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| « Les médisants ressemblent aux malheureux qui n'ont pas eu leur part d'événements et doivent mener aux dépens de leurs voisins une existence parasitaire. »
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Sujet: Légendes urbaines Dim 9 Oct - 16:04 | |
| Une légende très célèbre est celle de Bloody Mary (ou Hell Mary), une entité sanglante qui apparaîtrait dans les miroirs lorsqu'on l'invoque. Ses origines sont mystérieuses : pour certains, c'est la Vierge Marie qui vient vous avertir de ne pas se moquer d'elle, pour d'autres c'est une femme morte dans un accident de voiture avec son enfant, ou encore une sorcière, brûlée vive, qui jeta une malédiction sur les villageois et qui hante les miroirs pour attaquer ceux qui seront assez fous pour l'invoquer. Une autre version soutien que c'est une jeune femme, trompée par son mari, qui s'est suicidée dans sa salle de bain. Le miroir aurait alors aspiré son esprit et elle viendrait prévenir celles qui seront victimes d’infidélités. Sont aspect serait celui d'une belle jeune femme, mutilée et recouverte de sang, dont les yeux haineux vous toisent avec mépris. Pour l'invoquer, plusieurs façons existent, mais la plus répandue est la suivante : -Le soir, seul(e), à minuit de préférence, placez vous devant un miroir (dans la salle de bain par exemple) et disposez deux cierges de chaque côtés de celui-ci (toutes les lumières doivent être éteintes). -Répétez 13 fois Bloody Mary (ou 3 fois celon certaines versions) tout en tournant sur vous même et en fixant votre reflet dans la glace lorsque vous passez devant. Commencez par chuchoter son nom, puis dites le de plus en plus fort, jusqu'à le crier. Si à la treizième fois vous criez "Bloody Mary, I killed your baby" (Bloody Mary, j'ai tué ton bébé), celà déclenchera la colère de l'esprit, et une attaque immédiate. En remplaçant le nom de Bloody Mary par celui de Hell Mary, c'est Satan qui apparaîtra dans le miroir... Cette légende est tellement répandue aux Etats-Unis qu'un essai fut écrit. Le film Candyman est d'ailleurs tiré de cet essai. Plusieurs personnes voulurent faire cesser cette légende en tentant l'invocation : une jeune femme, le lendemain de cette invocation, était tellement bouleversée qu'on ne su jamais ce qui s'était passé, une autre s'est cassée la hanche en sortant de sa salle de bain après avoir crié "Je ne crois pas en toi, Bloody Mary !", une dernière, célibataire, tenta l'expérience après avoir prévenu la police et son entourage. Le lendemain, on la retrouva poignardée dans sa salle de bain... Source > [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Dernière édition par Sarah le Lun 10 Oct - 18:04, édité 2 fois |
| Invité | | | Sujet: Re: Légendes urbaines Dim 9 Oct - 16:05 | |
| Le ClownUn couple décide d'aller à une soirée, et appelle donc une baby-sitter pour surveiller leurs enfants. Lorsqu'elle arrive, les parents, pressés, lui expliquent que les petits sont couchés, qu'elle peut se servir dans le frigidaire et s'en vont. La baby-sitter visite donc rapidemment la maison seule, vérifie que les enfants dorment bien dans leurs chambres, puis va chercher quelque chose à manger dans la cuisine. A ce moment là, à la soirée, la mère se rend compte qu'elle a oublié de donner son numéro à la jeune fille. Elle l'appelle et le lui fait noter. A ce moment, le baby-sitter demande si elle peut déplacer ou recouvrir la statue de clown qui est dans le salon car elle la rend mal à l'aise. La mère lui ordonne alors : "Sort vite de la maison avec les enfants, nous n'avons pas de statue de clown ! " Elle appelle ensuite la police, qui arrive à capturer la "statue" , alors qu'elle essayait de s'enfuir. C'était en fait un tueur fou connu de leurs services qui avait déjà tué plusieurs personnes dans le quartier... La baby-sitter, elle, a réussi à s'enfuir avec les enfants mais est à tout jamais traumatisée par cette histoire... Source > [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] |
