allez être pris pour des pigeons encore quelques minutes"

Puis arrive Xavier Niel, chemise blanche, jean noir, micro accroché à l'oreille. Sur l'écran derrière lui, le lancement d'une fusée. Le confondateur d'Iliad, maison-mère de Free, attaque fort. S'adressant à l'audience, il annonce : "vous allez être pris pour des pigeons encore quelques minutes, moi ça va je suis déjà passé sur Free Mobile".

Puis c'est une attaque frontale aux autres opérateurs que lance le patron de Free. "On va vous proposer des offres sans engagements, et comme nous savons que nous allons vous proposer les meilleures, on n'a pas peur que vous quittiez Free."

Regardez la présentation de Xavier Niel :




[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] par [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

"La régle du marché ça doit être illimité, ça va le devenir". C'est ainsi que Xavier Niel annonce un forfait mobile à 19,99 euros, complétement illimité selon lui. "On rend du pouvoir d'achat à tous les Français, et l'on souhaite que nos concurrents viennent s'aligner sur nous. (...) Si votre facture est supérieure à 19,99 euros, vous êtes des pigeons", lance-t-il. Les appels nationaux et vers les mobiles de 40 destinations internationales seront illimités, ainsi que les SMS et MMS, l'Internet mobile sera limité à 3 gigas, "pas 500 mégas comme les autres", le tout sans engagement.

iPhone 4S à 1 euro

Xavier Niel annonce ensuite avoir signé un accord avec Apple et que Free proposera des iPhone 4S à un euro. Les téléphones achetés chez Free seront payables sur 12, 24 ou 36 mois, sans frais, a-t-il-dit.

Selon Univers Freebox, au moins huit smartphones seront proposés : Samsung Galaxy Y, Samsung Galaxy ACE, Samsung Galaxy S II, Blackberry Curve 9300, Huawei U8350, ZTE F160, ZTE Blade S, ainsi que l'Iphone 4S.

Toujours très offensif vis-à-vis de la concurrence, condamnée en 2005 pour entente illicite, Xavier Niel lâche : "On pense que vous avez été une vache à lait, vous devez désormais signifier à votre opérateur que vous avez compris ce qu'ils ont fait et que ça doit cesser. Vous pouvez venir chez nous ou vous pouvez rester chez eux et leur demander le forfait au prix que nous faisons. Nous vous laissons le choix des armes".

L'ARCEP (l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes) avait accordé l'utilisation d'une quatrième licence mobile à Free en décembre 2009.


*Xavier Niel, PDG de Free, est à titre personnel actionnaire du Monde, propriétaire du Post.


Sources : Free sur Dailymotion, Univers Freebox

Résilier son contrat de mobile : tout savoir sur les démarches et les prix

Lancée mardi en grande pompe par son fondateur Xavier Niel (*), l'offre mobile de Free fait des émules. Les forfaits sont a priori très avantageux, et la concurrence n'est pas en mesure de présenter pareille offre tarifaire.

Deux forfaits ont été mis en place :

- 60 min en voix, pas d'Internet mobile, 60 SMS pour 2 euros/mois
- Illimité en voix sur fixes et mobiles de 40 destinations, 3 Go de données en Internet mobile, SMS/MMS illimités pour 19,90 euros/mois.

Les abonnés Freebox pourront profiter gratuitement de la première offre, tandis que la seconde sera proposée à 15,99 euros.

Le tout, sans engagement de durée.

Plusieurs contributeurs du Post se sont alors demandés quelles étaient les démarches pour résilier son abonnement, avant de rejoindre le nouveau venu.

La rédaction se défend de tout favoritisme. Des réserves peuvent être posées concernant la qualité du réseau que personne n'a encore pu évaluer. De plus, note Le Parisien, les mobiles fournis ne sont pas subventionnés et nécessitent un engagement de 12, 24 ou 36 mois.

Avant de vous précipiter, voici la marche à suivre afin de résilier son forfait et surtout savoir combien cela peut vous coûter.

