nan PAYYYYYYS BAS !!!!!

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allez tous pour l espagne

bonne finale aux accrocs [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Platini a fait un malaise ,il est en observation....

un jour peut-être se décideront-ils....

Si jamais il devait y en avoir une ce serait la cata,l'arbitre aurais intérêt a courir vite..dans certains pays ils se font même matraquer et lapider. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Sérieux avec l'usage de la vidéo,le gars prend 30 seconde pour revoir la scène avant de se décider et voilà..
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Actu-One a écrit:

La finale sera belle,les deux équipes mérite de gagner..
Ni pour l'un ou l'autre je serait content pour eux quoi qu'il arrive..^^
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en espérant qu'il n'y aura pas d'erreurs d'arbitrage......

16:06 - Foot - CM - Finale - Webb : «Pas de controverse»





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Howard Webb sait qu'il n'aura pas le droit à l'erreur dimanche. EQ) (EQ)



Dans une interview accordée à France Football, l'arbitre anglais Howard Webb, qui officiera dimanche (20h30) pour la finale de la Coupe du monde entre les Pays-Bas et l'Espagne, est revenu sur cette rencontre particulière, notamment puisqu'il a arbitré l'unique défaite de la Roja dans ce Mondial. «J'espère qu'il n'y aura pas de controverse, sinon j'en dormirais pas la nuit, a-t-il affirmé. J'adorerais que mes matches appartiennent à 100% aux joueurs et qu'il ne soit pas question de moi.»

Revenant sur la problématique des vuvuzelas, l'arbitre anglais a affirmé qu'il s'est préparé en conséquence mais que ces bruits sont dérangeants. «En entrant sur le terrain, le boucan est tel que nous ne nous entendons absolument pas. Mais quand nous faisions nos séances d'entraînement, la FIFA diffusait le bruit de vuvuzelas dans des haut-parleurs pour que nous nous y accoutumions.»

La finale sera belle,les deux équipes mérite de gagner..
Ni pour l'un ou l'autre je serait content pour eux quoi qu'il arrive..^^
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15:07 - Foot - CM - ESP - Pedro le talisman





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Pedro a rendu fous les défenseurs de l'Allemagne lors de la demi-finale (1-0). (REUT)



Décisif cette saison avec Barcelone, le jeune attaquant Pedro (23 ans) devrait fêter sa huitième sélection lors de la finale mondiale de dimanche contre les Pays-Bas. Seulement deux ans et demi après ses débuts en pros...
Lors de la demi-finale de la Coupe du monde contre l'Allemagne (1-0), c'est Xavi qui a été élu homme du match. Si Pedro n'avait pas raté son face-à-face avec Neuer, où s'il avait fait la passe à un Torres qui aurait marqué dans le but vide (82e), c'est assurément lui qui aurait remporté ce titre honorifique. «J'ai encore un peu d'amertume par rapport à cette action», explique le jeune attaquant espagnol sur le site de la FIFA. Mais qu'il se rassure, il a largement rempli sa part du contrat face à la Mannschaft pour un joueur de 23 ans qui n'a que sept sélections (un but) au compteur : une percussion de tous les instants, des dribbles éreintants pour la défense adverse, une gestion des temps forts et faibles impressionnante et même des orientations de jeu parfaitement exécutées. En choisissant de se passer d'un Torres à côté de ses crampons depuis le début du Mondial pour intégrer un Pedro affolant dans son onze de départ, Vicente Del Bosque ne s'est pas trompé.