| Invité | | | Sujet: Re: Légendes urbaines Dim 9 Oct - 16:07 | |
| Le Chien fidèle Ce soir, Louise, dans sa chambre, est seule chez elle. En effet, Nathan, son petit ami, est en déplacement sur Paris pour son travail. Pendant leurs deux ans de vie commune, il l'a déjà laissée seule plusieurs fois dans leur appartement, mais cette fois ci, Louise n'est pas rassurée. Après tout, pourquoi ce ferait-elle du soucis ? Nathan reviens dans deux jours, et de toute façon son chien aboierait si qui que ce soit approchait. Si qui que ce soit approchait ? Mais qui pourrait bien approcher, puisqu'elle vit au 5ème étage d'un immeuble ? Elle a beau essayer de se convaincre elle-même, la jeune femme ne peut s'empêcher de jeter fréquemment des coups d'oeil dans les recoins les plus sombres de la pièce, sait-on jamais. "Si seulement je pouvais ne pas être seule dans la chambre cette nuit..." pense-t-elle sombrement. Soudain, une idée lui traverse l'esprit : et si elle dormait avec son labrador ? Même si Nathan s'oppose fermement à ce que le chien traîne dans leur chambre, c'était juste pour une nuit, pour se rassurer... Et puis ce qu'il ne sait pas ne peut pas lui faire de tort, n'est-ce pas ? Une fois décidée, Louise appelle son compagnon à quatre pattes, qui, tout heureux, s'approche en remuant la queue. "Viens là, bon chien, tu vas dormir avec maman cette nuit, hein ? Oui, brave bête, assis-toi là..." Une fois le joyeux labrador confortablement installé sur la couette, Louise se sent mieux. Tout en caressant son chien, elle saisit la télécommande sur la table de chevet, et allume, d'un pression du doigt sur le bouton rouge, le petit poste de télévision en face d'elle. L'écran s'allume sur l'image d'un homme en cravate assis derrière un bureau. Louise est surprise. En effet, le journal télévisé devrait être fini depuis bien longtemps. " Hier soir, un des résident de l'hôpital psychiatrique s'est échappé. Il souffre de nombreux problèmes mentaux, et est potentielement dangereux. Il était placé sous haute surveillance avant son évasion. Il doit être retrouvé au plus vite. Si vous l'apercevez, ne tentez rien et appellez au plus vite la police." Le message emplit d'effroi Louise, et fait revenir l'angoisse qu'elle avait réussi à chasser un peu plus tôt. Elle éteint la télévision d'un coup de télécommande et se blottit sous sa couette. La chambre paraît bien noire, sans la lumière du petit poste pour l'éclairer. Heureusement, son chien à ses côtés la rassure un peu, et fatiguée, elle finit par s'endormir. Dans la nuit, dans un demi-sommeil, il lui semble entendre d'étranges bruits venant du couloir et de la salle de bain. Elle tend sa main vers son chien, qui lui répond en la lui léchant affectueusement. Le lendemain matin, elle ne s'étonne pas de trouver la place vide à côté d'elle, son labrador étant particulièrment matinal. Elle marche en baillant dans la direction de la salle de bains, mais s'arrête net, figée. Son chien était étendu, mort, sur le sol, dans un bain de sang. Sur le grand miroir, en face, était écrit, à l'aide d'un liquide rouge qu'elle ne tarda pas à identifier : "Les hommes aussi peuvent lécher" Source > [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] |
| Invité | | | Sujet: Re: Légendes urbaines Dim 9 Oct - 16:08 | |
| Le Fauteuil roulantUn soir, Jessica regardait tranquilement la télévision, confortablement installée dans le canapé du salon. Ses parents étant à une soirée, elle avait décidé d'en profiter. Malheureusement, c'était sans compter sur sa petite soeur Léa, 5 ans, qui était elle aussi à la maison. En effet, depuis le début de la soirée, la petite était descendue de sa chambre pour voir sa grande soeur trois fois : la première fois car elle avait soif, la deuxième parcequ'elle voulait qu'elle lui raconte une histoire, et la troisième car elle avait vu un "grand bonhomme noir" dans le