L’Espagne passe au rattrapage (1:2)
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L’Espagne s’est imposée sur le Chili dans le dernier match du Groupe H de la Coupe du Monde de la FIFA 2010 au Loftus Versfeld Stadium de Pretoria. Les Sud-Américains sont également qualifiés grâce au nul de la Suisse face au Honduras.

Les deux formations entraient bien dans la partie et n’attendaient pas longtemps pour s’illustrer. Fernando Torres, qui n’a pas encore laissé sa marque en Afrique du Sud, faisait entendre sa voix par deux fois mais soit il tirait à côté, soit c’était contré (3’, 4’). Il a toutefois eu son mot à dire sur les deux premiers buts espagnols, conclus par d’autres de ses petits camarades.

Buts d'école
Sur le premier, l’attaquant de Liverpool était lancé par Joan Capdevila sur le côté gauche. Le gardien chilien aurait dû s’abstenir de sortir à une vingtaine de mètres de ses buts puisqu’un défenseur collait au short d'El Niño. Mais Claudio [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] taclait le ballon dans les pieds de David Villa qui, sans contrôle, tirait dans le but vide des 35 mètres. L’Espagne prenait l’avantage et la tête du groupe ! (24’, 0:1).

Andres Iniesta, Torres et Villa travaillaient en trinôme sur le deuxième but et rendaient une copie parfaite. Iniesta était à l’origine et à la conclusion du travail, d’une frappe joliment placée (37’, 0:2). Le Blaugrana inscrivait par la même occasion le 100ème but d’Afrique du Sud 2010. Sur la même action, Marco Estrada faisait un croche-patte de cours d’école à Torres, ce qui lui valait un deuxième carton jaune et la Roja devait terminer à dix. Après cela, l’ancien capitaine de l’Atlético de Madrid restait dans son coin puis Vicente Del Bosque lui donnait un bon de sortie, l’attaquant étant visiblement gêné par un mollet douloureux.

Les Chiliens n’avaient pourtant pas chômé entre-temps. Mark Gonzalez était servi trop en arrière, Estrada frappait de loin et Alexis Sanchez essayait le lober Iker Casillas. Et alors qu’ils étaient coincés au fond de la classe, les hommes de Marcelo Bielsa levaient le doigt pour tenter de donner la réponse aux Espagnols.

Au piquet
C’est Rodrigo Millar, entré au début de la deuxième période, qui trouvait la solution, même si Gerard Piqué lui soufflait la réponse en déviant la frappe dans ses propres filets pour prendre à contre-pied le délégué de classe Casillas (47’, 1:2). Les Espagnols tentaient d’obtenir la mention bien en deuxième période puis se contentaient de gérer le résultat.

Les Chiliens ont eu chaud mais se qualifient quand même car la Suisse a obtenu un zéro pointé dans l’autre match. La Furia Roja se remettra au travail contre le Portugal lors des huitièmes de finale, qui verront également le Chili rencontrer le Brésil.

Source: fifa

Les Suisses muets et éliminés (0:0)
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Pour avoir une chance de se qualifier pour le deuxième tour, la Suisse devait d’abord s’imposer contre le Honduras avant de tendre l’oreille vers le match entre le Chili et l’Espagne. Il aurait pu se passer n’importe quoi à Tschwane/Pretoria, ça n’aurait rien changé puisque les Helvètes n’ont pas été capables de trouver l’ouverture ce vendredi 25 juin à Bloemfontein.

Les deux équipes terminent donc aux deux dernières places du Groupe H de la Coupe du Monde de la FIFA 2010, et n’ont pas vraiment affiché de réelle volonté de prétendre à mieux. Dans une première période ou les maladresses succédaient aux mauvais choix, la première erreur était signée Gokhan Inler. Profitant des appels de ses attaquants, le milieu de terrain suisse tentait sa chance tout seul et oubliait Blaise Nkufo seul à sa gauche (8’). Tranquillo Barnetta se montrait ensuite plus précis que son capitaine, mais Noel Valladares bloquait son tir avec rebond en deux temps (22’). Apèrs vingt minutes d’approximations et de débats musclés au milieu de terrain, c’est encore la Suisse qui se procurait la dernière occasion, mais Nkufo perdait son duel aérien avec le défenseur Osman Chavez (45’).