«J'ai été surpris par ma titularisation. Mais après, je me suis mis dans mon match. Je suis content de la qualification pour la finale. Je ne sais pas si je serai encore titulaire pour la finale, c'est au coach de décider...» Et c'est là toute la question. Comment le technicien de la Seleccion pourrait désormais renvoyer l'attaquant droitier du FC Barcelone sur le banc pour la finale mondiale de dimanche soir contre les Pays-Bas ? Né à Tenerife, celui qui a poussé Thierry Henry sur la touche cette saison au Barça transforme en or tout ce qu'il touche. Et dire qu'il a joué son premier match avec les pros il y a seulement deux ans et demi. C'était le 12 janvier 2008, contre Murcie (4-0). quot;Pedritoquot;, comme on l'appelait alors, était entré à trois minutes du terme à la place de Samuel Eto'o.
Depuis, sa trajectoire est étonnante. En 2008-2009, il joue quatorze matches avec les Catalans. Au mois de mai, il participe à la finale de la Ligue des champions remportée par le Barça contre Manchester (2-0). Cette saison, il est déjà devenu indiscutable dans l'équipe de Guardiola (53 matches, 23 buts). Pedro est surtout un joueur qui est toujours présent dans les matches décisifs. Celui qui se trouve sous contrat jusqu'en juin 2015 (clause de départ fixée à 90 millions d'euros) avec Barcelone a marqué lors de l'aller de la Supercoupe d'Espagne contre Bilbao (2-1), lors de la prolongation de la Supercoupe d'Europe contre Donetsk (1-0), lors de la finale de la Coupe du monde des clubs face à Estudiantes (2-1)... Il est entré dans l'histoire en devenant le premier joueur à marquer dans six compétitions différentes en 2009 (toutes celles jouées par le Barça), devenant ainsi quot;Don Pedroquot;.

Del Bosque a fini par convoquer ce joueur offensif polyvalent à la frappe lourde pour le Mondial, laissant Güiza, Negredo ou Cazorla à la maison. «J'aimerai beaucoup marquer et jouer des matches lors de cette Coupe du monde. Je suis tranquille, je sais que je dois continuer à travailler et ensuite, c'est l'entraîneur qui décidera», déclarait-il avant le Mondial à l'agence de presse espagnole EFE. Son entrée tonitruante face au Paraguay en quarts (1-0) lui a permis d'être titularisé contre l'Allemagne (1-0) avec le résultat que l'on sait. «Sortir le Portugal ou la Mannschaft nous a donné beaucoup de confiance. Moi ? Je suis serein...», a-t-il expliqué à la FIFA peu après s'être fait voler 800 euros à l'hôtel de la Roja. Les portes de la finale de la Coupe du monde sont grandes ouvertes pour le talisman espagnol Pedro. - Cyril OLIVES

15:05 - Foot - CM - ESP - «Pas laisser Sneijder réfléchir»





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Sergio Busquets serein à deux jours du grand rendez-vous en finale contre les Pays-Bas. (REUT)



