ce soir 20h à ne pas rater...................................... le spectacle hilarant du" lancer de nain " [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

lol !!!!!!!!!!!!!!!...............

EXCLUSIF. Le slogan du candidat Sarkozy : "La France forte !"

"La France forte !" Voici donc - sauf surprise - le slogan de campagne de Nicolas Sarkozy, qui sera dévoilé pour la première fois, demain soir, lors d'un meeting à Annecy. Après moult hésitations, les communicants de l'Élysée ont tranché en faveur de cette formule censée incarner une France qui, malgré la crise et l'enlisement de nombreux pays européens, n'a pas ployé durant le quinquennat. Le mot "courage", un temps envisagé, a été abandonné, l'Élysée préférant axer le slogan davantage sur le pays que sur la personne du candidat.

le Point.fr

Psycho...il est candidat....hann.... the surprise !

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carlita est déçue

Des éditorialistes sceptiques : ce matin, la presse dans son ensemble affichait son manque d'enthousiasme après l'intervention de Nicolas Sarkozy hier soir au 20h. Des doutes qui concernent aussi bien la forme que le fond de son discours.

"Un contact perdu" avec les Français pour Pascal Quinio ou "une autre vision de l'avenir " pour Paul Henri du Limbert : l'éditorialiste de Libération et celui du Figaro livrent sans surprise une interprétation diamétralement opposée de l'intervention du chef de l'Etat. Pour Pascal Quinio, "à force d'en faire trop en faveur du peuple, Nicolas Sarkozy a indiqué qu'il n'avait pas échappé au syndrome classique de l'enfermement dans sa tour d'ivoire élyséenne". A contrario, Paul-Henri du Limbert évoque "une seconde rupture" par opposition à un candidat socialiste "représentant d'une social-démocratie bonhomme que la rigueur des temps a rendu désuète". Mais la plume du Figaro est bien la seule à trouver des vertus aux discours du président. Pour la grande majorité des éditorialistes de la presse régionale, Nicolas Sarkozy a déçu.

"Il n'y a dans cette candidature rien qui fasse rêver. Il n'y a qu'une immersion directe dans les épreuves à affronter", pense Hervé Chabaud de L'Union."Sa déclaration de candidature est banale, sans élan, dépourvue du moindre vibrato de nature à faire rêver", écrit Philippe Waucampt du Républicain Lorrain."Le tout nouveau candidat Sarkozy tient sa démonstration. Le reste s'enchaîne sans véritable surprise", analyse Michel Lépinay dans Paris-Normandie."Hier soir, certes loin des ors de l'Élysée, dans un studio de TF1 qui paraissait soudain trop grand, Nicolas Sarkozy l'a joué petit bras, trouve Jean-Claude Souléry de La Dépêche du Midi. Dans les Dernières Nouvelles d'Alscace, Olivier Picard évoque un président qui "a séduit sûrement" mais qui "n'a guère convaincu". Pour Philippe Reinhard, de l'Eclair des Pyrénées, "le problème n'est pas une question de crédibilité, mais une question d'affection". Guillaume Tabard dans Les Echos résume la position délicate dans laquelle se trouve de Nicolas Sarkozy : c'est "un homme seul contre les évidences".


Des propositions marketing
Au-delà du ton général de l'intervention de Nicolas Sarkozy, ce sont aussi ses idées qui sont critiquées. "Il prétend mener campagne sur des valeurs, alors que celles qui le préoccupent véritablement sont cotées en Bourse", explique l'éditorialiste Patrick Apel-Muller de L'Humanité."Il faudra sans doute plus de créativité, plus d'efficacité et plus d'équité. Notamment face à l'accroissement spectaculaire des inégalités", pour François Ernenwein de La Croix.
Le recours au referendum n'a en particulier pas convaincu les journalistes : Patrick Fluckiger dans l'Alsace parle d'une "proposition gadget qui fleure le "y'a qu'à", tandis que Jacques Camus dans La République du Centre ironise sur ce qui s'apparente à "sacré revirement venant de la part de celui qui s'est surexposé en accaparant toutes les manettes".