jardin. Jessica, patiente, avait été chercher un verre dans la cuisine, avait lut à Léa Blanche-Neige et les 7 Nains, et avait fait le tour du jardin trois fois avant d'affirmer qu'il n'y avait aucun "grand bonhomme noir". Une fois cette inspection terminée, elle avait recouché sa soeur en lui disant que maintenant, il fallait dormir. Elle était donc installée depuis dix minutes, quand soudain : "Jessica ?" Avec un soupir, elle se retourna et vit sa petite soeur, les yeux ensomeillés et son doudou à la main, derrière le canapé. Elle lui fit signe de la rejoindre, la petite s'installa dans le canapé et se blottit contre elle. "Qu'est ce qu'il y a encore ? lui demanda sa grande-soeur. -J'ai fait un cauchemar. -Je t'ai déjà dit qu'il n'y avait personne dans le jardin." Soudain, le film que regardait Jessica s'interrompit, et laissa place à un homme en costume : "Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, bonsoir, je suis navré d'interrompre votre programme, mais l'hôpital psychiatrique de la région nous signale à l'instant l'évasion d'une folle extrêmement dangereuse, coupable de 6 meurtres d'une grande violence, qui n'a pas été incarcérée mais placée, au vu de son état mental. Elle est cul-de-jatte et se déplace en fauteuil roulant. Si vous l'apercevez, ne vous approchez surtout pas, ne tentez rien et appelez immédiatement la police qui interviendra le plus rapidement possible. Barricadez-vous, et prévenez votre entourage. Merci de votre attention." Jessica blêmit. En effet, l'hôpital se trouvait à quelques rues de chez elle seulement. Elle était tétanisée. Puis soudain, elle se reprit. Elle se leva, ferma les volets du salon, se rendit dans la cuisine où elle tira les rideaux de la baie vitrée, faute de mieux, inspecta la fenêtre de la chambre de ses parents, verrouilla la porte d'entrée et monta à l'étage où elle referma les fenêtres de la salle de bains et de la chambre de sa soeur, qui étaient entrouvertes. Une fois qu'elle eut terminée, elle coucha sa petite soeur et se mit elle même au lit. Quelques minutes plus tard, elle entendit frapper à sa porte : une fois de plus c'était Léa, qui voulait dormir avec elle. Jessica accepta. Quelques minutes plus tard, la petite lui annonça qu'elle allait dormir sous le lit, pour que la folle ne la trouve pas. Elle n'y fit pas attention. Dans la nuit, à moitié endormie, elle entendit des bruits étranges, suivis de frottements... Le lendemain matin, quand elle se leva, elle descendit directement au rez-de-chaussé pour voir ses parents. Elle entra dans la salle à manger et vit son père assis devant son petit déjeuner, en train de lire le journal. Elle le salua et commença à lui raconter les évènements de la veille. Constatant qu'il ne répondait pas, Jessica s'approcha et lui enleva son journal des mains. Il était décapité ! La jeune fille étouffa un cri d'horreur. En pleurs, elle appela sa mère, et courut dans la cuisine, où elle trouva la baie vitrée en morceaux et un fauteuil roulant renversé... Elle se dirigea donc vers la salle de bain : sa mère était là, dans la baignoire, dans son propre sang. Puis, elle pensa à sa sœur, et grimpa quatre à quatre les escaliers. Elle ouvrit la porte de sa chambre et se précipita pour regarder sous son lit : sa petite sœur était bien là, éventrée... A côté d'elle se trouvait deux couteaux, et elle comprit alors les étranges bruits de la nuit : la folle s'était servi de son fauteuil pour briser la vitre, et s'était déplacée à l'aide de ses couteaux, en les plantant dans le sol et en se tirant... Source > [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] |
| Invité | | | Sujet: Re: Légendes urbaines Dim 9 Oct - 16:09 | |