Le coffre-fort était hondurien
La deuxième période démarrait mal pour les Européens, qui non seulement apprennaient que le Chili avai réduit le score face à l’Espagne (1:2) mais qui en plus voyaient leur défenseur Stéphane Grichting rester de longues minutes au sol après un choc. Et ça aurait pu encore plus mal tourner si David Suazo, idéalement servi par Alvarez, n’avait pas trop croisé sa tête ! (53’) Presque sonnée, la Nati repartait à l’attaque avec Barnetta à la conclusion d’un contre, mais sa frappe enroulée était bloquée en deux temps par Valladares (60’). Trois minutes après, Eren Derdiyok se procurait la copie conforme mais ne trouvait que les gants de Valladares (63’).

Les Catrachos en avaient encore sous le capot et lançaient une contre-attaque supersonique conclue par une passe millimétrée de Suazo pour Alvarez, mais Diego Benaglio s’envolait pour préserver les chances de qualification de la Suisse (70’). Vingt minutes seulement… Car dans le temps restant, ni Alexander Frei (71’, 75’), fraîchement entré en jeu, ni Stéphane Lichtsteiner de loin (80’) ne parvenaient à faire sauter le verrou hondurien.

Trahie par son attaque, la Suisse pourra s’en vouloir de ne pas avoir réédité face au Chili et au Honduras, sa superbe performance qui l’avait vu faire chuter les favoris espagnols en ouverture. Le Honduras, lui, décroche son premier point du tournoi et peut se vanter d’avoir échappé aux trois corrections que tout le monde lui prédisait.

Source Fifa

L'Espagne assure le coup
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Grace au sixième but en Coupe du monde de David Villa (record espagnol), l'Espagne s'est parfaitement lancée face au Chili.(REUT)

Favorite au sacre avec le Brésil et l'Argentine, l'Espagne monte incontestablement en puissance et elle a livré ce vendredi au Loftus Versfeld de Pretoria sa prestation la plus aboutie depuis le début de ce Mondial. La sélection de Vicente Del Bosque devait gagner pour assurer sa qualification. Mission accomplie face à une équipe du Chili étonnante jusque-là, mais dominée sur cette affaire (2-1). En raison du match nul entre la Suisse et le Honduras (0-0), les deux Rojas se qualifient ainsi pour les huitièmes de finale. Grâce à sa première place, l'Espagne affrontera son voisin le Portugal, et évite surtout le Brésil, prochain adversaire des hommes de Marcelo Bielsa, lundi à Johannesburg.

L'Espagne a bien fait de se mettre à l'abri lors d'une première période certes tendue mais bizarrement plus ouverte. La lumière est une nouvelle fois venue de l'étincelant David Villa. Le nouvel attaquant du Barça a ouvert le score dès la 25e minute d'un astucieux lob de 30 mètres. Il a signé du même coup son 41e but en équipe nationale en 60 sélections et est devenu le meilleur buteur espagnol en Coupe du monde avec six réalisations (3 en 2006 et 3 en 2010). Le deuxième éclair a été l'oeuvre d'Andres Iniesta. De retour dans le onze type après avoir été ménagé face au Honduras, le Catalan a conclu d'un plat du pied instantané une belle action collective qu'il avait initiée (37e).

A dix contre onze suite à l'expulsion d'Estrada (38e), le Chili ne s'est malgré tout pas démonté. Il a réduit la marque dès le retour des vestiaires par Rodrigo Millar, lequel venait de faire son apparition sur la pelouse. Son tir dévié par Piqué a trompé un Casillas impuissant (47e). Une défaite, au final, sans conséquence. Merci la Suisse. Ou plutôt le Honduras. - D. Mi., à Pretoria
Source: l'équipe

La Suisse en toute neutralité

La Suisse est éliminée dès le premier tour de la Coupe du monde après son nul (0-0) contre le Honduras.
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Incapable de battre le Honduras, la Suisse quitte la Coupe du monde dès le premier tour.(REUT)

La mission de la Suisse n'avait pourtant rien d'impossible. Il suffisait aux hommes d'Ottmar Hitzfeld de marquer deux buts contre le Honduras vendredi pour se qualifier en huitièmes, puisque l'Espagne avait fait le boulot de son côté en battant le Chili (2-1). Las, Eren Derdiyok et consorts ont été incapable d'en marquer un petit à l'équipe la plus faible du groupe H et quittent la compétition sur un match nul et vierge (0-0).