Comment rompre son contrat :

D'abord en envoyant une lettre de résiliation à votre opérateur, en recommandé et avec avis de réception. La loi Chatel de 2008 permet de quitter son opérateur téléphonique dès le 12e mois d'abonnement.

Le fournisseur a ensuite 10 jours pour accéder à votre demande. Cette durée peut être rallongée à votre convenance, comme le précise la loi.

Votre nouvel opérateur (Free, ou un autre), peut également le faire lui-même si vous lui fournissez votre relevé d'identité opérateur (RIO). Ce code s'obtient en composant le 3179 depuis votre mobile (appel gratuit, 24 h/24 et 7 j/7). Cette démarche vous assure de conserver le même numéro de téléphone.

Combien ça peut coûter ?

Plusieurs cas se présentent.

Si votre engagement de 12 mois se profile vers la fin, vous n'avez qu'à envoyer une demande de résiliation dans les temps et vous n'aurez bien sûr rien à payer.

Si votre engagement de 12 mois est encore en cours, vous devrez vous acquitter de tout ce qu'il vous reste à payer dans votre contrat. Il faut également ajouter 75 euros de frais, ainsi qu'une éventuelle indemnité de résiliation que votre opérateur a pu prévoir.

Exemple : si votre forfait vous coûte 50 euros par mois alors qu'il vous reste 5 mois d'engagement, cela vous sera facturé au minimum 50 euros X 5 mois + 75 euros = 325 euros.

Si votre abonnement est de 24 mois, mais que vous déjà accompli 12 mois de fidélité, la loi Chatel vous offre une bonne opportunité. Vous pouvez vous acquitter de 25% de ce qu'il vous reste à payer à l'opérateur jusqu'à la fin de votre contrat.

Exemple : si votre forfait vous coûte 50 euros par mois alors qu'il vous reste 12 mois d'engagement, cela vous sera facturé 25% de 50 euros X 12 mois = 150 euros.

Pense-bête : La loi Chatel oblige votre opérateur à vous prévenir au plus tard un mois avant la fin de votre engagement, afin de vous permettre de décider de le renouveler ou non. Auparavant la reconduction tacite vous fidélisait pour une nouvelle année supplémentaire, sans votre accord.

Le post.fr

Que proposent Orange, Bouygues et SFR pour contrer Free ?

Tel un Steve Jobs, Xavier Niel (*) a annoncé avec fracas les tarifs que Free Mobile pratiquera dès aujourd'hui à travers son offre de téléphonie. Les trois opérateurs avaient tenté de se préparer depuis les 6 derniers mois, mais sans grande réussite.

Que ce soit sur le tarif, l'Internet mobile, ou la voix, Free arrive loin devant ses concurrents.

Orange

Le leader du marché avait d'ores et déjà anticipé l'arrivée de Free Mobile, en proposant dès septembre 2011 une offre low-cost. Baptisée Sosh (pour "Social"), elle est exclusivement distribuée sur Internet, afin de réduire au maximum les coûts de commercialisation. Les forfaits sont sans engagement, accessibles à partir de 19,90 euros par mois.

Trois forfaits ont été mis en place :

- 2h de voix, 500 Mo de données en Internet mobile, SMS/MMS illimités pour 19,99 euros/mois
- 5h de voix, 1 Go de données en Internet mobile, SMS/MMS illimités pour 29,99 euros/mois
- Illimité en voix, 1 Go de données en Internet mobile, SMS/MMS illimités pour 39,99 euros/mois

Points faibles par rapport à Free :

- Le prix
- Les appels ne concernent que ceux passés en France métropolitaine, alors que Free propose 40 destinations internationales en illimitées en fixe et mobile.
- Orange ne propose que 1 Go de données en Internet mobile, quand Free en offre 3 Go.

Au delà des plafonds 3G évoqués, l'accès data sera coupé : il faudra pour le réactiver acheter une option permettant de disposer de quelques centaines de Mo supplémentaires (100 Mo : 3 euros - 200 Mo : 6 euros - 500 Mo : 10 euros). Le consommateur est logiquement averti avant d'atteindre la fin de son "enveloppe" de données.