A deux jours de la finale, Sergio Busquets s'est montré serein, mais sait qu'il aura une mission importante face aux Pays-Bas : contenir Sneijder.
Une des clés de cette finale du Mondial sud-africain sera la conquête du milieu de terrain. Pour l'Espagne, grande spécialiste de la possession de balle dans cette zone, un des objectifs sera de maîtriser Wesley Sneijder, le poison batave. L'Intériste sera dans la zone de Sergio Busquets, qui se verra confier dimanche soir au Soccer City de Johannesburg une grande mission, certainement la plus exigeante de sa jeune carrière. «C'est un grand joueur, comme il l'a démontré cette saison en remportant le triplé avec l'Inter, a expliqué le Catalan vendredi à Plochestrom, lieu du camp de base de la Seleccion. Je vais essayer de l'arrêter avec l'aide de mes coéquipiers. Je vais m'attacher à ne pas lui laisser le temps de réfléchir parce que sinon il met aussitôt un bon ballon à son attaquant. Nous avons déjà maîtrisé d'autres grands joueurs durant le tournoi, donc nous savons faire. Espérons que nous obtiendrons le même résultat.»
Le succès contre l'Allemagne en demie (1-0) a prouvé que l'Espagne avait retrouvé la plénitude de son jeu et atteint le niveau qui était le sien lors du dernier de Euro. Busquets n'a toutefois pas souhaité se risquer au petit jeu des comparaisons. «Aucune partie n'est semblable car la concurrence n'est jamais vraiment la même. Il est vrai cependant que l'épine dorsale est restée la même. L'Espagne a atteint un bon niveau, mais j'espère que le meilleur est encore à venir». Après un début de tournoi hésitant voire même défaillant (défaite contre la Suisse 0-1), la Roja est montée en puissance. Marquant peu de buts, certes, mais en encaissant encore moins. La demie contre l'Allemagne lui a permis de se rassurer sur ses capacités, et faire exploser les doutes comme les critiques. «L'Allemagne voulait mettre en oeuvre un football offensif mais au final c'est nous qui avons su évoluer de la sorte», a ajouté le protégé de Guardiola.
«Contre les Pays-Bas, ce sera encore plus difficile, estime-t-il. Ils vont essayer de dérouler leur football et cela ne dépendra donc pas uniquement de nous. Ils ont leur jeu et je ne pense pas qu'ils seront obsédés par jouer avec le frein à main.» Sentinelle devant l'imperméable défense espagnole, Sergio Busquets s'est imposé comme un élément incontournable. Au milieu des Xavi, Inesta et Xabi Alonso, le récupérateur du FC Barcelone a fait son trou. On imagine pour longtemps. «Chaque jour, je me sens mieux, a-t-il confirmé à 48 heures du grand événement. J'apprends beaucoup au contact de cette équipe, composée de grands joueurs. Je suis très satisfait de mes performances ici, mais je n'y serai jamais arrivé sans l'aide des mes partenaires. J'espère faire aussi bien durant la finale.» C'est tout le mal que nous lui souhaitons. - D. Mi. (en Afrique du Sud)

14:32 - Foot - CM - HOL - Entraînement à huis clos





Deux jours avant une finale historique face à l'Espagne (dimanche 20h30), les Pays-Bas ont tenu vendredi une séance d'entraînement à huis clos sur le terrain de la Wits University de Johannesburg. Sous surveillance policière, l'équipe au complet a répété ses gammes durant un peu plus d'une heure et demie. Le portier Maarten Stekelenburg, qui souffrait des hanches après la demi-finale mardi face à l'Uruguay, et le milieu Demy de Zeeuw, touché à la mâchoire lors de ce match, étaient également présents. Le meneur de jeu Wesley Sneijder a lui prolongé son échauffement en compagnie du préparateur physique de l'équipe. Sneijder s'était plaint en cours de tournoi de «fatigues musculaires» après sa longue saison avec l'Inter Milan.Rafael van der Vaart, Dirk Kuyt et Arjen Robben ont eux aussi quitté la séance collective durant quelques minutes pour des exercices d'étirements avec un kiné.

13:48 - Foot - CM - HOL - Les hommes de l'ombre





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Giovanni van Bronckhorst et Dirk Kuyt, éléments très importants de l'équipe des Pays-Bas. (REUT)