Il ne faut pas aller chercher d'explication très loin : contrairement à ses deux précédents matches, la Nati devait prendre le jeu à son compte et ne pas se contenter de défendre et d'espérer un contre salutaire, comme ce fut le cas contre l'Espagne (1-0). Et dans ce genre de situation, les limites de la bande à Hitzfeld ont été criantes, tant elle a été incapable d'emballer ce match. Les Suisses se sont pourtant procurés plusieurs occasions, par Derdiyok (16e), Nkufo (27e) ou Frei (74e), mais ils n'ont jamais cadré leurs frappes.

Face à tant de stérilité, les Cuatrachos ont logiquement pris confiance et se sont même procurés les occasions les plus dangereuses : Suazo et Welcome ont manqué le cadre d'un rien (53e et 90+1) alors qu'Alvarez a buté sur Benaglio (72e). La Suisse est donc éliminée de ce Mondial dès le premier tour, alors qu'elle avait toutes les cartes en main. - A.D.

Source: l'équipe

Mais pas grave, il reste encore l'Espagne [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Sdlt, pour éviter de surcharger ce topic en articles sur l'équipe de France un topic: le grand déballage est là. Ce topic est ouvert pour cela, alimentons-le pour tenir au courant les intéressés.
Oui, bye bye les p'tits suisses [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

ha ok merci bichomalo car je ne savais pas

bravo au portugal

fais iech,le portugal affronte le portugal!!!!!!

alfredo a écrit:

ont n a rien appris sur l équipe de france , les revélation sont bidon

et ils font leurs intew de l étranger, c est vraiment nul

sur tf1 c est de l espagne qu il exprimé

ont sera jamais rien de la débacle des bleus

ils faut arréter de croire au pere noel

Il y a un topic ouvert pour y trouver ce qui se raconte autour de l'équipe de France. Cela s'appelle "le grand déballage"

au revoir les petits suisses....

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21:21 - Foot - CM - BRE - Dunga : «On a été plutôt bons»

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Dunga «pas content» de la prestation du Portugal, son adversaire. (REUT)

Premier du groupe G devant le Portugal, le Brésil de Dunga affrontera le second du groupe H. Le temps d'une mise au point du sélectionneur, après l'ultime rencontre de la phase de poules.
«Dunga, pourquoi le Brésil a-t-il été aussi nerveux ?
Il faut poser cette question à nos adversaires. Nous on était déjà qualifiés alors que le Portugal ne l'était pas. On a essayé d'attaquer même lors des quinze dernières minutes mais le Portugal ne voulait pas attaquer. Il était là juste pour défendre. Il voulait ce nul, il a adopté une tactique en conséquence. Je ne suis pas content. Les Portugais ont défendu en reculant depuis leur milieu de terrain. Du coup, cela a été très difficile pour nous de pénétrer leur défense et on n'a eu que trois ou quatre opportunités. On a bien essayé de jouer sur les côtés mais notre volonté de gagner à tout prix nous a empêchés de bien transmettre le ballon. La qualité de nos passes en a souffert. Cette possession de balle est l'une des caractéristiques de notre jeu. Nous, on a besoin de garder la balle pour fatiguer l'adversaire.

Pensez-vous que vos absences ont pesé lourd ?
Même si Kaka et Elano sont exceptionnels, on aurait eu aussi du mal avec eux vu comment le Portugal a joué. Robinho aussi aurait souffert car le jeu était très fermé. Lui, c'est plus un dribbleur alors que Nilmar est un attaquant rapide. Comme il était un peu blessé, on a décidé de ne pas l'utiliser mais on devrait pouvoir compter sur lui dès le prochain match. Elano aussi devrait être capable de jouer. Le docteur m'a dit d'être prudent et de ne pas faire appel à eux.