Bouygues Telecom

L'offre B&YOU a été présentée dès le mois de juillet 2011. Également proposée uniquement via Internet, c'est toujours dans le but de réduire un maximum les coûts. L'offre est plus agressive que son concurrent Orange, mais reste un peu légère concernant les gros consommateurs d'Internet mobile.

Deux forfaits ont été mis en place :

- Illimité en voix, pas d'Internet mobile, SMS/MMS illimités pour 24,90 euros/mois
- Illimité en voix, 500 Mo de données en Internet mobile, SMS/MMS illimités pour 36,90 euros/mois

Points faibles par rapport à Free :

- Le prix
- Les appels ne concernent que ceux passés en France métropolitaine, alors que Free propose 40 destinations internationales en illimitées en fixe et mobile.
- Bouygues ne propose que 500 Mo de données en Internet mobile, quand Free en offre 3 Go.

Au delà du plafond autorisé, il faudra s'acquitter d'un supplément de 0,05 euros par Mo consommé en plus.

SFR :

L'opérateur a été le dernier des "historiques" à se lancer dans la bataille du low-cost, avec Red. Plus complexe que les autres, cette offre est déclinée en quatre forfaits, en fonction desquels varient le temps de communication, le quota mais aussi, et c'est une première, le débit de l'accès à Internet.

Quatre forfaits ont été mis en place :

- Red SMS : 30 min en voix, pas d'Internet mobile, SMS/MMS illimités pour 12 euros/mois
- Red 3h : 3h en voix, pas d'Internet mobile, SMS/MMS illimités pour 19 euros/mois
- Red 8h : 8h en voix, 500 Mo de données en Internet mobile, SMS/MMS illimités pour 29 euros/mois
- Red 2 Go : 2h en voix, 2 Go de données en Internet mobile, SMS/MMS illimités pour 34 euros/mois

Points faibles par rapport à Free :

- Le prix
- Les appels ne concernent que ceux passés en France métropolitaine, alors que Free propose 40 destinations internationales en illimitées en fixe et mobile.
- SFR ne propose qu'un faible nombre de données en Internet mobile (rien, 500 Mo ou 2 Go avec moins de voix), quand Free en offre 3 Go avec la voix en illimitée.

Originalité de l'offre, le débit Internet est plus ou moins bridé en fonction du forfait. Ainsi, le forfait 8 h offre un débit maximal de 3,6 Mbps, moitié moins que le 2 Go qui offre jusqu'à 7,2 Mbps, encore inférieurs aux 14,4 Mbps qu'offrent les derniers relais et smartphones du marché.

Pour rappel, voici ce que propose Free Mobile :

Deux forfaits ont été mis en place : 60 min en voix, pas d'Internet mobile, 60 SMS pour 2 euros/mois Illimité en voix sur fixe et mobiles de 40 destinations, 3 Go de données en Internet mobile, SMS/MMS illimités pour 19,90 euros/mois

Les abonnés Freebox pourront profiter gratuitement de la première offre, tandis que la seconde sera proposée à 15,99 euros.

Le Post.fr

Le slogan de campagne de François Hollande : "Le changement, c'est maintenant"

"Le changement, c'est maintenant." Le slogan de campagne de François Hollande est maintenant validé et sera officialisé mercredi 11 janvier, à l'occasion de l'inauguration du quartier général au 59, avenue de Ségur (7e arrondissement).

Il avait déjà été utilisé ces dernières semaines, également lors de ses vœux de fin d'année.

C'est l'agence de communication BDDP & Fils qui a imaginé ce slogan, ainsi que les éléments graphiques de la campagne. Ils ont été validés par le trio gravitant autour du candidat : Pierre Moscovici, Stéphane Le Foll et Manuel Valls.

"L'idée, c'est que la volonté de changement, l'envie de changer de président passent par François Hollande", détaille au Monde Manuel Valls, responsable de la communication.


Sources : Le Monde

Dans la course populiste entre Guéant et Le Pen, qui gagnera la médaille d'or ?