| La Vieille Dame et son chien Un soir d'hiver, une veille dame seule chez elle, lit tranquilement un livre sur son fauteuil préféré, son chien assis à ses pieds. Elle le caresse doucement lorsqu'elle entend un bruit d'eau qui coule. Elle se lève, va dans la cuisine et voit le robinet qui goutte. Elle le ferme et retourne s'asseoir, à côté de son chien et reprend son livre. Quelques minutes plus tard, elle entend de nouveau le bruit d'eau, qui vient de la salle de bain. Elle va donc voir. Elle trouve le robinet qui coule goutte à goutte... Elle le referme et retourne dans son fauteuil, et caresse son chien. Alors qu'elle est plonge dans son roman, elle entend encore une fois le bruit. Elle va voir dans la cuisine, le robinet est fermé. Elle va aux toilettes et vérifie la chasse d'eau, rien. La vieille dame va alors dans la salle de bain mais le robinet est bel et bien fermé. Elle est pourtant persuadée que le bruit vient de là. Elle se retourne et écarte le rideau de sa baignoire. Elle voit alors son chien, égorgé, pendu par les pattes, et dont le sang coule goutte à goutte au fond de la baignoire.... Source > [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] |
| Invité | | | Sujet: Re: Légendes urbaines Dim 9 Oct - 16:11 | |
| La poupéeSamedi après-midi, Mme Julie décide d'enmener sa fille au marché aux puces. En se prommenant dans les allées, la fillette remarque une jolie poupée de porcelaine, en bon état, et la réclame à sa mère. Mme Julie demande le prix au vendeur et achète la petite poupée à sa fille. De retour chez elle, la fillette commence à jouer avec sa nouvelle poupée, une jolie poupée en robe rose, aux yeux bleus et aux cheveux blonds. Dans une main elle tiens une jolie ombrelle, et l'autre a deux doigts levés. La mère, qui a d'autres courses à faire, laisse sa fille seule chez elle environ une heure, le temps d'aller au supermarché du coin. La petite reste alors seule dans sa chambre, à jouer avec sa poupée. Soudain, elle entend le téléphone sonner et descend dans la salle à manger pour répondre. "Ne joue pas avec ta poupée après minuit !" lui ordonne une voix avant de raccrocher. Effrayée, la petite fille retourne dans sa chambre et range sa poupée au fond de son coffre à jouets. Sa mère rente un peu plus tard, et la petite fille ne lui parle pas du coup de téléphone, ni de sa poupée. Une semaine se passe sans aucun problème, jusqu'au samedi suivant. En effet, Mme Julie est invitée à une soirée, et, comme elle n'as pas trouvé de baby-sitter, décide de laisser sa petite seule chez elle. Elle pars donc en voiture, et passe la nuit à cette fameuse soirée. Lorsqu'elle rentre, à une heure du matin, elle décide d'aller voir dans la chambre de sa fille si elle dors. Elle ouvre la porte et pousse un cri. Sa fille est allongée sur le sol, égorgée. Le coffre à jouets est ouvert, et à côté de lui se trouve la poupée de porcelaine. Malgrè une enquête, la police n'as trouvé de traces ni d'effraction, ni du meurtrier. La mère, folle de douleur, décida de revendre la poupée de sa petite fille, qui avait désormais trois doigts de levés... Source > [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] |
| Invité | | | Sujet: Re: Légendes urbaines Dim 9 Oct - 16:12 | |
| La jeune filleUn soir, Cédric, alors qu'il vient de ramener sa copine chez elle en moto, aperçoit sur le bord de la route une jeune femme faisant du stop. Il décide de la prendre avec lui. Comme il fait froid, et qu'il est galant, il lui prête sa veste. Pendant la route, elle parle très peu, se contentant de lui indiquer son adresse et de répondre à ses questions par monosyllabes. Ils arrivent alors devant chez elle. Cédric gare sa moto et lui souhaite une bonne soirée. L'étrange jeune fille répond par un signe de tête et empreinte l'allée qui mène à sa maison. Cédric l'observe jusqu'à ce qu'elle rentre chez elle, puis redémarre. Soudain, il réalise qu'il a oublié de récupérer sa veste. Il est tard, il est déjà loin de la maison de le jeune fille, il est fatigué, alors il décide de repasser le lendemain. Il rentre chez lui et monte se coucher. Le lendemain, comme prévu, en début d'après midi, il retourne à la demeure de la jeune femme. Il se gare, remonte l'allée et sonne. Une femme assez