Quel bilan dressez-vous de votre premier tour ?
On a fait ce qu'on avait à faire en termes de résultats et du point de vue des performances collectives, on a été plutôt bons». (AFP)

19:36 - Foot - CM - Gr. H - En 4-3-3 avec Iniesta

Vicente Del Bosque a décidé de reconduire sa formation en 4-3-3, un schéma qui a plutôt réussi lors de la précédente journée face au Honduras (2-0). Dans le trio d'attaque, Iniesta, remis de sa gêne, occupera le flanc droit tandis que David Villa, qui a donné entière satisfaction contre le Honduras en inscrivant le doublé, sera placé sur la gauche. Fernando Torres est en pointe. Au milieu, Xavi et Xabi Alonso seront accompagnés de Sergio Busquets. Derrière, pas de changement.

Du côté du Chili, Suazo n'est pas tout à fait remis et doit céder sa place à la pointe de l'attaque à Valdivia. Compte tenu des suspensions de Carmona et de Matias Fernandez, Estrada et Mark Gonzalez occuperont l'entrejeu avec Jara.
Chili : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] (cap.) - Isla, Medel, Ponce, Vidal - Jara, Estrada, M. Gonzalez- Sanchez, Valdivia, Beausejour

Espagne : Casillas (cap.) - Sergio Ramos, Puyol, Piqué, Capdevila - Xabi Alonso, Sergio Busquets, Xavi - Iniesta, Villa, Torres

19:03 - Foot - CM -CIV - Eriksson : «Un très bel avenir»

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Sven-Göran Eriksson quitte la sélection des Eléphants, confiant pour son avenir. (EQ)

Éliminée de la compétition malgré une victoire face à la Corée du Nord (3-0), la Côte d'Ivoire repart la tête haute. Son sélectionneur, Sven-Göran Eriksson s'exprime, rappelant que son mandat est bel et bien terminé.
«Vous étiez confrontés à l'obligation de passer 7 buts ou plus à la Corée du Nord. Etait-ce mission impossible?
Il aurait fallu qu'on marque plus vite pour les désorganiser. Mais ils ont gardé leur discipline, leur organisation. On s'est créé beaucoup d'occasions, et je ne peux pas être négatif sur ce match, au contraire. La Côte d'Ivoire a une belle équipe et un très bel avenir. Il est impossible qu'il n'en soit pas ainsi. Il y a des jeunes pleins de talent qui montent, qui poussent derrière. Dans quatre ans, pour la prochaine Coupe du monde, ils seront là mais il restera aussi plusieurs des joueurs qui étaient là cette année. Donc je pense que l'avenir est brillant.

Y a-t-il des choses que vous auriez pu faire différemment pour vous qualifier?
Oui, on aurait pu prendre un peu plus de risques dans les dix ou quinze dernières minutes contre le Portugal. On aurait pu marquer, c'est sur ce match là qu'il peut y avoir un regret. Mais, en même temps, contre le Portugal, vous ne sortez pas en lançant toute l'équipe à l'attaque pour gagner à tout prix. Si vous laissez des espaces, en face il y a un gars qui s'appelle Ronaldo... C'était vraiment très difficile. En plus, on ne pouvait pas imaginer que la Corée du Nord prendrait sept buts contre le Portugal, surtout après les avoir vu tenir tête au Brésil. C'est un résultat irréel!

Allez-vous rester sélectionneur de la Côte d'Ivoire?
Non, il n'en a jamais été question. Quand j'ai accepté ce travail, il était très clair que ce serait jusqu'à la fin de notre Coupe du monde, et c'est aujourd'hui. Maintenant, je vais sans doute rester quelques jours pour voir des matches, puis je vais prendre des vacances. Mais je suis très content de cette mission. Parce que cette équipe s'est améliorée au fil du temps. Elle l'a montré tout au long de ces trois matches. Elle a acquis de la discipline, de l'organisation. Ces joueurs sont bons, ils écoutent, ils veulent apprendre, travailler. J'ai passé des semaines fantastiques avec cette équipe.» (AFP)

18:29 - Foot - CM - BRE - J. Cesar : «Le Brésil est prêt»

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Julio Cesar, le gardien du Brésil : «Une étape plus compliquée commence». (REUT)

Julio César (gardien du Brésil) : «Le Portugal a encore une fois joué derrière et en contre-attaque avec Cristiano Ronaldo et Simao qui sont des joueurs rapides. On était dans un groupe difficile mais ça nous a souri. Maintenant, une étape plus compliquée commence, mais j'ai la certitude que le Brésil est prêt. (à propos de son dos) Tout va bien. Je porte une protection seulement parce que je me sens plus rassuré avec».