Mais après qui court-il notre ministre de l'Intérieur, tout le monde le sait, c'est tellement évident que cela en devient indécent. Certes la régulation de l'immigration est nécessaire, mais pour autant faut-il se vanter du nombre d'expulsions comme un chasseur qui exhibe le cadavre ensanglanté du gibier qu'il vient de tuer.

Certes et à juste titre, les Français supportent encore moins la délinquance étrangère que les truands locaux, nos prisons lamentables et vétustes, indignes du pays des droits de l'homme sont pleines de gens pas de chez nous, en tout cas d'après M. Guéant. Faut-il pour autant devenir plus populiste que le FN pour récupérer ces quelques voix qui risquent de manquer au premier tour des élections.

Le problème de l'immigration est réel et s'est amplifié avec l'arrivée des Tunisiens que nous avons tant admiré lors du printemps arabe. Alors c'est vrai notre pays ne peut pas tous les accueillir, mais faut-il s'en réjouir et parader lorsqu'on renvoie 5000 malheureux chez eux. S'il faut le faire ne vaudrait-il pas mieux avoir la décence de se taire.

Cette croisade et le mot n'est pas trop fort, que mène la droite contre l'étranger, personne n'est dupe, est avant tout électoraliste. D'ailleurs M.Guéant demande au PS qui ose proposer l'hasardeuse idée de donner le droit de vote aux élections locales aux étrangers hors U.E, ses solutions pour lutter contre l'invasion. Nous voila encore une fois dans la surenchère, plus méchant que moi tu meurs.

Arriverons-nous un jour à suggérer de ne plus accorder un seul permis de séjour. Mais alors qui fera le sale boulot que les Français ne veulent pas faire et comment le patronnât recrutera cette main d'oeuvre de précaires si utile, si malléable et corvéable.

Pourquoi pas aussi des barbelés et des miradors à nos frontières passoires, vous y avez pensé M. Guéant ?

Sce Le Point.fr

Une vidéo de "zoo humain" avec des femmes tribales fait scandale en Inde- Regardez

Spoiler:

Une vidéo montrant des femmes issues d'une tribu primitive protégée en train de danser pour des touristes en échange de nourriture sur les îles Andaman (Inde) a provoqué la colère de militants et déclenché l'ouverture d'une enquête.

Le quotidien britannique The Observer a diffusé sur son site internet une vidéo prise par un touriste montrant des femmes de la tribu Jarawa, certaines nues, en train d'exécuter des danses après des pots-de-vin qui auraient été versés à un policier pour qu'elles se donnent en spectacle.

La vidéo, prise par un touriste, montre des femmes s'enquérant de la nourriture promise après quelques pas de danse accompagnée de chants.

Selon la loi indienne destinée à protéger les groupes tribaux de l'influence extérieure et des maladies, il est interdit de les photographier ou d'entrer en contact avec eux.

Le ministre indien des Affaires tribales, V. Kishore Chandra Deo, a promis de prendre des mesures après l'incident, qu'il a qualifié mercredi de "dégoûtant". Le ministère de l'Intérieur a pour sa part demandé un rapport.

Survival International, qui milite pour le droit des tribus dans le monde, a dénoncé la vidéo dans laquelle les touristes semblent apprécier "les zoos humains".

"Il est assez clair que l'attitude de certaines personnes envers les populations tribales n'a pas changé d'un iota. Les Jarawa ne sont pas des animaux de cirque que l'on fait danser sur commande", a commenté Stephen Corry, le directeur de l'organisation, cité dans un communiqué.

Un anthropologue indien, A. Justin, qui travaille sur les îles Andaman, a toutefois émis des doutes sur l'actualité de la scène.

"Avant le tsunami de 2004, les gens auraient pu les forcer à danser (...). Depuis le tsunami, une politique de grande autonomie avec un minimum d'intervention a été mise en place. Les choses se sont un peu améliorées, il y a un grand soin (apporté à la sécurité) maintenant", a-t-il assuré.

La police des îles Andaman a de son côté jugé que c'était un "vieil" enregistrement.