TF1.fr

Jeudi 16 février, J-66

Le FN fixé sur l'anonymat des parrainages le 21 février

Saisi par le Front national sur la question de l'anonymat des parrainages des candidats à l'élection présidentielle, le Conseil constitutionnel rendra sa décision le 21 février. La présidente du Front national, Marine Le Pen, réclame en effet l'anonymat pour les parrains des candidats, affirmant que des élus subissent des pressions pour ne pas lui accorder leur signature.

Pour Pierre Moscovici, le «bateau des Français» jugera le «capitaine» Sarkozy

Pierre Moscovici a repris à son compte la métaphore du capitaine de bateau chère à Nicolas Sarkozy. «Quand (le chef de l’Etat) se peint comme un capitaine dans la tempête, il oublie que les Français, eux, sont le bateau et qu'ils savent que ce bateau a non seulement tangué mais a connu de sérieuses avaries», a déclaré le directeur de campagne de François Hollande sur i>télé. «Nicolas Sarkozy n'échappera pas à ce bilan», a-t-il insisté.

Hervé Morin retire sa candidature

Hervé Morin jette l'éponge. Le candidat du Nouveau centre annonce dans une interview au Figaro magazine à paraître vendredi qu'il renonce à présenter sa candidature à la présidentielle. L'ex-ministre de la Défense a choisi d'accorder son soutien à Nicolas Sarkozy dès le premier tour. «Ma détermination ne doit pas tourner à l'obstination», confie-t-il à l’hebdomadaire. Une décision qui était toutefois attendue, comme l'annonçait 20 Minutes mardi.

Nicolas Sarkozy lance son site de campagne

Le site du candidat Sarkozy est en ligne. Lafranceforte.fr a été lancé dans la nuit de mercredi à ce jeudi, quelques heures après l’officialisation de la candidature du chef de l’Etat.

Berlusconi et Mario Monti soutiennent Nicolas Sarkozy

L'ancien Premier ministre italien a souhaité «bonne chance» à Nicolas Sarkozy hier après la victoire en Champion's League de l'AC Milan, dont il est propriétaire.

Un autre message d'encouragement est venu d'Italie, hier. Mario Monti, le président du Conseil italien, s'est fendu d'un tweet pour annoncer son soutien, et celui du Premier ministre, au candidat Nicolas Sarkozy.



Nicolas Sarkozy

✔

@NicolasSarkozy 15 Févr 12

J’ai accepté l’invitation de TF1 au journal de 20h de ce soir et je vous y donne rendez-vous - NS

Mario Monti @presMarioMonti

@NicolasSarkozy A vous, Monsieur le President, le soutien du Gouvernement Italien et du Premier Ministre.

20 Minutes.fr

Un peu d'humour..


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Si si si si.....je n'ai retenu que ça moi...à suivre...

bienvenue au club, au clown hervé morin , et un de plus, un
il manque plus que villepin et se sera le bouquet

Qu'est qu'on lui a promis à Momo, un nouveau régé color ? en revanche vu les relations que ti nicolas entretient avec le Galouzeau, il va hériter de l'agence consulaire française du tibet oriental

Attention ! souriez le petit oiseau va sortir : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]




l y avait des précédents : Jean-Marie Messier les chaussettes trouées
dans Paris Match, George Bush qui regarde dans des jumelles fermées ou
encore Barack Obama qui ruine une photo diplomatique d'un seul geste...
Mais celle-ci est remarquable surtout au lendemain de la déclaration de
candidature officielle de Nicolas Sarkozy. Dans le Parisien, daté du
jeudi 16 février, dans un comparatif "Nicolas Sarkozy-François
Hollande", on peut voir que le candidat PS a... la braguette ouverte.

En dessous de la ceinture

C'est en page 4, sous le titre "Un match au couteau". Le Parisien publie aujourd'hui une photo quelque peu "loupée" de François Hollande.

Le
candidat PS, de pied en cape, fait face à Nicolas Sarkozy, le désormais
candidat officiel de l'UMP. Si les deux hommes semblent croiser le fer
au niveau du regard, c'est pourtant un peu en dessous de la ceinture qu'il faut regarder. Ce que le Net n'a pas hésité à faire.