Lucio (défenseur et capitaine du Brésil) : «On savait qu'il n'y aurait pas beaucoup de spectacle puisque les deux équipes étaient déjà qualifiées (Le Portugal n'était pas mathématiquement qualifié avant le match, mais en position très favorable, ndlr). (sur le fait que l'homme du match soit Cristiano Ronaldo) C'est quelque chose de la FIFA. On sait quel joueur c'est, et aussi que dans le football il n'y a pas de justice. (sur les nombreux cartons jaunes) On savait qu'il y aurait beaucoup de contacts, avec deux équipes très déterminées. Ce fut un match dur, mais correct». (AFP)

18:24 - Foot - CM - POR - Queiroz : «Brillants»

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Carlos Queiroz, satisfait de ses protégés. (REUT)

Carlos Queiroz (sélectionneur du Portugal) : «On a fait un bon match, l'équipe a été fantastique. Tous les joueurs ont été brillants, dans leur manière de presser et de jouer. On s'est qualifié avec du mérite, et je m'attends désormais à des tours à élimination directe complètement différents. Le Brésil est rentré fort dans le match, mais à la fin on est tous contents. On ne sait pas qui on rencontrera en 8es de finale, mais la seule chose de sûre, c'est qu'en finissant deuxièmes, on a quatre jours pour se reposer».

Simao (attaquant du Portugal) : «On savait que le Brésil était très fort, mais on a été bien, on a pratiqué notre jeu, on a eu des occasions et on se qualifie. Je préfèrerais qu'on évite l'Espagne, qui a une sélection fantastique, mais il faut qu'on pense à nous, et finalement peu importe qui on rencontrera». (AFP)

18:08 - Foot - CM - Gr. G - La Côte d'Ivoire trop juste

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Dominateurs de bout en bout, les Eléphants de Didier Drogba se sont imposés avec la manière face à la Corée du Nord (3-0). Insuffisant pour rêver à l'exploit, mais la Côte d'Ivoire et son capitaine quittent la Coupe du monde la tête haute. (REUT)

L'Afrique n'aura donc qu'un seul représentant dans ce qui devait être «sa» compétition. La Côté d'Ivoire, malgré son succès face à la Corée du Nord (0-3), n'a pu réaliser l'impossible.
Cela aurait tenu du miracle. La Côte d'Ivoire se devait de rattraper un déficit de neuf buts, après la démonstration des Lusitaniens face à la Corée du Nord (7-0) lors de la précédente journée. Mission impossible donc, puisqu'en plus d'un large succès, il eût fallu une défaite dans le même temps du Portugal face au Brésil. Or, les deux pays «amis» se sont quittés sur un match nul qui fait leur bonheur. Plus que remontés, les Eléphants étaient pourtant prêts à écraser la Corée du Nord. Menant par deux buts d'écart au bout de vingt minutes (Yaya Touré à la 14e minute, puis Romaric à la 20e), on se dit que l'exploit est envisageable. D'une détermination exceptionnelle, la Côte d'Ivoire se projette rapidement vers l'avant, s'appuyant sur une maîtrise technique bien supérieure aux Coréens pour créer le décalage.
Physiquement mise au supplice, la valeureuse formation nord-coréenne a plongé. Elle n'aura donc été programmée que pour une rencontre et demie, avant de sombrer, face à des adversaires habitués au haut niveau. Leur match de vendredi ne s'est joué qu'à sens unique. Au total, les Ivoiriens auront frappé à 28 reprises vers le but de Ri Myong-Guk, contre huit pour la Corée du Nord. Mais si les Africains n'ont pas eu de mal à faire le jeu, la totalité des joueurs asiatiques évoluant dans leur propre moitié de terrain, la réussite n'était pas au rendez-vous. Trois poteaux et deux buts refusés pour hors jeu plus tard, les espoirs étaient déchus. Et ce n'est pas la troisième réalisation de Salomon Kalou, arrivée trop tardivement (83e), qui a changé la donne. - Nicolas CONTER

17:57 - Foot - CM - Le Portugal et le Brésil bons amis

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Cristiano Ronaldo et Lucio, l'accolade après les duels. (LEquipe) (EQ)