Si Sneijder ou Robben brillent par leurs exploits offensifs, l'équipe des Pays-Bas s'appuie fortement sur des travailleurs, à l'ombre de ces stars. Parmi eux : Gio van Bronckhorst, Nigel de Jong et Dirk Kuyt.
Dans notre présentation de l'équipe des Pays-Bas, à quelques encablures du début du Mondial, nous avions établi Gio van Bronckhorst comme joueur-clé, et non pas Sneijder ou Robben par exemple. Tout simplement parce que le latéral du Feyenoord, capitaine de la sélection, est très précieux dans le groupe, autant par son expérience pour guider la défense néerlandaise, que par ses qualités humaines pour oeuvrer au bien du vestiaire. Auteur d'une frappe magistrale pour ouvrir le score face à l'Uruguay en demi-finale (3-2), l'ancien milieu offensif est revenu dans la lumière. Lui qui a connu plusieurs désillusions avec les Oranje veut, à 35 ans, clore sa carrière en s'offrant le plus beau trophée au monde.
Face à l'Uruguay, la défense batave a parfois semblé désorganisée et plus friable qu'auparavant. La suspension de De Jong pour cette demi-finale n'est pas étrangère au phénomène. Le joueur formé à l'Ajax Amsterdam fait partie des indéboulonnables de l'équipe oranje, ayant débuté tous les précédents matches du Mondial. Moins renommé que certains de ses coéquipiers, en sélection comme à Manchester City (qu'il devrait quitter), De Jong est un infatigable essuie-glace devant la défense, dur à bouger malgré son 1.74m et à l'aise techniquement. Bert van Marwijk s'est notamment appuyé sur lui pour bâtir son système. De Jong a, depuis un moment déjà, pris ses marques avec Van Bommel au milieu de terrain pour composer un duo capable d'étouffer l'adversaire par son pressing et son placement. Son retour devrait faire du bien aux Pays-Bas pour tenter de contenir la paire Xavi - Iniesta.
Serial buteur avec Feyenoord (71 buts en 101 matches de championnat), il s'est retrouvé milieu droit à Liverpool, faute de spécialiste de qualité. Un mal pour un bien ? Cette polyvalence, ajoutée à sa générosité dans l'effort et son mental de battant, l'a rendu indispensable autant chez les Reds qu'en sélection. S'il joue contre l'Espagne, Kuyt disputerait son 35e match d'affilée avec les Oranje, pour égaler le défenseur Roelof Wiersma et se rapprocher du record d'Edwin van der Sar (38). Repositionné sur l'aile gauche (comme parfois à Liverpool) suite à la volonté de Bert van Marwijk d'installer Van Persie comme avant-centre, et pour que Robben ait quot;sonquot; couloir droit, Kuyt n'a pas bronché et n'est pas entré dans la lutte des ego. Il a offert trois passes décisives dans le tournoi, dont le centre qui a permis à Robben d'inscrire le troisième but en demi-finale. - J. Te.

12:50 - Foot - CM - Meilleur joueur : les dix nominés





Trois joueurs de l'Espagne (Andres Iniesta, David Villa et Xavi) figurent notamment parmi les 10 nominés pour le titre de meilleur joueur du Mondial sud-africain, dévoilés par la FIFA et Adidas vendredi à Johannesburg.

Les nominés sont : Diego Forlan (Uruguay), Asamoah Gyan (Ghana), Andres Iniesta (Espagne), David Villa (Espagne), Xavi (Espagne), Lionel Messi (Argentine), Mesut Özil (Allemagne), Bastian Schweinsteiger (Allemagne), Arjen Robben (Pays-Bas) et Wesley Sneijder (Pays-Bas).

Lors de la Coupe du monde 2006, Zinedine Zidane avait été élu meilleur joueur du tournoi en Allemagne. Son successeur sera connu dimanche après la finale.



2006 : Zinédine Zidane (FRA)
2002 : Oliver Kahn (ALL)
1998 : Ronaldo (BRE)
1994 : Romario (BRE)
1990 : Salvatore Schillaci (ITA)
1986 : Diego Maradona (ARG)
1982 : Paolo Rossi (ITA)
Par ailleurs, la FIFA a aussi annoncé le nom des trois nominés pour la catégorie de meilleur jeune (-21 ans) : Thomas Müller (Allemagne), Andre Ayew (Ghana) et Giovanni Dos Santos (Mexique). L'un des trois succèdera donc à Lukas Podolski.

12:44 - Foot - CM - ESP - La presse doute de Webb





La presse espagnole était très inquiète ce vendredi. Le choix de l'Anglais Howard Webb pour arbitrer dimanche la finale de la Coupe du monde Espagne - Pays-Bas constitue déjà «une mauvaise nouvelle» pour la Roja, selon Marca. AS titrait que l'Anglais est un arbitre «discuté», qui a «commis deux erreurs qui ont lésé» l'Espagne lors de son premier match de phase de poules contre la Suisse (0-1). Webb rappelle «de mauvais souvenirs à la Roja», écrivait pour sa part le journal sportif catalan El Mundo Deportivo. Toujours selon Marca, ce sera donc un «défi» pour la Seleccion de gagner à Johannesburg dimanche une finale dirigée par un tel arbitre. Enfin, Marca a tenu à rappeler qu'il n'avait pas sifflé un penalty qui semblait évident contre l'attaquant Silva tout en validant le but suisse en dépit d'un hors-jeu. (Avec AFP)