On
découvre donc un François Hollande, les bras croisés dans son costume
gris... la braguette ouverte. Oh pas grand chose, juste ce qu'il faut
pour apercevoir la languette de la fermeture éclair du pantalon.

Sur Twitter, Nicolas Charbonneau,
rédacteur en Chef du Parisien - Aujourd'hui en France, répond
d'ailleurs : "Aie le détail !"... avant de préciser "photo non retouchée
!". Preuve que Photoshop n'a pas encore son emprise partout.

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Pas la première fois...

Ce
n'est pourtant pas la première fois que les hommes politiques ou autres
"grands" de ce monde se retrouvent un poil amochés à la Une. Les photos insolites des politiques sont d'ailleurs légion.
Un serrage de main loupé, un sourire pas forcément "bright" ou encore
un look approximatif font parti du quotidien de la communication
politique. Mais parfois, certaines sont restées dans les mémoires. La preuve en quelques images...

chocacao a écrit:

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carlita est déçue

le problème ..souvenez vous de la ré-éductaion du périné que l'a obligé à faire Carla :
"La musculation du périnée qui vise à améliorer l'érection peut se pratiquer seul ou accompagné (par un kiné), ou comment éviter les pannes sexuelles "
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Citation :

"Il n'y a dans cette candidature rien qui fasse rêver. Il n'y a qu'une immersion directe dans les épreuves à affronter"

C'est un peu ballot comme argument quand même,une élection présidentiel c'est pas un show et si ça l'est la premiere fois les fois suivante perde forcement de conviction et d'engagement,c'est le cas pour Sarkozy tout comme ça le sera pour Obama..
J'ai beau me dire que l'Hollande a des chances d’entre président j'arrive pas m'en convaincre,de plus ça m’écorche la langue rien que de lui accorder ce titre là.
Sarkozy est très mal entouré,il devrait mettre un peu d'ordre,un peu plus de souplesse et ça sera certainement suffisant pour l'instant.!
Sugar,Psycho,Malvi.. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Bartolone dénonce «un quinquennatde faussaire»... Et Mélenchon les «sornettes» de Sarkozy...

Jeudi 16 février, J-65

«Un quinquennat de faussaire» pour Bartolone

Alors que l’UMP accuse François Hollande de «menteur», Claude Bartolone, député PS, a accusé Nicolas Sarkozy de vouloir «brutaliser» la campagne électorale, estimant que le pays était «à la fin d’un quinquennat de faussaires». «Ils sont dans un tel échec économique, social, environnemental qu'il ne reste plus que cela à Nicolas Sarkozy. Essayer de secouer François Hollande. Franchement, c'était prévisible», a-t-il expliqué sur Public Sénat et Radio classique.


Mélenchon et les «sornettes» de Sarkozy

Jean-Luc Mélenchon a suggéré vendredi à Nicolas Sarkozy, qui affirme vouloir redonner la parole aux Français, d'aller parler à l'usine d'ArcelorMittal de Florange (Moselle) dont les syndicats tirent la sonnette d'alarme sur les risques de fermeture sociale du site. «Si M.Sarkozy a quelque chose à dire au peuple, je lui suggère d'aller à Grandange à qui il a beaucoup menti et à Florange à qui il a beaucoup promis sans rien tenir», a lancé le candidat du Front de Gauche sur France Info. «La vérité est là, le pays va perdre ses sites de production sidérurgiques et nous avons besoin de cette sidérurgie. Le président Sarkozy, s'il veut parler au peuple, voilà de quoi il doit lui parler : boulot, salaire, santé(...) pas ces sornettes que je le vois tenir.»

Alain Juppé futur Premier ministre de Sarkozy?

Si Nicolas Sarkozy est réélu, le retour d’Alain Juppé à Matignon, quinze ans après son premier passage raté, est acté, à en croire un confidentiel du Figaro. « les deux hommes en ont déjà parlé, il n’y a plus de suspense là-dessus», assure cette source.