Le Portugal et le Brésil se quittent sur un match nul et vierge (0-0) qui qualifie les deux équipes pour les huitièmes. Les Brésiliens terminent premiers du groupe G.
En attendant Allemagne - Angleterre de dimanche, ce Portugal - Brésil avait des faux airs de huitièmes de finale. Et force est de constater que tout était réuni ce vendredi à Durban pour assister à un match couperet, avec de la tension, de l'agressivité (7 cartons jaunes distribués), des occasions.... Enfin presque tout, puisqu'au contraire d'un match à élimination directe, le nul faisait le jeu des deux équipes. Il n'a manqué qu'un but pour que l'on n'épilogue pas sur un éventuel arrangement entre amis. Nilmar (30e) était pourtant à un doigt de pied d'ouvrir le score, mais sa frappe à bout portant a été détournée sur le poteau par Eduardo, alors que Raul Meireles a raté l'immanquable en deuxième mi-temps, pourtant seul devant le but (60e). Les équipes ont joué le jeu jusqu'à la fin, preuve en est cette magnifique frappe de Ramires dans les arrêts de jeu (90+1) détournée par le gardien portugais.
Si le tournoi a perdu l'Italie dès le premier tour, il a trouvé en ce Brésil façonné par Dunga un digne représentant : défense de fer - les 4/5e jouent dans le Calcio - rigueur tactique, un fuoriclasse (Robinho) et quelques gestes d'antijeu, comme cette main volontaire de Juan (AS Rome) qui prive Cristiano Ronaldo d'un face à face avec Julio Cesar (25e). Le défenseur brésilien s'en est bien sorti en ne prenant qu'un jaune, alors que les arbitres avaient pourtant le rouge facile depuis le début de la compétition.

En face, les Portugais n'ont pas montré grand-chose, semblant se satisfaire de ce nul qui leur ouvre les portes des huitièmes de finale. Ils se sont souvent retrouvés en position de contre, mais Cristiano Ronaldo a toujours fait les mauvais choix, frappant de n'importe quelle distance alors qu'il avait, dans la plupart des situations, un partenaire démarqué. Même si elles ont joué le jeu, ce nul arrange les deux équipes qui se qualifient en huitièmes. - A. D.

17:55 - Foot - CM - Portugal - Brésil : 0-0





Pas de vainqueur dans ce match entre deux équipes désormais qualifiées pour les 8es de finale. Malgré une deuxième période plus vivante, l'affiche fut décevante, la faute à un Portugal calculateur et à un Brésil pas obligé de prendre des risques.

Derdiyok préféré à Frei


Titulaire lors du match d'ouverture alors qu'Alexander Frei était blessé, Eren Derdiyok retrouve sa place en attaque pour l'ultime rencontre du groupe H. Peu convaincant face au Chili, le meilleur buteur de l'histoire de la Nati a perdu du crédit. Behrami suspendu, Barnetta est de retour sur le flanc droit du milieu de terrain helvète.


Reinaldo Rueda, le sélectionneur du Honduras, a décidé de faire tourner pour ce match. L'équipe des Caraïbes a pourtant une infime chance de passer malgré ses deux défaites initailes. Pas moins de six changements sont à déplorer par rapport à la rencontre face à l'Espagne.

Les équipes


Suisse : Benaglio - Lichtsteiner, Grichting, Von Bergen, Ziegler - Barnetta, Inler (cap.), Huggel, Gelson Fernandes - Derdiyok, Nkufo

Honduras : Valladares (cap.) - Sabillon, Chavez, Bernardez, Figueroa - Alvarez, W. Palacios, Thomas , Nunez - David Suazo, J. N. Palacios
Source: l'équipe

17:53 - Foot - CM - Corée du Nord - Côte d'Ivoire : 0-3
[b]17:53 - Foot - CM - Corée du Nord - Côte d'Ivoire : 0-3

Victoire pour l'honneur de la Côte d'Ivoire qui est une nouvelle fois éliminée de la Coupe du monde au premier tour, comme en 2006. Les Eléphants ont tout donné aujourd'hui face à des Nord-Coréens courageux mais très limités