12:24 - Foot - CM - ALL - L'Allemagne diminuée





A la veille du match contre l'Uruguay (samedi 20h30), l'équipe d'Allemagne a été touchée par une petite épidémie de grippe dont Joachim Löw, son capitaine Philipp Lahm et l'attaquant Lukas Podolski ont été les premières victimes. «Löw est alité et ne participera pas à la conférence de presse de veille de match à Port Elizabeth ce soir», a expliqué vendredi le porte-parole de l'équipe allemande, Harald Stenger. En ce qui concerne Lahm et Podolski, ils n'ont pas participé à la séance d'entraînement du jour mais seront a priori disponibles pour le match contre l'Uruguay. «Leur état est moins grave que celui du sélectionneur», a précisé Stenger.

Parallèlement à cette épidémie, l'attaquant Miroslav Klose, auteur de quatre buts depuis le début du tournoi, a lui été ménagé. Souffrant du dos depuis la demi-finale perdue contre l'Espagne (0-1) mercredi, il ne s'est pas entraîné avec ses coéquipiers, mais est resté à l'hôtel pour une séance spécifique. Sa participation au match face à l'Uruguay reste incertaine. (Avec AFP)

11:21 - Foot - CM - Pour Paul, l'Allemagne sera troisième





Tradition oblige, Paul le poulpe a rendu son verdict quant au match pour la troisième place du Mondial. Après moult hésitations, le céphalopode a arrêté son choix sur l'Allemagne ! La Mannschaft, pays d'adoption de Paul, devrait donc finir troisième de ce Mondial sud-africain. Voilà qui devrait faire remonter la cote de popularité de celui qui s'était fait traiter de noms d'oiseaux en pronostiquant la victoire de l'Espagne en demi-finale. On ne sait en revanche toujours pas si Monsieur 100%, comme il est surnommé dans le milieu, officiera pour la finale Pays-Bas - Espagne

oui pour la petite final l allemagne

et il a choisi l'allemagne pour la petite finale.....

oui l espagne vas gagné

Paul le Poulpe parie sur la victoire de l'Espagne pour cette finale !! Je l'espère vraiment !!

13:43 - Foot - CM - Sauvez Paul le poulpe





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Le gouvernement espagnol inquiet pour la survie de Paul le poulpe. (REUT)



Paul, le célébrissime poulpe, dont les prédictions footballistiques feraient pâlir plus d'un bookmaker, doit révéler vendredi le vainqueur de la petite finale qui opposera l'Allemagne à l'Uruguay. En fonction de la durée de cette première séance de divination, et donc de l'énergie restant au céphalopode, il se verra éventuellement proposer des boîtes néerlandaise et espagnole afin de prédire la finale de dimanche. Après sa prédiction sur la défaite de l'Allemagne face à l'Espagne, la cote de popularité de Paul avait baissé. Lui et sa mère étaient d'ailleurs affublés de noms d'oiseaux par les fans dépités, tandis que les internautes se déchaînaient pour proposer des recettes de poulpe grillé, mariné, ou en paella.
Le gouvernement espagnol s'est pour sa part montré «inquiet» quant à la survie de Paul. «Je suis inquiet pour le poulpe ... je suis en train de penser à lui envoyer une équipe de protection», a plaisanté M. Zapatero sur la radio privée Cadena Ser, après la victoire espagnole. La ministre de l'Environnement et de la pêche, Elena Espinosa, envisage même une sorte de moratoire sur la pêche au Paul. «Lundi, je serai à un conseil des ministres de l'Union européenne et je vais demander que soit activée une interdiction (de pêche) pour Paul le poulpe, afin que les Allemands ne le mangent pas», a-t-elle déclaré en conférence de presse. Le ministre de l'Industrie y est lui aussi allé de sa petite phrase. Mercredi, Miguel Sebastian, avait en effet plaidé pour le transfert «immédiat» du céphalopode vers l'Espagne en cas de victoire espagnole pour «veiller à sa protection». (Avec AFP)