«Fracassante et épatante»

C’est ainsi que Jean-Pierre Raffarin a jugé ce vendredi matin sur Europe 1 l’entrée en campagne de Nicolas Sarkozy. L’ex-Premier ministre a également estimé que «la fonction présidentielle avait quelque peu emprisonné» Nicolas Sarkozy mais qu’il avait été content de voir le candidat de l’UMP «lâcher de l'affectif». «Il nous a appelés à aimer la France comme sa famille, c'est quelque chose que l'on n'a pas entendu pendant 5 ans», a relevé l'ancien Premier ministre. Il a également donné un conseil au Président: «Il ne faut pas qu'il soit assommant de vérité, il faut qu'il écoute.»

«Crise démocratique» pour Sarkozy

Najat Vallaud-Belkacem, l’une des porte-parole de François Hollande, a jugé ce vendredi sur Europe 1 qu’il y avait «une crise démocratique» en France qui «éloigne» les Français des élus. «Après 5 ans d'impuissance politique au pouvoir, les Français se demandent ce qu'on peut faire face aux marches, face à la mondialisation, face à la finance. Tirer la campagne vers le bas avec les petites phrases, les dénigrements permanents, ce n'est pas les rapprocher de la politique c'est les en éloigner», estime-t-elle. Et de juger que pour Nicolas Sarkozy, «il y a un calcul qui consiste à dégoûter les Français de la politique, de leur dire tout et n'importe quoi pour les pousser vers l'abstention.»

20 Minutes.fr

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depuis quand elle s'habille chez Tati .? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Comment ! toi ! Grande tricoteuse devant l'eternel, ne vois tu pas que ce petit poncho en point granité réalisé dans une laine de cachemire camel; est une pièce unique à 4584.76 € HT ? ....[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] non je déconne c'est atroce ! et puis sans maquillage...houla !


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] je m'auto réponds maintenant ?? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Malvi : sors de ce corps je t'ai reconnu !!
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]PS: le point "granité" est un point "d'Astrakan ", et ce poncho elle le portait déjà à la fête de Noël à l’Élysée , d'ici à ce qu'elle nous fasse un baby blues ..

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Citation :

Pour l'histoire de la statue en l'honneur de Carla je trouve sincèrement que les détracteurs sont dans leur tort,non seulement elle est l’épouse du président,elle a assistez durant 8 ans,mannequin comme première profession,je ne voit rien de choquant a ce qu'elle est une statue a son effigie,combien de mannequin,d'actrice on servit de modèle pour faire la Marianne..?
C'est dans le même registre mais là a force de faire feu de tout bois le couple Sarkozy Carla n'est plus juger sur ces actes mais sur l'image que les opposants se font d'eux,et c'est bien regrettable..
Les politiciens ne se rendent pas compte qu'en se lançant pique sur vacherie ils affaiblissent la démocratie et aussi les valeurs de la France...
C'est petit et mesquin d'en arriver là.!

Merci pour les news toujours très fraîche my Sugar.. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

La statue de Carla, « plumassière de Nogent-sur-Marne », ne coûtera rien aux contribuables





[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], maire UMP de Nogent-sur-Marne, a pris sa plus belle plume pour adresser à tous [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ayant relaté l'émoi provoqué par le projet de statue de plumassière italienne, inspirée des trais de la Première dame, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]y, que « les Nogentais d’origine italienne représentent plus de 13 à 14 % de la population de Nogent et qu'il était tout naturel que, symboliquement, nous les assurions de notre amitié et de notre reconnaissance »,
admet-il. Concernant le financement de l'œuvre estimée à 82.000 euros
dont la moitié, disait-on, pourrait être assurée par les contribuables
nogentais, Jacques JP Martin annonce aujourd'hui qu'elle sera finalement
« financée, dans sa totalité, par le promoteur » et que « ni Madame Carla Bruni-Sarkozy, ni Cogedim (ndlr : le promoteur),
ni le sculpteur, ni le maire, n’ont communiqué sur le fait que le
visage de cette italienne s’inspire de celui de Madame Carla
Bruni-Sarkozy, avec son autorisation ». Il ajoute, à toutes fins utiles, que la statue s’appellera « "La Valnurese" et qu'elle ne ressemble pas à la Première Dame de France ». Comme on peut en juger sur à la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] publiée par [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] qui a immortalisé l'œuvre réalisée par Élisabeth Cibot. L'artiste indique dans une interview accordée au quotidien que « la Cogedim et la mairie de Nogent sont venues à elle », et, précise encore France-Soir, que c'est le maire Jean-Pierre Martin, en personne, « qui a souhaité que ce soit le visage de Carla Bruni-Sarkozy ». Cette décision aurait été prise il y a un an et demi, lors d’une réunion de travail, précise encore le quotidien.