17:31 - Foot - CM - CDS - Huh :«Du 50-50»
Le sélectionneur de la Corée du Sud, Huh Jung-moo, donne son ressenti avant d'affronter l'Uruguay lors du premier huitièmes de finale de la compétition.
«Les observateurs font plutôt de l'Uruguay le favori de la rencontre. Qu'en pensez-vous ?
Notre équipe et tous les joueurs ont atteint les 8e de finale car ils sont travailleurs. Nous voulons rentrer dans les huit derniers en lice et remercier ainsi nos supporteurs et fidèles soutiens dans le pays, qui suivent nos matches la nuit. On ne sait pas qui va gagner. Ce qui est sûr, c'est que l'Uruguay est une grande équipe. Mais nous sommes aussi une grande équipe. Nous pouvons atteindre le prochain tour, nous pouvons le faire. C'est du 50-50.

Comment faire pour marquer un but à une équipe qui n'en a pas encore encaissé ?
L'Uruguay a vraiment été très bonne en défense. Nous, je vous l'accorde, on laisse trop d'espaces à nos adversaires. Mais d'un autre côté, nous avons marqué des buts. Il va falloir que l'on fasse du mieux possible dans ces deux domaines pour espérer. Dans cette Coupe du monde, les possibilités sont ouvertes à tous. La France et l'Italie ont été éliminées, le ballon tourne toujours, et une équipe inattendue peut bien faire. Je réfléchis encore à la façon dont nous pouvons finaliser notre jeu. Les gens me demandent des informations sur nos atouts ou faiblesses : je dis qu'on peut faire mieux sur le côté droit. On a revu nos matches et les joueurs travaillent sur leurs erreurs passées. C'est une bonne chose pour eux.

Les beaux parcours de votre équipe et du Japon doivent vous réjouir...
Nous sommes plus que des partenaires, plutôt grandir ensemble que se combattre ! En 2002, les deux équipes ont atteint le 2e tour, à domicile. Et c'est bien encore que toutes deux en fassent de même cette année, à l'extérieur cette fois.» (AFP)

17:23 - Foot - CM - ALL - Pour Löw, les Anglais sont favoris
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Joachim Löw. (REUT)

A deux jours de l'affrontement entre l'Allemagne et l'Angleterre en huitièmes de finale, Joachim Löw a commencé à mettre la pression sur son adversaire, en considérant que c'était «l'un des grands favoris du tournoi». Et le sélectionneur allemand de lister les forces de l'équipe de Capello : «C'est une équipe qui se bat toujours beaucoup, qui court beaucoup, très forte mentalement. Elle a en plus une certaine expérience et le triangle Terry-Lampard-Gerrard, c'est la classe mondiale».

Löw n'a pas oublié de saluer le travail du technicien italien, qui a permis à «l'Angleterre de beaucoup progresser du point de vue tactique et de la discipline. Elle s'est qualifiée de façon très convaincante pour ce Mondial, c'est pourquoi l'Angleterre était et reste pour moi l'un des grands favoris [...] Nous avons du respect pour l'Angleterre, comme elle a sans doute pour nous, mais je ne crois pas qu'on puisse parler de peur».

En ce qui concerne Bastian Schweinsteiger, le sélectionneur allemand a reconnu que sa participation au huitième de finale était «plus que douteuse» en raison de douleurs musculaires aux fessiers. «Bastian, comme Jérôme Boateng, ne s'entraîne pas et il ne jouera que s'il est à 100% de ses capacités. Bastian, c'est le coeur de cette équipe, il réalise un excellent travail en défense comme dans notre jeu offensif». Si le milieu du Bayern devait déclarer forfait, Toni Kroos prendrait sa place pour jouer aux côtés de Khedira. (Avec AFP)

17:09 - Foot - CM - HOL - La confiance néerlandaise

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Klaas-Jan Huntelaar et les Pays-Bas ont remporté leurs trois matches de poule. (REUT)

A chaque Coupe du monde ou Euro, on entend le même refrain avec les Pays-Bas : l'équipe a tout pour remporter le titre, mais il y a toujours quelque chose qui coince et ils se font éliminer en quarts ou en demie. Comme à l'accoutumée, donc, les entraîneurs-adjoints néerlandais Phillip Cocu et Frank de Boer ont estimé vendredi que les «Pays-Bas ont tout pour devenir champions du monde».