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13:45 - Foot - CM - Bilan - Les déceptions





A J-3 de la finale, gros plan sur les grandes nations qui ont déçu lors de cette Coupe du monde. Parmi elles, le Brésil, l'Angleterre et bien entendu la France.
Pour la deuxième fois de suite, le Brésil a échoué en quarts de finale du Mondial. Sous la houlette de Carlos Dunga, la Seleçao n'a pas trouvé sa vitesse de croisière en Afrique du Sud. Voulant une équipe à son image, c'est à dire dure au mal, défensive, l'ancien milieu auriverde a laissé Pato, Ronaldinho ou Adriano à la maison. Et s'est appuyé sur les obscurs Gilberto Silva, Melo ou Elano (même si ce dernier a fait un bon début de compétition). Robinho et Kaka n'ont pas créé beaucoup de décalages. Contre le futur finaliste néerlandais, les Brésiliens ont largement maîtrisé les débats avant la pause... puis ils ont craqué inexplicablement. Le Brésil de Dunga au Mondial 2010 ? Une énigme.
Aucune victoire en trois matches de préparation (contre la Suisse, le Mexique et le Cameroun). La Nazionale, championne du monde en titre, n'arrivait donc pas avec le costume de favorite en Afrique du Sud mais avait, comme souvent, une sérieuse carte à abattre. Dans un groupe largement à sa portée, l'Italie, sur sa lancée des matches amicaux, n'aura pas remporté la moindre rencontre. Incapables de se montrer dangereux et de développer un jeu léché, les hommes de Marcello Lippi termineront même derniers du groupe F. La France aussi éliminée, c'est la première fois que les finalistes d'une Coupe du monde de l'édition précédente sont éliminés dès la phase de poules.
Qualifiée in extremis en barrages contre l'Irlande grâce à un but très controversé suite à une quot;grosse miminequot; de Thierry Henry, la France n'a pas fait fructifier ce coup de main du destin en Afrique du Sud. Minés par les conflits internes, et surtout par la cassure entre le groupe et Raymond Domenech, les Bleus ont été éliminés en terminant à la dernière place du groupe A. Un point, un petit but marqué : le bilan est catastrophique. Plus que le résultat sportif, c'est l'image de la France renvoyée par son équipe qui est accablante. Coupés de tout à Knysna, en guerre contre le reste du monde, les Français se sont tirés une balle dans le pied. Ou plutôt dans les deux. Laurent Blanc récupère une équipe de France en ruines.
Fabio Capello devait enfin redonner son lustre d'antan à la sélection aux Trois Lions. Forte d'une campagne de qualifications réussie, l'Angleterre allait effectuer une belle Coupe du monde, avec à sa tête un technicien aguerri, un véritable faiseur de miracles, c'est sûr ! Enfin, en théorie parce que l'Italien avait oublié une chose : il n'est pas sur le terrain. Et de miracles, il n'y en a pas eu. Des joueurs fatigués, un manque de confiance flagrant, des erreurs grossières et la chance qui s'envole, tout s'est lié contre Wayne Rooney et consorts. Le but des Américains à la dernière seconde de la phase de poules a eu raison de toute la bonne volonté anglaise. La réussite et le talent allemands ont douché ses derniers espoirs en huitièmes.
Le forfait de dernière minute du Mancunien Nani, conjugué à la blessure du défenseur Pepe, n'auront pas arrangé les affaires de la Selecçao. Emmené par un Cristiano Ronaldo peu inspiré et monopolisant le ballon, le Portugal n'a pas réussi à développer le jeu qui avait fait sa force à l'Euro 2004. Les hommes de Carlos Queiroz ont certes inscrit sept buts mais ce n'était que face à la modeste équipe de la Corée du Nord. Lors des trois autres rencontres, les joueurs portugais sont restés muets, symbole de l'inefficacité et l'impuissance de la Selecçao dans cette Coupe du monde. On attendait mieux qu'un huitième de finale pour le Portugal, après avoir fini quatrième en 2006.
Des équipes africaines en lice, le Cameroun présentait l'effectif le plus cohérent. Des joueurs de classe internationale dans chaque ligne, notamment Stéphane Mbia, Alexandre Song ou Samuel Eto'o, un entraîneur qui avait bien mené sa barque jusque-là. Et tout s'est effondré. Les choix de Paul Le Guen ont été discutables (Mbia à droite, Song et Emana sur le banc, Eto'o relégué sur un côté) et discutés par ses joueurs. La première des trois défaites contre le Japon (0-1) a fait très mal au groupe qui, à l'instar des Français, a explosé. H.S., C.O, A.D et B.P.