Bisous touaaa [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Euh ils se rattrapent là ????....hum.... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

SarkHollande: le duel Hollande-Sarkozy éclipse les autres candidats

"Ils vont nous voler le premier tour!" Le cri d'indignation se
propage dans les QG de campagne. De Philippe Poutou (moins de 1%
d'intentions de vote) à Marine Le Pen (entre 15 et 20%) en passant par
François Bayrou (12-13%), tous les candidats dénoncent une
bipolarisation excessive de la campagne présidentielle imposée, selon
eux, par les médias au profit de François Hollande et de Nicolas
Sarkozy.


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].
"La 'sarkhollandisation' du débat politique, il va falloir qu'elle
recule", a lancé l'ancien ministre de l'Education en reprenant un
néologisme qu'il rodait depuis quelques jours. "Quand j'allume ma radio
le matin, j'entends Nicolas Sarkozy et François Hollande qui répond. Ils
représentent à peine la moitié des électeurs, et les autres, comment on
les entend?", interroge le président du MoDem. "Je vous avertis: les
Français ne se laisseront pas confisquer cette élection", menace le
candidat du Mouvement démocrate.
Lire aussi:
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L'équité du temps de parole a disparu
Dramatisation électorale? Le Front de gauche, peu suspect d'accointances
avec François Bayrou, partage son point de vue. "C'est une évolution
naturelle que l'on voit poindre dans la Ve République depuis plusieurs
décennies. Mais je pense que cela n'a jamais atteint ce point là", note
Éric Coquerel, conseiller politique de Jean-Luc Mélenchon qui, outre les
médias, accuse le PS et l'UMP d'orchestrer cette "confiscation" du
premier tour à leur profit.


L'ancien
premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, ne dit pas autre chose. "Je
pense que le débat du second tour est maintenant imposé", s'est-il
félicité ce vendredi sur Europe1, laissant entendre que le casting de la finale du scrutin présidentiel est d'ores et déjà clos.


"En janvier, les camps Sarkozy et Hollande ont monopolisé 73% du
temps d'antenne des radios et 75% des télés. Si vous ajoutez à cela les
billets des éditorialistes, essentiellement consacrés à commenter leur
duel, ça vous installe une campagne", râle Éric Coquerel, qui a écrit le
8 février dernier au CSA pour lui demander d'intervenir. "Je n'ai
toujours pas eu de réponse", assure-t-il, persuadé que "pour beaucoup,
la primaire socialiste et sa surmédiatisation ont joué le rôle d'un
premier tour".



Le duo de tête se détache dans les sondages
Cause ou conséquence, Nicolas Sarkozy et François Hollande se détachent depuis nettement dans les sondages.
"Le mouvement de bipolarisation des intentions de vote de l’électorat
se confirme, ce qui lève en grande partie les incertitudes s’agissant de
l’ordre d’arrivée à l’issue du premier tour", estimait ainsi l'Ifop à
la suite d'une étude réalisée pour Fiducial. "Jamais l’écart entre
Nicolas Sarkozy et les deux autres prétendants à l’accession au second
tour n’a été aussi marqué: Marine Le Pen est devancée de 7,5 points
(..), François Bayrou de 12,5 points".


Faut-il en conclure que la campagne est jouée ? "On est peut-être à
nouveau dans une bipolarisation de la campagne", avance prudemment
Frédéric Dabi de l'Ifop. Mais cette séquence sondagière "a été réalisée
au lendemain de séquences très favorables à François Hollande et à
Nicolas Sarkozy", relativise Emmanuel Rivière pour TNS Sofres.