En ce qui concerne le bilan du premier tour, Phillip Cocu considère que les Pays-Bas ont «toujours eu le contrôle du jeu lors des trois premiers matches. Si le spectacle n'a pas été pas toujours au rendez-vous, c'est parce que nous sommes confrontés à des équipes très organisées qui pensent d'abord à défendre face aux Pays-Bas. C'est sans doute que l'on fait peur.»

Et lorsque l'on demande aux deux hommes quel regard ils portent sur la concurrence, leur réponse n'est guère surprenante : «Nous n'avons rien à envier aux autres, même si les effectifs de l'Espagne, du Brésil et de l'Argentine sont impressionnants. Je sais que nous avons les qualités pour remporter le tournoi [...] Je compare cette génération à celle qui en 1998, avec Frank et moi, avait atteint les demi-finales du Mondial en France. A l'époque, j'avais été satisfait de ce résultat. Cette fois, je serais très déçu de terminer deuxième.» Les Pays-Bas joueront leur huitième de finale contre la Slovaquie lundi prochain (16h00). (Avec AFP)

16:57 - Foot - CM - ITA - Cannavaro : «Une page noire»

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Fabio Cannavaro. (REUT)

Visiblement très marqué, Fabio Cannavaro, 36 ans, est revenu vendredi sur l'élimination des champions du monde au premier tour du Mondial, assurant qu'il s'agissait de «la pire performance de l'histoire de la Nazionale».
«Fabio Cannavaro, au lendemain de l'élimination, comment vous sentez-vous ?
La soirée a été très dure. Personne ne s'attendait à un Mondial comme celui-ci, conclu à la dernière place du groupe. On savait que ce serait très difficile de regagner la Coupe du monde, mais on espérait au moins aller plus loin. Après le premier match contre le Paraguay (1-1), j'étais pourtant très confiant. Mais le fait de ne pas avoir gagné contre la Nouvelle-Zélande (1-1) a conditionné la suite. Il fallait qu'on gagne contre la Slovaquie (2-3), mais il y avait de la peur, de la tension. Les Slovaques étaient sereins, pas nous.

C'est encore plus dur que l'élimination contre la Corée du Sud (en 8es de finale en 2002) ?
Je crois que c'est la pire performance de l'histoire de la Nazionale. C'est une page noire, une terrible élimination.

Quelles erreurs Lippi a-t-il commises ?
Hier (jeudi), il a montré toute sa grandeur en défendant l'équipe. Tout n'est pas de sa faute, c'est partagé avec les joueurs. Mais il est encore trop tôt pour analyser tout ça, même si on a conscience d'avoir fait piètre figure.
Des joueurs absents en Afrique du Sud auraient peut-être pu changer le cours des choses ?
Vous parlez toujours de Cassano et Balotelli. Mais avec Cassano, on a fait deux Euros (2004, 2008) et on ne les a pas gagnés. Balotelli est intéressant, mais il a encore beaucoup de choses à démontrer. Il n'y a plus de phénomènes comme Totti ou Del Piero. Lippi a sélectionné tous ceux qui pouvaient donner le plus. Mais, cette fois-ci, cela n'a pas fonctionné.

Vous resterez dans l'histoire comme le capitaine de 2006 ou de 2010 ?
Je ne crois pas qu'on se souviendra de moi comme le capitaine de l'équipe qui a failli. Cela ne peut pas effacer ce qui a été fait de bon en 2006. Et après 14 ans en sélection, je n'ai pas honte de dire que j'ai pleuré. Je ne m'attendais pas à finir comme ça.

Qui voyez-vous pour vous succéder comme capitaine ?
Gigi (Buffon) est le plus expérimenté de tous. Mais il y aussi Giorgio (Chiellini), le plus vieux des jeunes. Il a la force et le caractère pour ce rôle.

Quel avenir pour l'Italie?
Prandelli (le futur sélectionneur) est bon, mais il va avoir beaucoup de travail. Il ne va pas pouvoir tout bouleverser car l'Italie n'a plus de joueurs exceptionnels comme ceux de ma génération. Il y des cycles, des générations. Et l'actuelle a de bons joueurs, mais aucun de premier plan.» (AFP)

Matchs à venir :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]	Chili	-			Espagne					-	25 juin 20:30
	Suisse	-			Honduras					-	25 juin 20:30

Allez les p'tits suisses [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]