âgée lui ouvre et lui demande ce qu'il veut. Il lui explique qu'il a laissé une jeune fille ici la veille, et qu'elle a oubliée de lui rendre sa veste. La vieille femme, intriguée, lui demande de patienter quelques instants et entre dans sa maison. Plusieurs minutes plus tard, elle revient avec une photo et lui demande si c'est bien elle qu'il a raccompagnée. Cédric acquiesce. Etonnée, elle lui demande si il est certain que c'est cette jeune fille. Cédric lui affirme que c'est bien elle. Elle lui explique alors que cette jeune femme est sa fille, et qu'elle est morte d'un accident de moto il y a un an exactement, près de l'endroit où il l'a prise en stop. Secoué, Cédric rentre chez lui, puis sur le chemin, il décide d'en avoir le coeur net, et bifurque vers le cimetière municipal. Là il cherche la tombe de sa passagère. Au détour d'un allée, il la trouve, et là a son grand étonnement, sa veste est posée dessus... Source > [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] |
| Invité | | | Sujet: Re: Légendes urbaines Dim 9 Oct - 16:13 | |
| Le PuzzleSamedi matin, Lucie reçoit un colis par la poste, mais il n'y a pas de nom d'expéditeur dessus. Intriguée, elle l'ouvre et découvre la boîte d'un puzzle de 500 pièces. Elle réfléchit quelques instants à la personne qui aurait pu lui envoyer ce cadeau, et en conclut que c'est surement sa tante, passionée de puzzles, qui avait du oublier d'écrire son adresse. Elle pose la boîte sur la table de la cuisine et n'y pense plus de la journée. Le soir, elle rentre chez elle, mange, et décide de commencer ce fameux puzzle. Elle s'installe dans son salon et se met au travail. Après quelques minutes, elle a réussi à reconstituer le cadre. Une demi-heure plus tard, le puzzle est déjà bien entamé. Au bout de trois quarts d'heure, elle commence à comprendre ce qui est représenté et s'arrête net : le puzzle représente son salon, et elle même, comme un miroir. Intriguée, elle continue le puzzle, qui représente bel et bien Lucie. Son visage prend forme, ainsi que ses mains, puis les meubles derrière elle, et enfin la fenêtre. Il ne lui reste plus qu'une pièce à mettre, au niveau de la fenêtre : le visage effrayant d'un homme qui l'observe... Source > [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] |
| Invité | | | Sujet: Re: Légendes urbaines Dim 9 Oct - 16:15 | |
| Jeune Femme BattueDidier a emménager, il y a quelques semaines, dans un petit appartement en banlieue. Un soir, vers minuit, une jeune femme frappe à sa porte. Elle lui explique que son compagnon l'a battue, qu'elle ne saît pas où dormir ce soir, et qu'elle doit contacter sa famille demain. Didier constate que la jeune femme a quelques bleus au visage, et elle paraît fatiguée. Il lui propose donc de passer la nuit chez lui. Il lui improvise un lit sur le sofa avec un oreiller et quelques couvertures et lui souhaite un bonne nuit. Le lendemain matin, quand il entre dans son salon, la jeune femme n'est plus là. Il se dit qu'elle a du contacter sa famille et ne s'inquiète pas. Pourtant, le soir, à la même heure, le demoiselle frappe à nouveau chez lui. Elle lui raconte la même histoire et Didier s’aperçoit qu'elle a de nouveaux bleus, et paraît plus exténuée et amaigrie. Il accepte donc de l'héberger une nuit de plus. Au matin, la jeune femme a disparue. Et le soir, on frappe de nouveau à sa porte à minuit. Tous les soirs, pendant deux semaines, le manège continue. Réellement inquiet pour la jeune femme qui revient chaque soir un peu plus blessée, Didier raconte son histoire au commissariat. Les policiers paraissent surpris et lui montre une photo de la jeune femme. Didier reconnaît sa mystérieuse invitée. L'agent lui explique alors qu'elle est morte il y a un an, dans son appartement, sous les coups de son conjoint. Source > [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] |
| Invité | | | Sujet: Re: Légendes urbaines | |
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