De fait, entre le meeting du Bourget de François Hollande du 22
janvier et le vrai-faux suspense autour de la déclaration de candidature
de Nicolas Sarkozy, le duo de tête des sondages ainsi que leurs équipes
ont monopolisé le temps d'antenne, donnant l'impression d'une course en
tête-à-tête entre le champion de la droite et celui de la gauche. Seule
la polémique autour des 500 parrainages du Front national a finalement
réussi à imposer les autres candidats dans l'agenda médiatique.



Un classique de la présidentielle exacerbé en 2012
Qu'il soit structurel ou conjoncturel, le phénomène n'est en tout cas
pas unique dans l'histoire du scrutin présidentiel. Porté par le vote
utile lié au traumatisme de 21 avril 2002, le scrutin de 2007 poussera
la logique du bipartisme à l'extrême. "Au premier tour, Nicolas Sarkozy
et Ségolène Royal ont empoché à eux seuls 57% des suffrages. Et pour
2012, on voit qu'on est déjà dans le combat final", rappelle le
politologue Bruno Cautrès, chercheur au Cevipof et coauteur du "Vote des
Français de Mitterrand à Sarkozy" (Ed. Presses de Sciences-Po). Au mois
de janvier 2007, déjà, le CSA s'alarmait d'importantes inégalités en
terme de temps de parole.


"La France est une combinaison de bipolarisation, avec deux grands
pôles politiques (cette bipolarisation est travaillée en profondeur par
l'extrême droite depuis le fin des années 1980) et de multipartisme,
avec une fragmentation de partis politiques et donc une multiplication
de candidats à l'élection présidentielle. Ceci étant dit, les racines
institutionnelles du pays, modelées par le scrutin majoritaire
uninominal à deux tours, tendent naturellement vers une forme de
bipolarisation. Ce que les deux principales forces politiques, le PS et
l'UMP, encouragent, soit par l'incitation au vote utile, soit par la
création d'un grand parti du type UMP", explique encore Bruno Cautrès.



Renoncer ou innover
Seul moyen de contourner l'obstruction médiatique qu'ils dénoncent, les
candidats du peloton sont donc condamnés à innover ou renoncer. Si
Jean-Luc Mélenchon reste le seul candidat à continuer à progresser dans
les sondages, malgré un temps de parole réduit à peau de chagrin, "c'est
parce qu'on a la force militante la plus déployée sur le terrain",
estime son conseiller Éric Coquerel.


Les ralliements de certains petits candidats de droite (Hervé Morin,
Christine Boutin) comme de gauche (Jean-Pierre Chevènement) nous
rappellent que cela n'est pas donné à tout le monde.


Huffpost.fr

Sugar-B a écrit:

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il est vrai que maintes fois, on a pris pour modèle des artistes connues comme BB pour faire le visage de marianne, mais prendre une gourgandine marie couche toi là, comme la carlita est une véritable insulte pour le monde ouvrier d'autant qu'elle n'est en plus française que depuis peu et qu'elle n'a jamais bossé avec ses mains mais avec son luc...
puis dire comme l'a fait le maire UMP qu'il y a bcp d'italiens sur sa commune, j'ose espérer que le prochain maire UMP ne fera pas une statue avec le visage d'une autre minorité à des fins politiciennes. ( pourvu que ce soit pas avec le visage de roselyne bachelot, afin d'attirer à lui les pharmaciennes...ou de borlot pour faire un plein de voix chez les vignerons et autres brouilleurs de crus

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bon we à tous, suis en vacances ...

Psycho99 a écrit:

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bon we à tous, suis en vacances ...

lol ... Bisous ma Psycho...et Choco.. et tous...

Sarkozy, le harceleur textuel

Le "vilain petit canard" des beaux quartiers ne va pas se gêner pour lancer des attaques en piqué, injuriant Hollande sans ménagement.