"La vidéo semble vieille de six ou sept ans, lorsque les Jarawa ne s'habillaient pas. Aujourd'hui, ils s'habillent en public", a relevé le directeur général de la police, Samsher Deol.

La police a ouvert une enquête pour connaître l'identité du vidéaste et de ceux qui ont payé et reçu le pot-de-vin.

En juin l'an dernier, Survival International avait accusé huit agences de voyage indiennes d'organiser des "safaris humains" pour que les touristes puissent photographier les Jarawa.

L'organisation avait appelé les touristes à ne pas emprunter la route utilisée pour entrer dans la réserve de cette tribu, qui compte 403 membres et est menacée d'extinction.

Les îles Andaman et Nicobar, perdues dans l'océan Indien, abritent quatre autres tribus dites "primitives, dont chacune compte moins de 350 membres.

C'est vrai que c'est pitoyable a voir,mais c'est la nature humaine qui est comme ça,en plus avec le phénomène de groupe ça n'arrange rien.
Au final on est tous des bêtes.. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] mais nous sommes brave nous...^^ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

chocacao a écrit:

un jour un ami s'adressant à une dame bien comme il faut, lui demanda, pour qui votait on madame ? il prit une gifle mémorable [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] la langue française est souvent étrange

Pour qui vos tétons madame...!!
Ben pour mon bébé lol

Citation :

lobby juif

Les juifs font du lobbying depuis toujours,c'est pas un mystère,il sont plus apparent que d'autre structure,mais il existe bien de relations plus ou moins tendancieuse entre eux et l'argent,le contrôle,le pouvoir,un peu a l'image de mécenes des francs maçon qu'ils sont..
Mais après on ne vas pas faire d'amalgame et ne pas les mettre tous dans le même sac..
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Actu-One a écrit:

Mais après on ne vas pas faire d'amalgame et ne pas les mettre tous dans le même sac..
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ou dans le même couscoussier [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] j'suis pas grosse , j'suis dilatée oui oui dilatée

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Le même jour, c'est Christian Etrosi qui déclarait, au micro de RFI que le Fouquet's est "une brasserie populaire des Champs-Elysées"

Le Post.fr

En visite à Lille pour les traditionnels voeux à la fonction publique, le président de la République a eu le droit à un accueil glacial de la part de la maire de la ville, Martine Aubry, note BFMTV. Objet de la discorde : les attaques contre François Hollande.

L'appel au respect

À la fin de son discours, Nicolas Sarkozy a appelé au "respect" entre la majorité et l'opposition.

Une suggestion que la maire de Lille a reprit à son avantage, lorsqu'elle a interpellé le président de la République au milieu de la foule : "Ce que vous avez dit, vos derniers mots, faites-les partager à M. Accoyer. Ce serait bien. Et si on pouvait arriver à faire monter le niveau de ce débat, la République et la France y gagneraient".

Une référence aux propos de Bernard Accoyer, qui estimait que les conséquences de l'élection de François Hollande seraient comparables à celles d'une guerre.

Voir la vidéo ci-dessous :


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Réponse du président : "Faites-le partager à François Hollande quand il parle de moi", une référence cette fois au "sale mec" lancé par le candidat socialiste. Ce qui n'a pas empêché Nicolas Sarkozy d'admettre que la déclaration du président de l'Assemblée Nationale (UMP) n'était pas du meilleur goût : "je partage d'ailleurs votre avis sur M. Accoyer", a-t-il ajouté.

"Il [François Hollande, NDLR] ne parle jamais de vous comme Mme Morano et M. Accoyer parlent de nous. En tout cas, moi j'y veille", rétorque Martine Aubry.

Le président se retourne, serre une main, et revient à la charge : "En tout cas, sachez que c'est sincère ce que je vous ai dit, voilà. Après, chacun fait ce qu'il veut."

"Faites-le partager, j'essaierai de le faire chez moi", répond la maire de Lille. "Mais je suis sûr que vous essaierez, j'en suis sûr... et sur Accoyer, je suis parfaitement d'accord", conclut Nicolas Sarkozy.




Sources : BFMTV