12:41 - Foot - CM - ESP - Zapatero : «Bon pour la confiance»





Au lendemain de la qualification de l'Espagne pour la finale du Mondial, le chef du gouvernement espagnol José Luis Rodriguez Zapatero sent que «cette victoire va faire du bien pour augmenter l'estime de soi et la confiance dans le pays», touché par la grave crise financière depuis 2008. «Je crois que l'Espagne en général joue sur tous les terrains comme elle joue au football, par delà les moments difficiles que nous avons connus comme tous les pays», a souligné le responsable socialiste sur les ondes de la radio Cadena Ser. La Roja va accéder à la première finale de son histoire dans cette compétition, deux ans après le sacre européen.

De son côté, le président de la commission européenne, José Manuel Barroso, a salué jeudi la performance du football européen, ajoutant que «l'Europe va devenir championne et vice championne du monde». «Au début du Mondial, un journal américain très important avait annoncé la fin du football européen, a-t-il repris. Je suis extrêmement fier de voir qu'une fois encore l'Europe va remporter le titre de champion du monde.» La finale de la Coupe du monde 2010 proposera une deuxième finale consécutive 100 % européenne, quatre ans après le fameux Italie - France. (Avec AFP)

12:12 - Foot - CM - HOL - Une deuxième journée off





Ils doivent décompresser... Le sélectionneur des Pays-Bas, Bert van Marwijk, a à nouveau dispensé ses joueurs d'entraînement jeudi, leur accordant une deuxième journée de repos total consécutive avant la finale de la Coupe du monde contre l'Espagne, dimanche à Johannesburg. Les joueurs avaient déjà reçu quartier libre mercredi au lendemain de leur victoire face à l'Uruguay (3-2) en demi-finales au Cap. Le prochain entraînement, à huis clos, est programmé vendredi à 11h30 sur le terrain fétiche des Oranje de la Wits University de Johannesburg. Samedi, les Néerlandais suivront une ultime séance, en principe au stade Soccer City, où aura lieu la finale, si l'état de la pelouse le permet.

11:49 - Foot - Bleus - Desailly : «Evra doit payer»





Pour Marcel Desailly, l'ancien défenseur des Bleus, Patrice Evra doit «payer» pour la grève des joueurs français au Mondial. Dans une interview à Métro, jeudi, le champion du monde 1998 préconise une suspension de deux mois. «Le président de la Fédération et le sélectionneur ont déjà payé. Et je crois qu'Evra, qui est à l'origine de la grève, devrait payer lui aussi. Le capitaine s'est trompé et il doit assumer les conséquences de ses actes. Il a décidé de ne pas s'entraîner, avant de réaliser son erreur et de s'excuser. Mais il mérite au moins une exclusion temporaire. C'est un excellent joueur, notre meilleur arrière gauche, mais il devrait être suspendu deux mois, parce qu'un capitaine est le premier à devoir montrer l'exemple. Son comportement a affecté l'image de la France à travers le monde.»