Ceux qui en doutaient encore peuvent ranger leurs illusions : le Sarkozy pitbull, le bretteur qui aime la castagne bas de gamme est de retour. L’attaque frontale contre François Hollande sur le thème du menteur n’est qu’un avant-goût de ce qui attend la gauche dans les prochains jours. Le président à bout de souffle n’est jamais aussi bon que quand il est dans les cordes.

Au fond, même si la Cour qui l’entoure à l’Elysée n’ose lui dire l’état de désamour des Français à son encontre, il sent que le pays ne l’aime plus beaucoup. Mais, contrairement à ce que l’on croit, cette situation le dope. Elle ne l’affaiblit pas. Le petit Chose de Neuilly, le Bonaparte du quartier de la Défense, puise son énergie guerrière dans cette posture du mal-aimé. Elle lui fournit une rage, une férocité, un "fighting spirit", comme disent les rugbymen irlandais, sans égale dans la classe politique française.

François Fillon l’avait quasiment théorisé en reconnaissant que son champion l’époustouflait quand il était au combat, et que lui-même n’était pas doté de cette vertu cardinale qu’est la "gnaque", du besoin forcené d’être reconnu et accepté dans la maison France. Fillon avait conclu que Sarkozy était un coq de combat et que la droite avait besoin de cette force pour l’emporter. Ensuite, pour gouverner, c’est autre chose…
Une jubilation enfantine

Cinq ans après, le scénario est le même. Sarkozy, malgré sa victoire, n’a pas cessé de se sentir comme un intrus. Pas seulement à cause de ses origines magyars, mais surtout à cause de sa posture de vilain petit canard des beaux quartiers, donc de la droite traditionnelle.

Incroyable paradoxe : il a retiré son costume de président avec une jubilation enfantine. Là, il retrouve le territoire qu’il préfère : celui de la cour de récréation où plus personne ne vous surveille et où vous pouvez dire des gros mots. Il ne va pas se gêner pour lancer des attaques en piqué en injuriant l’adversaire sans ménagement. Après menteur, il trouvera sans doute le mot "lâche", ou "couard". Il pourra même balancer un "Casse-toi, pauvre con !" à son adversaire sans le moindre état d’âme. La liste va être longue.
Le cancre qui "baise tout le monde"

Pour faire sortir du bois François Hollande, pour lui imposer un combat de deuxième tour avant même le premier n’ait vraiment commencé. Le harceleur textuel n’aura pas le moindre scrupule. Quand il déclare avec un toupet inouï qu’il est le candidat du peuple contre l’establishment, il le pense presque. Le mal-aimé est persuadé que sa particularité politique vient de là : il continue de penser qu’il reste le cancre qui "baise tout le monde" à la fin de la récré.

Mais pourra-t-il longtemps être un dynamitero alors que la crise, elle, ne change pas de costume ? Elle est toujours là, menaçante, lourde et structurelle. Le coup de poker qu’il tente est à très hauts risques. François Hollande ne s’était pas trompé quand il avait prédit le scénario de la campagne de son adversaire, il y a quelques semaines, parlant du rôle de "sale mec" que jouerait son rival de l’Elysée. On y est…


Nouvel obs..

Et si Nicolas Sarkozy perdait l’élection, mais gagnait la campagne ?

LE PLUS. Après l'annonce de la candidature de Nicolas Sarkozy, François Hollande bénéficie-t-il d'un statut de candidat rassembleur ? Le président de la République aura peut-être le temps d'imposer ses arguments en quelques semaines, mais le résultat ne sera pas celui qu'il attend, selon "Le Conseiller", spécialiste en communication qui tient à garder l'anonymat.

Si Valéry Giscard d’Estaing l’avait emporté en 1981, la platitude de son slogan de campagne, "Il faut un président à la France", serait apparue comme une fulgurance à même de reléguer François Mitterrand hors de la présidentialité recherchée. Si Lionel Jospin l’avait emporté en 2002, le fax transmis pour annoncer sa candidature serait aujourd’hui imité dans sa simplicité et dans sa modernité. Si Edouard Balladur l’avait emporté en 1995, on considérerait aujourd’hui que l’annonce matignonesque de sa candidature l’avait largement avantagé face aux autres impétrants.

Mais hélas, l’histoire électorale est toujours écrite par les vainqueurs, et le regard ne se penche jamais avec une parfaite objectivité plastique sur les exercices précédents. Je suis également persuadé qu’il n’y a pas de bonne annonce de candidature. Il ne peut y en avoir que de mauvaises, lorsque le candidat perd finalement l’élection.



Je crois également qu’il ne faut mettre en scène que ses codes personnels pour annoncer sa candidature, et ne jamais imiter. De fait, lorsque François Mitterrand va sur le plateau d’Antenne 2 le 22 mars 1988, l’extrême tension de son annonce ne naît évidemment pas de l’annonce elle-même, mais du contraste entre ce qu’elle transporte (le risque de désunion fratricide de la France au profit des clans, des factions et des partis) et celui qui la porte (un homme à la posture régnante mais qui apparaît dénudé à l’antenne, simple, terrien, évident).



Une campagne courte



A l’inverse, si Nicolas Sarkozy recrée une scénographie analogue, les codes de la simplicité, de l’humilité et du dénuement de l’homme qui règne ne lui vont pas. Et sa parole, emballée, pressée, mordante, crée une dissonance avec le figurant. Que Nicolas Sarkozy ait réussi sa prestation ou pas ne m’importe pas. Je m’interroge en revanche sur la force de son signal dans une campagne courte, qui oblige à la prise de risque et à l’esprit volontaire.



François Hollande a franchi la case "programme exhaustif et universel", et mène aujourd’hui une campagne de précision thématique : l’éducation, la santé, la politique intérieure… Un séquençage peu sophistiqué, sans tension, où le contraste avec un président diviseur lui permet d’apparaître en candidat rassembleur.



Nicolas Sarkozy s’ouvre un chemin très différent. Peu importe le programme, des propositions concrètes et des mesures qui laissent rarement une empreinte durable dans la mémoire de l’électorat. L’annonce d’une campagne "sur des valeurs" lui permet de répondre en creux au jugement que lui adressent les Français : "nous pourrions apprécier ce que tu as fait si tu n’étais pas celui que tu as été". Les valeurs signifient : "je sais, mais je veux vous dire qui je suis, fondamentalement". François Hollande s’arme essentiellement sur le "faire", Nicolas Sarkozy commence sa campagne sur l’"être". "J’ai voulu bien faire", c’est contestable. "Voici ce à quoi je crois au-delà de tout", c’est incontestable, quel que soit le camp où l’on se situe.



Une arrivée peu spectaculaire



Autre différence, Nicolas Sarkozy veut marquer par lui-même les étapes de la campagne. Absent depuis octobre, il a abandonné à François Hollande, à Marine Le Pen et à François Bayrou le tempo de la campagne. Son arrivée, peu spectaculaire et sans effet sur ses intentions de vote, peut précéder une série de déclarations et d’images qui vont scander les moments de la campagne et contraindre ses concurrents à s’aligner sur les séquences qu’il imposera à l’opinion. Cela ira en s’accélérant. Après son entrée en campagne, la deuxième étape tardera un peu. Mais il passera des valeurs ("ce que je suis") à l’intime, une publicité contrôlée de son moi intérieur et non de sa famille ("qui je suis"). Il passera en quelque sorte de l’attribut à l’épithète. Il le fera car nous savons que les Français ne confient pas la clé de la France à un voisin de confiance, mais un ami complice.



Pour cela, il manquera à Nicolas Sarkozy cette figure essentielle : considérer l’autre comme fin et non comme moyen. Le profit personnel que Sarkozy semble tirer chaque jour de l’exercice du pouvoir le dessert. Il faudrait que les Français sentent qu’ils ne sont pas que de la chair électorale, mais l’unique fin de son engagement.



Je ne crois pas que ce fossé pourra être comblé en deux mois. Mais je pense que Sarkozy saura imposer les séquences et les thèmes clivants de cette campagne. Encore une fois, mais pas suffisamment.

A suivre...Nouvel obs..

Pour Choco..

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